Pour être franche je ne pense plus trop, maintenant je réalise.
Je veux dire , Ces milliers de visages que l’on croise tous les matins en sortant de chez nous, Ceux qui nous rappellent à quel point le temps passe vite,
On est perdu dans cet univers.
On a des rêves à en perdre la raison mais je réalise que l’on ne pourra pas les réaliser un jours.
La société actuelle m’a fait réaliser que jamais je ne vais être premiers ministre et que je n’aurais probablement jamais de prix Nobel. Aujourd’hui je réalise que mes écris et ma façon de penser n’égaleront jamais les idées de Socrate; et peu importe à quel point c’est triste pour la petite fille en moi qui à trop espérer voir mes livres dans les mains d’une femme assi dans un café en Europe , c’est la réalité.
J’imagine que oui, tout le monde a droit à son miracle.
mais il y a tellement de gens , esqu’ils se réaliseront tous un jour ?
Telle est la question que je me pose à l’aube de nouveaux suposer lendemains, à l’aube de nouveaux horizons.
Je l’espère en tout cas.
Tout comme la société espère trouver la personne qui réveillera en eu la fougue des jours meilleurs, et l’envie de toucher le ciel du bout de leurs doigts et de ne jamais retoucher le sol.
Sauf qu’évidemment ,
L’espoir a un prix. Et j’ai l’impression que le prix se résume trop souvent à attendre.
Les gens attendent tout , il attende le beau temps et il attente que le ciel soit noir avant de regarder les étoiles.
Je voudrais partir, loin d'ici ou ailleurs. J'irais tenir compagnie à la lune, et demander conseils aux étoiles.
Je leur parlerais de vous. Je les ferais rêver par mes paroles d'amour, et pleurer vos erreurs , Je suis sure qu'après cela, elles aussi tomberont éperdument amoureuses de vous.
Comme chaque personne tombe amoureuse de la société avant qu’elle ne nous détruisent.
Parfois j’ai l’impression que le monde est une personne , Un instant je sens ses caresses,nos peaux qui dansent et nos cœur chantant la même couleur.
Et un instant plus tard, il ne reste plus qu'une note glaciale. Une note qui fait le bruit d'un rêve , un miracle, qui se brise sur le sol. Et puis soudain je réalise que je ne fais plus partie de son monde.
La vie est triste,
Mon monde est triste
Et la société n’essaie plus
D’avoir espoirs.
Voilà ce que je pense du monde.
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