@Lamortvient

Hécate

faites éclater votre haine. comme un orage qui s'abat.

gaminefracassee’s Profile PhotoFantôme de dentelle.
Je suis fatigué. Fatigué de me battre contre les flots. Je frappe l'eau de toute mes force et elle me projette contre les rochers. Les rochers m'écorche,m’abîme. Mais je continue. Mes mains s'enfonce dans la mer que j'entends rugir de colère. Et je frappe,frappe,frappe. L'eau me recouvre mais je continue. Projeter encore une fois contre les rocher, une larme s'échappe de mon œil et pars rejoindre la mer furieuse. Mes tympan joue de la musique pour ce combat déloyal. Le sang semble s'être coincé à l’intérieur, comme pris au piège.
Les jointure de mes mains sont aussi blanche que l'écume de la mer. Mes lèvres tremble,délavé de tout baiser. Et je pousse un cris qui s'enlace avec le rugissement de la mer. Mes cheveux me colle à la nuque. Ils ont froids. Ils ont peurs. Mon corps est recouvert de plaies béantes. Qui ne cesse de saigner. Et bien qu'elles fussent cicatrisée les rocher impitoyable finirons par les rouvrir. Je ne sais plus si ce qui coule sur mes joues sont des larmes,de l'eau ou du sang. Je ne sais plus si j'ai froid de peur ou chaud de colère. Je ne sais plus combien de temps il faut que je me batte. Combien de temps il faut que je résiste. Tout ce que je sais c'est qu'il faut que je continue. Sinon je suis morte.
Il n'y a que les poissons mort qui suivent le courant.
-La meilleure vengeance est de vivre heureux-
faites éclater votre haine
comme un orage qui sabat
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Latest answers from Hécate

Et toi ma tendre amie, qu'a été ta vie dans les méandres? As-tu rencontré la tendresse ou ton coeur c'est endurci au contact des humains? J'aimerais que l'amour t'ai touché, car il y a en toi tellement de douceur, de tendresse malgré ta colère. Moi je te suis fidèle, tu es une âme que j'aime.

J'aimerai avoir plus de salive que de larmes ma douce.
Pour cracher aux visages de mes peurs.
Car avec des larmes; seule ma sérénité se noie.
Plonger mes ongles dans ma chaire ne fait pas taire les voix de l'angoisse.
Il n'y a que des traces.
Des traces de sel contre mes joues, des traces d'ongles sur ma peau.
On peut hurler de plaisirs et hurler de douleur.
Comme on peut rire à en pleurer.
Alors je gémis d'amour et d'angoisse,
Alors je brûle et je me baigne.
Me noircissant d'humanité, m'illuminant d'horreur.
-Favorable siècle-
Et toi ma tendre amie qua été ta vie dans les méandres Astu rencontré la

Le retour tant attendu de la déesse de l'ombre... Bon retour parmi nous, Hécate ~

TheLostRomantic’s Profile Photo~ Un Romantique Perdu ~
Je fendrais bien ma bouche pour t'offrir un sourire mon ami, mais hélas elle est cousue plus qu'il n'en faudrait.
Tu es un survivant, et j'en suis heureuse.
Favorable siècle à toi.

Quand nous reviendras-tu?

lolottemalaki’s Profile PhotoCaptain Hook.
Je reviens.
La lumière n'était que deux fares d'une voiture à pleine vitesse.
Je sens déjà mes os s'écraser contre celle-ci. Ils craques et ce brises en même temps que mes espoirs .
Mes pupilles rétrécient par la lumière avalent désormais mes iris encore apparentes.
Je me sens projeter.
Tout mon corps, mes pensées, mes larmes sont projetés en arrière.
Je reviens indéniablement vers la douleur. La lumière des fares est dégoulinante de sang, de douleur et de résignation.
Le chauffeur fou de la vie m'a encore couper en deux.
Qu'importe combiens de fois je remurais mes jambes, mes désires; Je ne les sentiraient plus.
Je reviens incontestablement vers la même obscurité.
-Ô êtres de poussières, demain vous le redeviendrez-
Quand nous reviendrastu

~

TheIceQueenInAFlameCastle’s Profile Photo❄️ The Ice Queen ❄️
-QUESTION GROUPÉE-
Faveur ô créatures d'Argiles.
Sagesse à celui dont mes questions ferons échos.
Malheur à celui dont rien ne touche.
Et Amour à celui dont réponse sera raison.
Aimez cette réponse et quelques humbles questions vous serons posé chaque lunes.
FAVORABLE SIÈCLE
QUESTION GROUPÉE 

Faveur ô créatures dArgiles
Sagesse à celui dont mes

Écris.

Fermé pour cause de tristesse.
Moi,
Mes yeux
Mes yeux lâches des torrents, éclaboussant mon visage de centaines de perles. Je suis seule face à milles questions qui résonnent dans cette grotte de conscience au fond de moi.
Un hiver de deux fois neuf années, dans un manteau de piques acérées. Qui me perçait le cœur, qui me perçait lame.
Libre et pourtant prisonnière. Entre mer et océan, entre moi et moi.
Un néant d’identité qui m'ouvre ses portes, me laissant près d'un miroir plus grand que mes doutes, réfléchissant mes interrogation.
Existentielles questions qui me narguent et rient de moi.
Ils me disent forte alors qu'au fond une terrible certitude hurle le contraire. A qui devais-je me référé? A Dieu? Dieu que j'ai déçu sans le moindre.
Je me confesse au créateur des créatures. Offre moi la vérité à mon sujet.
Dit moi qui je suis et de mon cœur je t'ouvrirais les portes.
-Les tunnels les plus sombres sont les moins long-

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Écris

Ô, Hécate, t'arrive-t-il d'aimer ?

ThomasFernandez870’s Profile PhotoVhandeer
Mon âme ,
Mon âme tressaute au rythme des battements de son cœur.
Ma peau fulmine, se dissout, à chaque tracé de doigts elle s'enfume, dans une corrosion magnifique.
Et tout s'évapore, haine, peur et solitude sont mortes. Entremêler. Deux souffle qui s’entremêle. Deux vie , insignifiantes seul et grandiose ensembles.
Et je trésaille.
Et je frisonne, mes sens brûles, sur-éveillés, mon touché entends et mon ouïe touche. Vivante. Terriblement humaine.
Humainement divine.
Divinement amoureuse.
-Donner à chaque émotion une personnalité, à chaque état d’âme, une âme-
Ô Hécate tarrivetil daimer

• Vous supportez-vous ?.

Je porte.
Je porte ce cœur lourd du liquide du passé.
Le noyant.
L'étouffant.
J'en crache sa résine, asséchant mes yeux, asséchant mes lèvres qui se craquellent dans de longues fissures rougeâtres.
Je me porte. Et je suis sèche, sèche d'une vie trop grande. Le vent sans air de la peur me prends les narine et je porte.
Porte des kilos et des kilos de souffrance qui me font ployez l'espoir. Et je porte le fardeau de mes erreurs.
Des erreurs...Des échardes qui me ronge, se faufilant dans une âme infecté, pourrie par le vice.
Et je supporte.
Et je me supporte.
-Supportez le poids immense d'un être bafoué par l'existence-
Vous supportezvous

Je ne sais pas qui tu es, mais j'espère qu'un jour tu trouveras la lumière

La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.
Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.
Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.
C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent !
Aux objets répugnants nous trouvons des appas ;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.
Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.
Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons,
Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.
Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
N'ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C'est que notre âme, hélas! n'est pas assez hardie.
Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,
II en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde ;
C'est l'Ennui ! L'œil chargé d'un pleur involontaire,
II rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal.

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Je ne sais pas qui tu es mais jespère quun jour tu trouveras la lumière

Language: English