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Tu me manques, et ce même avant que ton absence puisse s'installer. Tu me hantes, tu vagabonde toujours dans un coin de mes pensées, par de là les maux, toute cette d'incompréhension, causé par tant de mots, aveuglés par toute cette passion. Comment pourrais-tu comprendre, si tu savais seulement comme j'aimerai me rendre, je sens se briser mon cœur, qui ne bat plus et est en pleur, et j'ai pourtant cette douleur, qui me dit que ce n'est qu'un leurre, non pas sans espoir, que tu comprennes pourquoi mon départ. Ce silence je ne l'ai jamais voulu, c'est simplement qu'on ne se comprenait plus, et que quelque part nous nous sommes perdus.
Tu me manques toi, non ta jalousie, ou autres inepties. Tu me manques toi, mon ami, le compagnon de mes nuits, l'abruti, avec qui pendant des heures je ris, raconte ma vie et me confie. Lorsque je t'ai rencontré, j'avais la sensation d'avoir retrouvée la pièce manquante, cette autre bout de moi errant, ma moitié. Tu es le seul qui m'est apparu comme une évidence, dommage que tu ne puisses pas concevoir ou apercevoir l'étendue de la douleur que provoque ton ignorance.
Bien que tout soit éphémère ici bas, il est des liens qu'on ne défait pas, comme ce fil rouge rattachés à nos doigts, quoiqu'il arrive je reviendrai toujours vers toi.
Tu me manques toi, non ta jalousie, ou autres inepties. Tu me manques toi, mon ami, le compagnon de mes nuits, l'abruti, avec qui pendant des heures je ris, raconte ma vie et me confie. Lorsque je t'ai rencontré, j'avais la sensation d'avoir retrouvée la pièce manquante, cette autre bout de moi errant, ma moitié. Tu es le seul qui m'est apparu comme une évidence, dommage que tu ne puisses pas concevoir ou apercevoir l'étendue de la douleur que provoque ton ignorance.
Bien que tout soit éphémère ici bas, il est des liens qu'on ne défait pas, comme ce fil rouge rattachés à nos doigts, quoiqu'il arrive je reviendrai toujours vers toi.