« Et merde, j'ai encore échoué. J'avais réussi à remonter la pente, j'avais presque oublié tout ça. Je pensais pouvoir m'en sortir, je pensais que ça allait enfin se terminer. Il a fallut que tout ça refasse surface, il a fallut d'un instant de faiblesse pour retomber dans cette merde. J'en suis là, j'arrive plus à me détacher de son image, j'arrive plus à effacer ces souvenirs. Faut que ça cesse, j'en peux plus de vivre en passant mes journées à espérer sa présence à mes côtés, à espérer qu'il revienne chuchoter des mots doux aux creux de mes oreilles. Aidez-moi, j'en ai besoin. J'ai besoin que tout ça s'arrête, j'ai besoin que tu ne reviennes jamais. Tu hantes ma vie, il faut que tu partes. »
📍 Disneyland Paris, comme chaque année
📍 Italie, maybe
📍 Marrakech, maybe
📍 Plusieurs villes en France
« Je traverserais le monde à tes côtés. »
« Je suis tombée amoureuse d'un sourire, un sourire aux dents alignées, qui créer des fossettes sur ses joues rebondies où j'y laisserais mes doigts caresser la douceur de sa peau. Je suis tombée amoureuse d'un son, de sa voix douce et apaisante comme un bon vieux disque, de son rire aussi ridicule et contagieux que le mien, de son accent peu singulier. Je suis tombée amoureuse de gestes, d'un inclinement de tête quand il écoute, du passage de ses doigts fins dans ses cheveux obscurs, des mains qui virvoltent autour de moi pour expliquer des choses et des choses. Je suis tombée amoureuse d'un regard, des yeux qui se plissent à chaque sourire, d'un regard insistant et profond dans lequel mon âme s'y plonge. Je suis tombée amoureuse d'une personne, pas d'un nom. »
Cascade bavella, Corsica, June 2016
« Petite je rêvais du prince charmant, l'homme parfait. Je rêvais d'un château, d'être maman de plusieurs enfants. Petite je rêvais d'une vie parfaite. J'ai grandi, j'ai appris et j'ai compris. J'ai rencontré, j'ai embrassé et j'ai assimilé. Maintenant je rêve de toi, l'homme basique. Je rêve d'une vie à voyager, d'être ici et là-bas. Maintenant je rêve d'une vie passée à tes côtés. La seule chose qui a changé c'est la conception de l'homme parfait. »
« Je ne tiens plus. La vérité c'est que j'ai beau faire la fille sans sentiments, qui en a rien à faire de l'amour et des hommes : c'est faux. La vérité c'est que je m'en fou totalement, sauf de toi. J'ai beau me prouver que je ne ressens rien, me dégoûter des sentiments et me dire que l'amour ne me rendra que triste : la vérité c'est que je ne le pense pas, particulièrement pour toi. Je me sens différente et je crois que je n'aime pas ça. Je me sens vulnérable, tu me rends vulnérable. Je te déteste, non pas ta personne, mais je te déteste dans ton plus profond intérieur, cet intérieur qui m'attire et qui me rend si étrange. Depuis ce jour où nos corps ce sont touchés dans une étreinte sans fin j'ai perdu pied. Tu me fais perdre la tête, je te hais. »
« Je passe mes soirées à ressasser nos souvenirs. Je me dis que c'est pas vraiment fini, que rien n'est jamais terminé. L'amour est comme un feu, il suffit d'un coup de vent pour qu'il réapparaisse encore plus fort qu'avant. Parfois il m'arrive de me dire que tu ne penses pas à moi, que tu ne m'as jamais prêté attention et j'essaye de me dégoûter de ces sentiments que j'éprouve, mais l'amour est bien plus fort que ce que je ne pensais. L'amour nous emmène jusqu'à notre tombe avec ou sans l'être aimé. Alors je passe mes soirées à me demander si un jour nos deux corps ne feront qu'un, si je pourrais encore sentir ton parfum envoûtant, si je pourrais caresser tes joues rebondies et passer ma main dans tes cheveux. »
« If you can dream it, you can do it »
Pourquoi ? Peut être parce que en tant que grande rêveuse cette citation est l'une de mes motivations.
« J'ai peur de perdre,
J'ai peur de manquer,
J'ai peur de savoir
J'ai peur du mensonge,
J'ai peur d'être moi,
J'ai peur de te perdre,
J'ai peur de ne plus savoir,
J'ai peur d'échouer,
J'ai peur du monde,
J'ai peur des gens,
J'ai peur de l'infini,
J'ai peur de l'indépendance,
J'ai peur du feu,
J'ai peur d'avoir peur. »
« Nul ne peut atteindre l’aube sans passer par le chemin de la nuit. » -Khalil Gibran