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Que pensez-vous des pratiques méditatives laïques? du genre pleine conscience, cohérence cardiaque ...

Je ne sais pas si on peut qualifier de "laïque" ce genre de chose. C'est simplement une pratique sans lien (réel, apparent ou avoué) avec la spiritualité.
Une récente méta analyse publiée dans Nature "The limited prosocial effects of meditation: A systematic review and meta-analysis" estime que ces médiations échouent à prouver qu'elles ont l'effet qu'elles prétendent avoir.
https://www.nature.com/articles/s41598-018-20299-z

Que pensez-vous de discipline comme la sociologie ou la science politique… Enfin bref des sciences sociales en général ? Vraies sciences ou non ?

Ce sont des disciplines scientifiques, aucun doute.
Y fait-on toujours preuve d'assez de prudence épistémique pour émettre des conclusions en proportion du niveau de preuve dont on dispose, c'est parfois discutable.
Peut-être attendons-nous trop de ces disciplines à l'heure actuelle.
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Vous passez beaucoup de temps sur ask, plus souvent sur des questions "d'ordre rationnel" que sur la chaîne. Pourquoi ne pas relayer ce travail avec d'autres zététiciens (ce qui allégerait votre travail et permettrait d'avoir des avis en dehors de vos domaines d'expertise) ? Je vous aime, bises

Je n'ai pas compris la question :/

Que pensez-vous des trajectoires intellectuelles de personnes comme Blanrue ou Bricmont (je les mets pas dans le même panier)Et est ce que ça vous questionne en tant que zététiciens?

Sans vouloir commenter ces cas particuliers (peu comparables à mon sens à l'heure actuelle), il est clair qu'aucun individu n'est immunisé contre les biais. Les zététiciens, comme les scientifiques, ne doivent a priori jamais être considérés comme des autorités. Ce qui fait autorité c'est la démarche et le consensus. Et nul n'est censé l'ignorer, quels que soient les parcours des uns ou des autres parmi les zététiciens connus/
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Re: Jésus; cela voudrait dire que l'on rejette le consensus d'experts (car ils sont religieux, donc biaisés) pour se tourner vers l'avis d'une poignée d'experts (athées militants... donc biaisés.) Est-il vraiment raisonnable de pencher d'un coté plutôt que de l'autre dans ce cas-là?

J'ai bien précisé la méthode 'scientifique) de Richard Carrier et le fait que les partisans du "jésus historique" restent sur de vieux arguments (douteux) et ne répondent pas à sa démonstration.
Je pense que c'est suffisant pour dire que le consensus n'est pas solide. Cela peut être suffisant pour se faire une opinion personnelle quand on a un peu creusé la question.
Mais bien sûr, vous avez raison, cela ne permet pas de trancher de manière claire puisque les experts du domaine ne sont pas d'accord. Heureusement la validité de ce consensus n'a pas de conséquence sur les politiques publiques actuelles ou sur la santé des gens, c'est donc un cas d'école intéressant à suivre, car je pronostique un changement paradigmatique dans ces disciplines, similaire à celui qui a fait passer Abraham puis Moïse du côté des personnages fictifs, mais potentiellement plus enclin à changer des choses dans la relation entre religion et science.
Naturellement, je peux me tromper, et si jamais la thèse de Carrier (et d'autres) était réfutée, alors j'aurai appris quelque chose, et Carrier aura eu un rôle important dans la manifestation de la vérité dans un cas comme dans l'autre.
M.

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Souvent tu parles de l'inexistence de Jésus, pourtant la majorité des historiens ne remettent pas en cause son existence, alors pourquoi ce doute ?

Question épineuse.
Notre ligne éditoriale est d'expliquer pourquoi le consensus scientifique est la référence la plus solide vers laquelle se tourner pour toute question où c'est possible.
L'existence d'un personnage historique est clairement un cas où le consensus a son rôle à jouer.
Le problème spécifique ici est que la quasi totalité des experts du domaine sont non seulement historiens, mais théologiens et croyants. Le niveau de preuve de l'existence de Jésus ne surpasse pas (je dirais même qu'il est inférieur à) celui de l'existence de Socrate ou Homère. Et pourtant les historiens souvent ne se prononcent pas sur l'existence de ces deux messieurs.
Il existe des travaux, notamment ceux de Richard Carriere, qui comparent les méritent de plusieurs théories.
1- Jésus est le personnage divin dépeint dans la Bible
2- Jésus fut un prédicateur, un chef spirituel déifié par la suite.
3- Jésus est un personnage divin fictif réifié par la suite.
Il compare la manière dont les trois théories expliquent les faits : la structure du nouveau testament, son histoire, sa relation avec l'Histoire. Il montre comment la 3ème théorie est mieux apte à expliquer les faits.
À ma connaissance ses arguments n'ont pas reçu de réponse de la part des historiens-théologiens, je trouve cela intéressant et révélateur que ce consensus très particulier est peut-être fondé sur autre chose que la science.
D'un point de vue sceptique, il y a au minimum anguille sous roche.
Mendax.

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Penses-tu que tu pourrais survivre en tant qu'homme (ou femme!) des cavernes?

Non.
Mais...
Après mûre réflexion, non. Vraiment non.
Disons que c'est peu vraisemblable.
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Gary Yourofsky a t il réagit à votre post sur la Menace Théoriste?

Je doute qu'il en connaisse seulement l'existence.
GY est l'objet de très nombreuses critiques à l'intérieur du monde végan, l'article de la Menace Théoriste n'est en cela pas très remarquable. Le vrai sujet de l'article est : au nom d'une cause juste, peut-on tout se permettre, y compris les mensonges et la manipulation ?

Salut ,Je voudrais si c'est possible connaitre le nom et l'auteur de l'introduction musical qui est passée avant le générique principal de la Tronche en Biais #5 (sur les biais de confirmation)

C'est du Berlioz.

Pensez-vous être hostile aux religions ?

Je pense que les religions (en tant que systèmes de croyances et d'idéologies) sont terriblement hostiles à la liberté de penser, de douter, de questionner et de comprendre que nous défendons.
Il serait dommage que les gens confondent notre manière de dire sans ambages ce qui cloche, à notre avis, dans les religions avec une quelconque hostilité envers qui que ce soit.
[Au risque d'être insistant (mais bon...), la critique des idées est à distinguer de la critique des personnes ; ce n'est pas parce qu'on critique les religions qu'on condamne les religieux.]
Mendax & Vled.

Et le Droit, parlons-en ! Quelle place pour ce mal-aimé ?

Nous sommes gravement incompétents pour aborder cette question.
Si vous pensez que la zététique a des choses à en dire et que vous connaissez quelqu'un qui le fait bien, donnez-nous son contact ! :)
M.
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Ps : sur Youtube, il y a quand même la chaine de Lex Tutor, c'est pas rien !

Pourquoi nous efforçons nous de connaître ? Est-ce par amour intellectuel de la vérité, par pur diversement, pour les honneurs, ou encore par utilitarisme ? Le vrai n'est-il pas plutôt une illusion constituée par une volonté de puissance en manque de repères et une fuite du chaos sous-jacent ?

Pape Yeku
Oh, je crois que c'est finalement très simple.
1) Le monde existe réellement, et nous aussi nous existons. (ceux qui sont en désaccord sont ipso facto incapable de produire de la connaissance, leur solipsisme est donc de peu d'aide).
2) Et si on veut pouvoir exister en éprouvant le moins de douleur possible et le plus de satisfaction (l'utilitarisme que vous avez évoqué) c'est mieux de comprendre un peu comment les choses fonctionnent. Le réel existe et on doit s'efforcer que notre "vrai" lui soit le plus fidèle possible afin de prendre les bonnes décisions et de nous libérer des discours trompeurs.
C'est déjà pal mal comme programme à mon avis.
Mendax.

Pensez-vous qu'une étude rationnelle de ses propres sentiments, comme chercher leur(s) cause(s) et le moyen de combler ses effets, peut-conduire à un épanouissement personnel ( ou par exemple à la fin d'une dépression ) ?

Je pense que mieux comprendre comment fonctionne notre esprit nous ouvre à plus de moyens de l'utiliser correctement. Ce n'est sans doute pas une garantie d'épanouissement, car il y a aussi une source d'angoisse à prendre conscience des illusions dont est bâtie notre représentation du monde, mais c'est un chemin honnête, et par conséquent il a au moins une valeur morale, éthique qui est en soi sa propre récompense.
Pour la dépression, je me garderai bien de donner des conseils. Chaque cas est unique, et il ne faut pas hésiter à consulter des spécialistes qui évitent de dispenser des avis vite fait sur le net.
M.
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Vouloir réduire ce que l'on vit à des éléments rationnels et vérifiables, n'est-ce pas une façon d'imposer une unique façon de voir les choses ? Et si tout ces éléments de preuve n'étaient autre que le résultat d'une application epimorphe nous permettant seulement de goûter à la composition interne?

Il faudrait me prouver que votre deuxième phrase a le moindre sens...
Mais pour la première c'est à la fois évidemment vrai et factuellement faux, une "profondité" comme dirait Dennett. Evidemment que la vie que nous vivons, avec ses émotions, ses drames, ses espoirs... ne se résume pas à des éléments rationnels !
Mais le monde se présente à nous sous la forme de manifestations matérielles qui obéissent à une logique que seul l'exercice de la raison (et de l'expérience) permet de comprendre et d'explorer. La vérité est libératrice, et la meilleure manière d'y avoir accès est d'employer la démarche rationnelle. Rien à voir avec la pensée unique ; on n'impose rien à personne en constatant que le ciel est bleu. C'est un fait, et libre à chacun d'en penser ce qu'il veut (esthétiquement, philosophiquement et tout les -ement que vous voulez) dès l'instant qu'il l'accepte pour vrai ou qu'il démontre que c'est faux.
Au contraire ceux qui ont des visions personnelles anti-scientifiques nourrie à des sources alternatives (aka irrationnelles) sont bien souvent tentés de les imposer et de faire valoir leur droit à avoir raison contre les faits. Mais la nature se moque que l'on ait envie d'être libre de penser pouvoir voler, et il n'est pas souhaitable de l'oublier.
Pour voler la réplique de Pasteur, je dirais qu'un peu de science désenchante du monde, mais que beaucoup de science le réenchante.
M.

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J'ai entendu, il y a peu, une hypothèse selon laquelle notre univers pourrait n'être qu'une simulation informatique. Existe-il un protocole scientifique qui pour réfuté ou confirmé cette hypothèse ? Et dans le cas où cette hypothèse ce révélerai non-fausse qu'elles en seraient les conséquences ?

Il s'agit d'une hypothèse totalement irréfutable. On ne peut pas prouver que nous ne sommes pas dans une simulation. Et comme je doute qu'on puisse prouver qu'on est effectivement dans une simulation sauf bug ou intervention externe, on se retrouve à devoir juger de la vraisemblance de l'hypothèse sans pouvoir trancher. Justement le Rasoir d'Ockham sert en de telles occasion où il nous faut apprendre à ne pas penser en absolu (seuls les siths sont si catégoriques ;] )
Le rasoir d'Ockham permet d'écarter l'hypothèse coûteuse, complexe et bizarre que nous soyons dans une simulation. On ne peut pas dire que c'est sûr à 100% mais c'est beaucoup plus raisonnable de le penser. C'est tout ce qu'on je peux en dire.
Cf l'épisode de Dirty Biology sur les Enfers artificiels et l'hypothèse du Basilique de Rocco, qui est très proche de cette hypothèse avec une dimension flippante en plus. Un must.
Mendax.

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Pourquoi le finalisme n'a pas sa place dans la méthode scientifique? Ne peut-on pas imaginer une "finalité" qui serait une hypothèse parmi d'autres et dont la pertinence devrait être testée?

Shikamaroux
Il y a deux raisons pour l'écarter.
1 / Raison épistémologique. Le finalisme n'explique rien, puisque la raison finale invoquée suppose une entité qui prenne la décision de parvenir à cette fin, une entité dont l'existence est posée comme un axiome. Il s'agit une hypothèse plus coûteuse que le phénomène qu'on veut expliquer au départ c'est donc une mauvaise manière de s'y prendre.
2/ Raison historique et pragmatique. Le finalisme est un mode de pensée intuitif qui a été utilisé pour expliquer... tout. Le Panglosse de Voltaire est la parfaite illustration de l'échec de cette approche.
Chaque fois que l'on réussit à comprendre les causes d'un phénomène : la foudre, les tremblements de terre, les maladies... pour lesquels l'explication la plus admise était finaliste... eh bien le finalisme a été dissout. Nous avons pléthore de précédents avérés où le finalisme s'est planté, et pas un seul cas avéré où il serait tombé juste.
Je précise: cela ne veut pas dire qu'on SACHE que le finalisme est forcément faux. Mais on a toutes les raisons de penser que c'est le cas, et surtout qu'il faut utiliser un autre mode de pensée pour comprendre le monde.
Mendax.

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Pourquoi j'ai le sentiments qu'il existe un fossé entre les croyants en un Dieu et les croyants en la non existence d'une Divinité jusqu'à preuve de contraire, fossé qui semble être la science ? Je demande cela car je suis croyant en un Dieu et je suis croyant en la science qui pour moi sont compati

Il y a des fossés entre toutes les catégories que l'on invente pour tenter de rendre compte des philosophies des uns et des autres. Ce sont souvent des fossés que l'on fabrique à force de creuser à la recherche des preuves qu'on a raison de penser différemment des autres. Mais certains sont de vraies lignes de fracture dans le mode de penser.
La science ne produit aucun résultat qui irait dans le sens d'une preuve de l'existence de Dieu ; sans chercher pour autant à prouver son inexistence, car ce n'est pas son boulot.
Les croyants ont toute latitude pour faire évoluer leur vision de "Dieu" et la rendre compatible avec les connaissances produites par la science. De toute évidence, les non-croyants n'ont pas cet effort à faire. C'est peut-être dans l'effort de concordisme qu'ils doivent fournir entre croyance religieuse et connaissances scientifiques que les croyants perçoivent le plus clairement le "fossé" épistémologique qui les sépare de l'athéisme. Fossé d'autant plus abrupt si on est un théiste confronté au fait que les Ecritures reçoivent depuis quelques décennies des démentis sur la présentation des faits "historiques" qu'on y peut lire.
La compatibilité entre religion et science me semble n'être qu'un desiderata quelque peu naïf fondé sur l'idée que cette compatibilité serait la garante de l'entente entre les humains. Derrière la 'compatibilité' se cachent bien des démons, et notamment celui du refus de la critique des religions et donc de la liberté de penser.
La religion est fondée sur une épistémologie défectueuse, et elle est donc incompatible avec la science qui est toute entière une entreprise d'amélioration épistémologique continue. amha
Mendax.

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Cette question est plutôt dirigé à Mendax du fait de ses qualifications de biologiste. La non-binarité des sexes (mâle, femelle etc...) chez les espèces vivantes comme les végétaux, est-elle compatible chez les humains? Les intersexes et les hermaphrodites sont-ils d'autres sexes?

Four Rooms
Les végétaux ont eux aussi un mode binaire (mâle-femelle), simplement les espèces ne sont pas forcément dioïques ; les individus ne sont pas nécessairement mâle ou femelles mais ils peuvent porter les deux sexes.
Notez que cela reste binaire, on retrouve du "mâle et du "femelle" et on n'a pas de troisième voie... Et cela remonte aux "stratégies" de reproduction qui se sont imposées comme étant visiblement parmi les plus efficaces : d'un côté l'investissement maximal dans peu de descendants et de l'autre un investissement minimal dans plein de descendants. Et même cela est un cas limite qui dérive du simple échange de matériel génétique qui existait déjà chez les "cellules" ancestrales de type bactérien. Dans la mesure où un échange de fragment d'ADN suppose nécessairement une cellule qui donne et une cellule qui reçoit, cette transaction implique de la binarité... Et donc le sexe trouve ses origines, et une forte contrainte à présenter un aspect binaire, dans cette histoire du vivant où la stratégie des échanges de gène a été la plus profitable aux organismes.
Je ne suis pas sûr que ça réponde à la question, mais ça me semble intéressant alors voilà...

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Liked by: T-Rex bedel cecile

bonjour, que pensez-vous de L'Ève mitochondriale et de son équivalent, l'Adam Chromosome-Y ? merci

Ce sont de très jolis noms pour des concepts un peu vertigineux qu'il ne faut pas confondre avec des individus qui auraient réellement existé. Ce sont des individus virtuels utiles pour comprendre l'histoire de notre lignée, mais aussi embêtant parce que d'une certaine manière ils empêchent de comprendre l'histoire de notre lignée : c'est un peu con du coup.
M.
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Suivant la bible, et plus précisément le passage que l'on connais tous sur St Thomas. Peux-ton dire que St Thomas est le premier sceptique connus et donc le père spirituel de la zététique ou tout du moins le premier zététicien ?

Ben avant St Thomas (personnage très très probablement fictif) on trouve Socrate (personnage probablement historique), Pyrrhon et tous les sceptiques de culture grecque.
D'autres avant eux ont sans doute nourri les mêmes réflexions. Les premiers zététiciens étaient philosophes, et j'ai tendance à penser que la zététique appartient à la philosophie, c'est une attitude de l'esprit critique vis-à-vis des méthodes qui permettent d'établir des connaissances sur le monde...
Mendax.

La zététique a pour principe d'appliquer un doute raisonnable sur ce qu'on sait, pour faire simple, il faut donc la remettre en doute. Or comment peut on remettre en cause la zététique? Car si on applique son principe, on reste sur notre position, disant que la zététique est fiable.

Aruisehu
La zététique, c'est notamment le refus des dogmes.
On pourrait dire que c'est en soi un dogme... mais en fait c'est plutôt un axiome : "douter de tout". Vous avez le droit de douter de l'axiome en question, et comme cela ne le rend pas faux, je pense que le cadre logique de la zététique fonctionne. C'est un éternel retour critique sur soi-même et ce que l'on pense ; peut-être n'est-ce pas fiable, mais on n'a pas mieux jusqu'à preuve du contraire.
M.
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La démarche zététique me semble très proche du cartésianisme. Dans le sens où vous adoptez la même démarche que lui (mise en doute etc) même si vos conclusion sont différentes, la démarche est semblable non? Peux tu m'expliquer la différence que vous faites?

Le cartésianisme, c'est lié à Descartes, et Descartes était notamment un incorrigible dualiste et il a refusé de remettre en doute l'existence de Dieu. Par ailleurs il n'est pas vraiment l'inventeur du doute hyperbolique comme on le dit souvent. Pyrrhon en faisait autant (à d'autres fins) deux mille as plus tôt.
Ca fait deux grosses différences avec le scepticisme moderne (qu'on l'appelle zététique ou autrement...).
Il y a donc une très grande parenté, mais aussi de réelles différences entre scepticisme et cartésianisme.
M.
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Est ce que les questions volontairement absurdes et qui tentent d'être drôles ont leur place ici ? :)

Il faut bien rire de temps en temps.
Je vous rassure : les moins drôles finissent à la poubelle. Vous n'avez pas idée de ce à quoi vous échappez.
M.
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