Qu'aurai été mon enfance,
S'il n'y avait pas eu ta décadence ?
Tout ce temps ou on s'est mutuellement supporté,
C'est week-end durant à se chamailler,
Avec énormément de rires,
Qui on marqué ces souvenirs.
Cette joie de vivre que tu avais
Nous transportait,
Derrière tes manières de diablesse,
Se cachait un fond de sagesse.
Mais pas trop,
C'est comme le pastis et l'eau,
Il ne faut pas abuser des bonnes choses,
On en ferait une overdose.
La foudre a frappée.
Les cloches sonnent.
Le compteur s'est arrêté.
Les chants de l'église résonnent.
Malgré ta force et ta bonté,
Ton sourire et ton air déterminé,
Tout cela n'aura pas suffit,
A anéantir la maladie.
Mais elle a été la meilleure,
Pour détruire des dizaines de cœur.
Dont le mien qui se perd,
Lorsque les souvenirs me serrent,
Si fort que mon esprit va explosé,
Mais le fleuve, lui, refuse de déborder.
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