15 mai 2016, pencher la haut, au dessus d'un immeuble. Avec cette envie de sauter. Cette impression de ce laisser abandonnĂ© par le reste du monde. Parce que je suis moi. Parce que je suis moi-mĂȘme et que ça les gens ne l'accepte pas. Je voulais juste ĂȘtre heureux. Juste ça.. et ils m'en ont empĂȘchĂ©.
20 octobre 2015
à peine un mois dans ce nouveau collÚge que mon pÚre m'oblige à aller a ce "bal" d'automne. Pour lui, cela me permettra de me faire plus facilement intégrer et pourquoi pas lui remmener une jolie belle fille. Si il savait.
J'avais penser lui faire croire que j'irai Ă cette fĂȘte puis aller me promenĂ©e au bord du fleuve... mais tout ça est tombĂ© a l'eau quand mon pĂšre m'as dis qu'il allait me conduire car il devait passer par lĂ pour aller chez sa copine. Cette copine immonde, avec sa fille toute aussi immonde. Elle ne rime que par "moi, moi, moi".
N'ayant pas fort le choix j'entra dans le gymnase. Tout étais décoré de citrouille, fantÎme et toile d'araignée. Je ne connaissais personne. Juste une personne mais je ne l'avais jamais vu. On m'avais passé son numéro deux jours aprÚs mon arrivée, mais sans me dire son nom, rien. Mais depuis 1 mois on s'envoyait de messages matin midi soir. à peine entré que je reçu un de ses messages:
â Je te vois.
â Je voudrai pouvoir te dire pareil mais je sais mĂȘme pas qui tu es et a quoi tu ressembles.
â Patience, tu le sauras trĂšs vite.
Je l'ai cherché partout. J'ai penser chercher quelqu'un sur son téléphone, mais 21e siÚcle, tout le monde est toujours sur son téléphone.
AprÚs avoir passé une heure à ce bal je décida de partir. Je pris ma veste dans le vestiaire.. mais juste à ce moment je reçu un autre messages "Rejoins moi derriÚre la salle de musique. Je t'y attend"
Je me précipita et en 2 minutes j'y étais.
â Wow... c'est donc toi.
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