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Chronique:we are bound.

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Chapitre premier.

Chap1, partie 1/2. installation.
Cette silhouette, c'est mon père.
Je me levai en sursaut.
Aucune larme ne tombait sur mes joues et je n'avais poussé aucun cris.
J'étais comme ça, moi. Je gardais tout enfoui pour moi. Les enfants, d'ordinaire, ou même les gens de mon âge, lorsqu'ils faisaient des rêves perturbants, ils hurlaient à leur réveil ou pleurait à chaudes larmes. Moi non, et ce, depuis mon enfance. J'avais appris à souffrir intérieurement. Dans toutes les situations.
Je tentais de me remémorer mon rêve, mais comme à chaque fois, les détails perdaient de leur clarté au réveil. Tout était flou dans ma tête.. La forêt, les soldats.. non il y avait eu autre chose entre.. ah oui, une présence inquiétante.. et.. et.. et quoi? Une autre forêt? Oui. Mais comment était-elle?
Je me posai tellement de questions, comme à chaque réveil. J'avais toujours l'impression d'avoir manquer un truc.
L'angoisse était la même au réveil, et ce, depuis des mois. C'était on ne peut plus insupportable.
Mon père, disparu il y a 6 mois, en était le personnage principal.
Ou plutôt CE rêve. J'en avais pas trente-six milles, des rêves, mais j'avais lui.
CE rêve m'envoyait il un message? Je n'en savais rien.
Tout ce que je savais c'était que...
-CHERIE LE DEJEUNER EST PRÊT! lança ma mère du bas des escaliers
..j'avais très faim.
Je regardais le réveil. Il indiquait 9h30.
Je m'habillai en vitesse, sans prendre la peine de me coiffer, et dévala les escaliers pour prendre mon chocolat chaud, mon thé, mon croissant et mon jus d'orange. Oui, j'avais un sacré appétit.
-Quelle magnifique chevelure tu as là, ma chérie, ironisa ma mère, tu sais, j'ai vu à peu prés la même hier soir dans un reportage sur les lions et..
Elle stoppa net. Je lui avais lancer un regard noir.
C'était pas le moment de faire une blague sur mes cheveux, qui soi-disant en passant n'étaient pas si terribles que ça, juste pas peignés.
-Encore un rêve? questionna-t-elle.
Oui, répondis-je.
On avait pas besoin d'en ajouter plus.
Jackson, mon frère, descendit avec mes petites sœurs Laura et Lucy, les jumelles, âgée de 4ans.
Ahlala, la petite famille au grand complet.. ou presque.
Quand j'eu finis mon petit déjeuner, je monta dans ma chambre. Et là, je vis.. Non, impossible!
Chapitre 1, un peu court, un peu nul aussi.
Des fautes d'orthographe? Des incohérences? Des incompréhensions, ou même des questions à poser?
Réagissez sur mon compte questions: @kingdomofweakness !
JE POSTE LA SUITE A 5 J'AIMES<3

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wizardingchronicle’s Profile PhotoChronique:we are bound.
Normalement, dans un prologue de chronique, on présente son personnage, sa famille, sa situation, etc..
Alors pour me démarquer, je n'ai pas fais pareil. Alors je vous fais une fiche présentation de l'âge et des prénoms de l'héroïne, sa famille, mais vous en saurez plus au fil de la chronique.
Le personnage principal: Cassie Clarkson, 16 ans. surnom: cat, kitten.
Sa famille:
-Elizabeth Clarkson: 46ans
-Jackson Clarkson: 17ans
-Laura et Lucy Clarkson: 4ans.
Les enfants ont récupéré le nom de jeune fille de leur mère, vous comprendrez pourquoi au fil des chapitres.
Leur pêre, militaire, est porté disparu au Turkménistan depuis le 4 Janvier, c'est à dire 7 mois.

Prologue (suite)

Je songeai à ces soldats qui avaient maintes fois dû se passer le scénario de leur mort imminente, mais je doute qu'ils aient pu imaginer quelque chose de tel. Leurs souffrances non-soulagées, leur esprit voulant en finir, mais le cœur dirigé vers leur famille, un dilemme. Vivre ou mourir? Ce n'était plus le combat qui les avait menés à terre, non. C'était le combat de leur vie, le vrai.
Ils devaient se demander si le battement de cœur qui venait de résonner dans leur corps était le dernier.
A travers tout ce chaos, je cherchais quelqu'un des yeux.
Lorsque j'aperçut sa silhouette, je fus soulagée. Une demi-seconde plus tard, l'angoisse revient: la silhouette fut emportée dans un camion accompagnée de deux autres personnes. Bâillonnées, elles tentèrent de se dégager, mais leurs ennemis leur assena un bon coup sur le crâne.
Tout tourna, et puis..
Nouveau décord. Une forêt, à nouveau. Les trois personnes enlevées, dont la silhouette que je suivais des yeux, se font entrainer par les méchants, les ennemis, en repoussant les plantes qui leurs barre le chemin.

C'est alors que le groupe de "méchants soldats" que je talonne arrive à hauteur d'une cascade et s'arrêtent net. Celui qui semble leur chef, protégé par une cagoule, ce qui fait que je ne pouvais pas l'identifier, murmure quelque chose à un grand type très musclé, qui lui-même le dit à deux autres gars de sa corpulence.
Les trois grands gaillards s'approchent des trois "gentils" et les prennent chacun en sac à patate sur l'épaule.
Non, ils ne vont pas faire ce que je pense. Ils n'oseraient pas.
Ils jettent les trois prisonniers inconscients dans la cascade.
Je regarde avec effroi et horreur la silhouette du milieu tomber d'un coup dans l'eau.
Cette silhouette, c'est mon pêre.

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Prologue.

C'était toujours au même endroit. La forêt.
Ce paysage apaisant et à la fois inquiétant. Pas un bruit, si ce n'était que les hululements des hiboux, les bruits d'une feuille morte qui se craquelait au passage d'un serpent ou encore le vagabondage de petites souris à la recherche quelque chose à grignoter. Manifestement, rien ne semblait être inquiétant dans ce paysage nocturne, et pourtant si. Non pas la nuit, puisque les étoiles et la lune illuminaient faiblement les bois, non, le problème ne provenait pas d'aussi haut.
Mais d'en bas. Il y avait une sorte de brume, inquiétante, comme si il y avait une présence et que celle-ci essayait de faire passer un message. "-Je suis là, je suis là" semblait elle dire. Et pourtant, aucune voix ne résonnait, ni dans ma tête, ni dans la forêt. C'était mon intuition qui me chuchotait cela, comme si le lieu dans lequel je me trouvais pouvait parler sans... parler. Comme si c'était lui-même les paroles, et que l'ambiance suffisait en elle même pour qu'on comprenne le message. J'avais déchiffrer sans réfléchir, c'était comme une évidence. J'étais inquiète, je tournais dans tous les sens, brisant à moi seule la tranquillité de l'endroit.
Tout d'un coup, des étincelles semblables à de petites lucioles apparaissaient subitement. Ma voix intérieure me disait "ne les approche pas"... c'était sans compter sur ma légendaire curiosité. Je tentais alors de les toucher, mais au contact de ma peau, elles se transformaient en de gigantesques flammes, par je-ne-sais-quel-phénomène. Les arbres disparaissaient; le décor se métamorphosait.
Au sol, les feuilles se consumaient et devenaient de petits grains de sable. Les arbres disparus laissaient désormais place à une horde de soldats en train de se livrer un combat on ne peut plus mortel. Je me trouvais en plein milieu d'une bataille au ralenti où tous les coups étaient permis.
Ceux ci ne semblaient pas m'apercevoir, mais moi, je pouvais. Je percevais chacun de leurs gestes. Les fusillades, les hurlements déchirants, les cris de guerre, le cœur qui battait jusque dans leurs tempes. Leur regard n'était plus que braise et on pouvait distinguer dans l'orbite de leurs yeux les émotions contradictoires suivantes: l'affolement, l'audace, la peur, le désespoir, l'espoir, l'adrénaline.
Les soldats ne réfléchissait plus avec leur tête, seulement avec leur instinct. Il ne fallait pas perdre une seconde, leur vie, leur mission, tout était en jeu. Une seconde de réflexion et une balle les atteignait, sortant de nulle part. Les cadavres qui gisaient au sol, tandis que la bataille faisait rage, n'étaient pas baux à voir. Ca puait. Mais tous ceux qui étaient au sol était, pour la plupart, pas mort. Du moins pas encore.
Je songeai à ces soldats qui avaient maintes fois dû se passer le scénario de leur mort imminente, mais je doute qu'ils aient pu imaginer quelque chose de tel.

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Prologue

Disparition.

4th January, 20:03pm: Turkmékistan.
«Ici c..omm..frrrrfrrrr... ici commandannnww.. commandant j.williams au rapporfrgh, je répetfiouhh,..pète, ici commandant j.williamshgrfh au rapport, vous me r'cevez? Je demandwouuudjdj »
Pas de réponses.
Nouvel essai. «Soldaouww..Soldat Pevensie, chef de brbrbchhh.. de l'unité R7, vouuuuuuwww..vous me r'cevez?»
Rien.
Au même moment, 10 heures de décalage horaire plus loin:
Base militaire, Chicago, Illonois.:8:05am
-On réessaie, on perd pas espoir, cria le commandant J.Williams.
Troisième tentative. Pas de réponses. "-Oh vous savez m'sieur l'commandant, y sont p'têt en train d'chasser qui sait, ça bouffe vite en mission -La ferme adams."
Quatrième tentative. Toujours pas. "-Mais ils auraient envoyé un signal si y leur été arrivé queq' chose, y z'auraient pas décamper direct -La fer-me ADAMS, en prenant bien soin d'épeler chaques syllabes.
Cinquième tentative. Nada. "M'sieur l'co'-VOUS ALLEZ VOUS LA FERMER," dit le dénommé commandant j.williams, en donnant un coup de pied au poste émetteur, seul contact qui les unissait avec la base militaire R7, envoyée au Turkménistan. Puis, se tournant, vers la jeune Adams: "Dites moi, vous êtes pour nous, dit-il en décrivant un cercle avec tous les militaires qui l'entouraient, ou pour eux, en désignant une photo avec des hommes cagoulés, avec des armes, alors Adams, on a perdu sa langue?
-Je euh comm... bien sûr que je..
J.Williams lui fit un regard mauvais, se préparant à re-attaquer.
-Allez, rentre chez toi gamin, intervint un grand homme avec une cicatrice sur le visage qui lui couvrait le nez et une partie de la bouche jusqu'au bas du coup. Et soit plus efficace demain.
Le "gamin" déglutit, en remerciant l'homme cicatrisé. Le soldat Mark Johnson. Ce dernier venait de lui éviter gros.
Il rentra chez lui dans l'incompréhension. Le commandant s'en prenait tout le temps à lui, pour des raisons inconnues. Se méfiait-il de lui? Non, impossible. Adams savait qu'il inspirait confiance, et c'était un jeune homme digne de confiance. Pourtant cet en**** de m***** de Williams ne semblait pas s'en apercevoir.
Adams continuait de marcher dans les rues de Chicago, jusqu'en bas de son immeuble. Une fois arrivé, il aperçut un homme cagoulé, qui avait l'air d'attendre quelqu'un. La formation d'Adams lui avait appris que tout individu se comportant ainsi, était forcément suspect. N'y allant pas par quatre chemin, il lui dit "Hey, vous là, que faites vous en bas de mon immeuble, cagoulé et une arme dans votre poche?"
Le principal interessé leva les yeux vers lui. Des yeux sombres qui régnait sur un visage ténébreux. L'homme devait être âgé d'une quarantaine d'année. Il lui adressa un sourire à vous glacer les veines en répondant:
-Je t'ai bien observé.
-Et? Que me voulez vous?
L'homme enleva sa cagoule laissant découvrir un crâne entièrement rasé, avec un tatouage de scorpion qui enlassait un serpent. Il fit un sourire mauvais et dit:
-J'ai une proposition pour toi.

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Avis à la population adeptes de chroniques, merci à toi, lecteur, qui prend la peine de lire ça.
Tout d'abord, je tiens à dire que c'est la première chronique que je fais sur Ask. J'avais déjà écrit des petites histoires qui n'avaient aboutit à rien. J'ai quelques projets, mais que je garde pour moi-même. Je lis depuis quelques années des fictions, dont je préfère le concept à celui des chroniques puisque cela permet de faire des chapitres plus longs, qui sont beaucoup plus explicites.
Mais c'est dans une chronique que je me suis lancée, et je compte bien m'y tenir.
Toutefois, comme mes chapitres seront un peu longs, comme dans les fictions, je les couperais en plusieurs parties.
Sachez, que tout copiage mérite sanction, alors honte aux plagistes, même si je ne les démasque pas, je leur envoie mon profond et distingué majeur.
Avant de vous poster le prologue et les chapitres qui suivront, je tiens à éclaircir quelques points.
• Premièrement, mon histoire est purement fictive, aucun liens avec moi ou un proche, mais je ferais quelques clins d'oeil à mon vécu, en attribuant quelques situations embarassantes à mon héroïne, que j'ai pour la plupart déjà experimenté. (aha, je vais adorer lui en faire baver)
•Deuxiémement, mes chapitres seront accompagnés de liens, pour des chansons ou des vidéos qui auront un lien avec, pas tout le temps, seulement quand les paroles ou la mélodie seront "en accord" avec. Parce que je suis tombée sur des chroniques accompagnées de musiques comme ça et où tu te disais "Mais wtf, c'est quoi le rapport?"
•Troisiémement, sachez que je commence cette chronique sans savoir oú elle va aboutir, mes propres personnages ont tendance à m'échapper, et c'est ainsi que je ne commence pas une histoire préconçue. Mais j'ai tout de même une idée, rarement utilisée dans les chroniques que j'ai pu lire, pour ne pas dire jamais. Vous découvrirez cette idée au fil des chapitres.
•Quatrièmement, comme je n'ai pas vraiment d'idée quand à cette chronique, il y aura certainement des incohérences et je vous prie de bien vouloir me les signaler à mon compte question @kingdomofweakness
Je tenais aussi à dire que l'on a l'habitude de chroniques: sexe, drogue, lycées, triangle amoureux, etc.. mais la mienne ne sera pas trop dans cette rangée.
Je préviens que je suis une éternelle insatisfaite, et que je peux abandonner ce projet du jour au lendemain (et oui...) si mes convictions et mon projet ne sont pas menés à bien!
Voilà, rien de plus à ajouter pour le moment, si j'ai d'autres choses à préciser, je vous en ferais part et ajouterais le lien dans la description.
bonne lecture!

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