@ParfaitementTriste

Gekyume

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Peut-on se contenter de soi-même ?
J'y suis enfin,
Forcer d'entendre ce requiem,
Destiné à des relations défunte.
Un sentiment de plénitude révolu,
Je ne regrette aucune de mes erreurs,
J'ai trop joué avec abus,
Finissant par devenir endormeur.
Payer le prix de mon inconscience,
Je pensais y être préparé,
Mon quotidien se résume à des absences,
Que je ne peux plus contrôler.
Devenir quelqu'un de meilleur,
Pour enfin pouvoir me côtoyer,
Mais perdre cette chaleur,
Des amis que j'ai fini par ennuyer.
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Flottant dans les airs, influencé par ses mots,
Tremblement de terre dans l'âme, sans aucun maux,
Elle laisse mon avenir en vert, et mon quotidien en mauve,
À quel point je deviens niais, lorsque je vois ma vie en rose,
Lorsque je la sens près, je rêve de la plus longue pause,
Je continuerais mes vers, en alliant mes proses,
Si ça permet de rendre clair, mon amour pour cette chose,
Cette femme tellement fière, créant une parfaite symbiose,
Tout le monde sait maintenant, ce qu'elle est capable de causée,
Une évolution fulgurante, et un sourire que j'avais oublié,
Il n'y a pas un moment, où je ne rêve de l'enlacer,
Une relation avenante, incapable de s'en lasser.

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Les poètes peuvent-ils écrire sans être tourmentés ? Inspirés par un bonheur profond, sans éphémérité
Suis-je frappé par une chance inouïe, d'avoir comme muse, ma petite chérie ?
Alors je désire la remercier, de tout ce que je vis depuis cet été,
D'accepter de sauter dans le vide, en imaginant un futur splendide à ses côtés,
De se créer des souvenirs, et de vivre des choses impossibles à prédire sans se tourmenter,
Elle est devenue une pièce de ma vie, que je ne suis pas prêt de bousiller, d'enlever
D'humeur taciturne, je vais continuer de m'ouvrir, d'évoluer
Un environnement nocturne, pourtant elle arrive toujours à l'éclairer,
Son sourire sincère me comble, et devient l'une de mes plus grandes fiertés,
Lui rendre ce qu'elle m'offre, combien me faudrait-il d'années ?
Elle fait fuir mes cauchemars, et mes sosies les plus hagards,
Lorsque je m'égards, je n'ai qu'à tenir ses mains si parfumées.

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Comprendre des mots tendres au détriment des cris stridents
L'habitude des boules au ventre remplacées par des insectes riants
Aubaine d'une rencontre inespérée faisant de l'ombre aux précédentes
Réunissant un visage dessiné et une gestuelle aussi craquante
Avoir une raison de s'élever afin de rester à ses côtés
Malgré la hauteur qu'elle convoite je m'envolerais de manière adroite
Afin de mériter son amour enjoué et son bonheur si coloré
Rien ne pourra être obstacle dans la construction de cet habitacle
Instrument de mon dévouement à cet être si délivrant
Encore une nouvelle écriture pour graver notre aventure

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Cauchemar éveillé
Lueur de la fin
Avide d'un chemin
Regorgeant de destinée
Ancrer dans l'esprit
Mes fantasmes enfouies
Alimentées par l'amour
Rouge tel un feu pourpre
Intimidant mes peurs bleues
Et effaçant ces vœux
D'une solitude profonde, insensée
Remplacé par une union désirée

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Calciné par une flamme froide
Liquéfié jusqu'à la moelle
Absorbé par deux noisettes
Riant de ces paillettes
Après le beau temps vient le beau temps
Même l'orage serait beau temps
Avec toi à mes côtés
Raréfiant chaque retombé
Intense idées d'avenir
En rêvant de ne jamais finir

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La fraîcheur d'une soirée abîmée,
Le cerveau malade, désarmé
Des étoiles en guise de pommade,
Les voir briller, polluées,
Une certaine allégorie romancée,
De mon esprit nevrosé,
Une lumière sans luminosité,
Des larmes douloureuses amarrées,
Dans la vallée de mon angoisse,
À une hauteur mortelle,
Penser à une poisse éternelle,
À un amour irréel,
La solitude revient,
Les incertitudes reviennent,
L'anxiété se maintient,
Les démons se maintiennent,
À quel point suis-je malade ?
À quel point ai-je peur d'elle,
Combien de balades,
Me feront oublier l'appel,
De mes doutes permanents,
Trop présents,
Craignant une douleur,
Une souffrance au cœur,
Ma confiance s'envole sans raison,
Quelques mots se font attendre,
Peux-tu sentir ma pression,
Ma désillusion,
Ma crainte d'être hors-norme,
D'être diagnostiqué,
D'être prisonnier,
De m'envoler et te laisser,
Avec une odeur en guise de copain,
Et des milliers de questions,
Je ne peux te perdre si je me perds moi-même,
Quelle étrange pensée,
Allusions d'une mort destinée,
Écrite, imaginée, sentie, rêvée,
L'abandon d'une métamorphose,
L'abandon d'une overdose,
De bienveillance en guise de cachets,
Je suis en train de tout recracher
Une seconde pour décider de ma vie,
Serait-ce fini,
Enjamber cette barrière,
Serait-ce fini,
Retour en arrière,
Suicidaire

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Devant cette eau impure,
Le corps dans des sables mouvants,
Plus besoin d'aucune parure,
Mon cœur en fauteuil roulant,
Marchera t'il à nouveau ?
Aussi hésitant qu'adulte,
Prends le temps de me voir,
Sans mes artifices illusoires,
Prends le temps de me voir,
Sans tes pensées occultes,
Alors nous pourrons nous accompagner,
Sans aucun besoin de destinée,
Vers l'eau ou même la terre,
Rejoins moi dans mon univers,
Tu verras des visions oubliables,
Des traumatismes périssables,
Alors nous évolueront,
Ensemble ou à reculons.
Puis, je reprends du galon,
Lorsque je n'ai pas l'opportunité de penser,
La capacité de me projeter,
La nécessité d'affection,
Je me sens petit devant ton être,
Tu te sens minuscule,
Aussi charmante que le crépuscule,
Mon regard se fige,
Apercevant un aitre,
Le retour de la défensive,
Prise de recul en permanence,
Les voix stridentes ont cessé,
Je continue de me sentir bloqué, gêné,
Mais par quoi ? Par qui ?
Me sentir libre,
Une liberté restreinte,
Des milliers d'astreintes,
Qui n'existent que dans ma tête,
Création d'un asset,
Pouvant bloquer mon inconscience,
Autant de défauts qu'on m'a répété, reproché,
Continuons seulement notre errance,
Cela me prouve que je ne suis pas si mauvais,
Je vais minimiser mes absences,
Et devenir abstrait.

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Jusqu'où vais-je m’écraser ? J’ai envie de me cacher durant tout l’été, durant toute la fin d’année et la décennie suivante. J’ai du mal à faire semblant, à prendre une voix enjouée, encouragée, motivée, lorsque mes parents m’appellent. A l’écrit non plus, je n’y arrive pas. Je tremble d’anxiété, d’angoisse, de stress, de fatigue, je n’en sais rien. Depuis combien de temps je fais semblant, est-ce que je me suis menti à moi-même tout ce temps ? Est-ce que ma résilience n’était qu’une illusion ? Est-ce que je n’étais pas débout mais seulement à genoux ? Je souffre de tellement de choses en même temps, je compatis de l’état des autres.J’espère que cela ne sera qu’un état déprimant et non dépressif. Je ne peux plus me permettre de ne pas être présent. Quoique, est-ce que ma présence change quelque chose ? Est-ce que mon absence se fera sentir ? Ne serait-ce pas plus mal que je m’évanouisse tout seul, dans cet appartement, sans que personne ne puisse jamais s’en rendre compte, avant ma désintégration. Comment tenir, comment fuir ces démons qui ont toujours sonné à la porte de mon cerveau. Ils sont enfin rentrés, malgré moi. Par les fenêtres que j’avais laissé ouvertes afin d’y laisser passer les rayons solaires. Quelle naïveté. Comment ai-je pu être si aveuglé par ma quête de devenir enfin quelqu’un de stable. Je dois tout abandonner, peut-être même mon propre corps. J’essaye d’inventer des choses stables sur lesquelles je peux tenir. Mon imagination ne me le permet plus, ma poitrine se tend de plus en plus. Mon regard ne peut mentir, je suis vidé de toute pensée future.

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Un appel à l’aide sans mots qui me viennent à l’esprit. De quoi me plaindre ? Ce sentiment de solitude qui m’a toujours animé, que j’ai souvent choisi. Un vide qui me ressasse les pires moments de ma vie. Isolé par les autres, isolé par moi-même, je demande l’aide de tout le monde en refusant chaque main tendue, quelle incohérence. Est-ce le karma qui me casse les jambes à chaque fois que je suis debout ? Mon endurance prend de plus en plus de coups, les poumons d’un addict à la mort et le cœur d’un adepte de la destruction. Encore combien de temps vont passer jusqu’à la prochaine pensée morbide ? Que faire, comment faire, comment plaindre en me mettant moi-même dans cette situation puis… Me plaindre à qui ? J’ai sûrement eu ce que je mérite. Espérer jusqu’à tout perdre, combien de personnes sourient à mon malheur ? Cela signifie sûrement que j’y suis destiné. Mes relations sont chaotiques, abstraites, rarement réciproques.Je ne veux plus de personne, je ne veux plus de discussion, je ne veux plus de sentiment, je ne veux plus de banalité, mais je ne veux plus de solitude non plus. Pourtant, je m’isole, je m’isole, je m’isole alors que je conseille l’inverse aux gens. Je suis ridicule, puérile, et tellement triste. Une bouteille à la mer avec mes organes à l’intérieur, en espérant finir dans l’estomac d’un monstre abyssal. J’ai oublié comment relativiser, j’ai oublié comment gérer autant de peine et de négativité. Je m’étais habitué à ne plus penser à sauter par le premier pont que j'aperçois. Je m’étais accoutumé à passer vite n’importe quelle phase mélancolique. Je ne ferais jamais l’apologie de la douleur, cependant je n’ai plus l’impression de trouver une quelconque raison de me relever. Je suis seul. Mon anxiété revient, je deviens accro à n’importe quel sentiment que je peux ressentir. Je m’accroche à n’importe quelle parole censée, qui me sort de mon quotidien,de ma tête, de ma bulle. J’en ai marre de rencontrer des gens, j’en ai marre d’analyser chaque acte de chaque individu, j’en ai marre d’espérer, d’imaginer, de rêver. J’en ai marre de ne plus penser à ma vie d’avant, ma vie d’après. J’en ai marre de fuir à chaque fois que je sens l’énervement montée, à chaque fois que je sens les larmes descendre. A chaque fois qu’on me pose des questions sur mon état, que répondre, quoi répondre. Je ne veux imposer ma négativité à personne. Tout le monde se sent mal autour de moi, je n’ai plus rien sur quoi, sur qui tenir. Tout se casse la figure, je pense à tout abandonner. Moi qui ai fait tant d'efforts pour ne plus jamais écrire ce genre de phrase. Un bon en arrière qui remet en question des années d’évolution. J’ai besoin de voir quelqu’un, un professionnel, sûrement. J’aimerais plonger dans l’eau avec le triple de mon poids accroché à ma taille. C’est fini, je crois que c’est fini, j’aimerais que ce soit fini. Plus aucune énergie n’émane de moi, au moment où je ne suis plus que le seul qui puisse me porter et m’éveiller.

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