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Fermé pour cause de tristesse.
Elle passait son temps à lire des livres, elle les avalait tous un par un. Les Zola et les Baudelaire étaient ses préférés bien qu'elle eût un faible pour la littérature anglaise. La plume de Jane Austen la faisait s'envoler loin, très loin, c'était son côté romantique qui faisait surface. Elle était folle amoureuse d'Orgueils et Préjugés, cet amour terrible et passionnant entre Mademoiselle Bennet et Monsieur Darcy lui faisait perdre la tête. Elle aurait tellement voulu être à leur place, être aimée si intensément, pouvoir dire je t'aime à l'homme qui ferait chavirer son coeur.
-trois mai deux mille seize, perdue quelque part dans les sous bois-
Elle passait son temps à lire des livres elle les avalait tous un par un Les

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Oh et bien les gens doivent savoir que toi tu es une oeuvre d'Art à la fois attrayante et énigmatique Sachez-le !

Une œuvre d'Art? Wow, que ceci est flatteur !
Liked by: Carla

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L'aventure ultime de ma vie a toujours été de m'enfuir sans rien dire, partir loin pour ne plus revenir. J'ai toujours eu ce sentiment qui me disait qu'ailleurs c'était mieux, que c'était plus beau, que c'était plus vivant. Cette idée a bercé mon enfance puis avec le temps elle s'est estompée et puis elle a fini par disparaître pour ne plus devenir qu'une folie de jeunesse.
Ce soir, perdue dans la mélancolie des années passées, j'ai repensé à cette folie qui voulait m'amener découvrir le monde, j'y ai repensé et ça m'a paru comme une évidence, je devais partir. Le monde attendait d'être conquis et il me tardait de le découvrir. Quand la monotonie vous embrasse du bout des lèvres et que ça vous donne la gerbe c'est le signe que vous devez vous en aller.
Laventure ultime de ma vie a toujours été de menfuir sans rien dire partir

As-tu un livre dernièrement, une image,une musique, une citation, quelque chose qui t'as marqué à nous partager ?

HoplessHysteria’s Profile PhotoTigedeRose
Lana Del Rey, Monologue Ride
“J'étais dans l'hiver de ma vie et les hommes que j'ai rencontré le long de la route étaient mes étés. La nuit, je m'endormais avec des visions de moi dansant, chantant et pleurant avec eux. Trois ans d'un tour du monde sans fin, et mes souvenirs ont été les seules choses qui m'ont soutenu et mes vrais seuls moments de bonheur. J'étais une chanteuse, pas très populaire, qui avait jadis le rêve d'être un grand poète - mais par une série d'événements malheureux, a vu ses rêves effacés et brisés comme un million d'étoiles dans le ciel de la nuit. Mais je m'en fichais parce que je savais qu'il est possible d'obtenir ce que vous avez toujours voulu, puis le perdre et alors savoir ce qu'est la réelle liberté.Quand les gens que je connaissais ont découvert la façon dont je vivais, ils m'ont demandé pourquoi. Mais ça ne sert à rien de parler à des gens qui ont une maison, ils n'ont aucune idée de ce que c'est que de chercher refuge chez d'autres personnes.
J'ai toujours été une fille étrange ma mère me disait que j'avais une âme de caméléon. Pas de boussole morale indiquant le nord, sans personnalité fixe.
Juste une fermeté intérieure aussi large et vacillante que l'océan. Et si je disais que je n'avais pas prévu que tout soit comme ça, je mentirais, parce que je suis née pour être l'autre femme. J'ai appartenu à une personne qui appartenait à tout le monde, qui n'avait rien, qui avait une obsession pour la liberté qui m'a terrifiée au point que je ne pouvais même pas parler et m'a conduit à un point où la folie m'a éblouie et étourdie.Chaque soir, j'avais l'habitude de prier pour que je trouve des personnes sur une route ouverte. Nous n'avions rien à perdre, rien à gagner, rien que nous ne désirions plus, sauf celle de faire notre vie une oeuvre d'art.Je crois en le pays qu'a été l'Amérique. Je crois en la personne que je veux être, je crois en la liberté de la route. Et ma devise est toujours la même, je crois en la bonté des étrangers. Et quand je suis en guerre avec moi-même, je roule. Je continue de rouler.Qui êtes-vous? Etes-vous en contact avec vos fantasmes les plus sombres? Avez-vous créé une vie pour vous-même où vous êtes libre d'en faire l'expérience? Je l'ai. Je suis une putain de folle, mais je suis libre.”

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Quand j'étais petite ma mère me rappelait souvent de sourire. J'avais toujours cet air triste au visage, le doute se lisait dans mes yeux mais la peur le dominait. Une peur du monde qui m'entourait. Plus j'ai grandi, plus mon incompréhension grandissait. Je ne parlais point, je ne comprenais pas les gens, je me sentais à part dans cette société. On m'appelait l'alouette sauf que moi je ne chantais jamais, j'étais l'oiseau restée muet.
Ma mère jadis, voyait déjà en moi un être perdu.
Quand jétais petite ma mère me rappelait souvent de sourire Javais toujours

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-T'as des larmes aux coins de tes yeux et cette fois-ci tu pourras pas me dire que c'est la pluie.
Tes excuses sont tellement nulles, mais je t'en veux pas. Quand on a utilisé toutes les excuses possibles même les plus idiotes deviennent pour nous intelligentes. Alors maintenant tu peux me dire que ça a jamais été la pluie, dis-le-moi que tu souffres en silence, que dans ta tête ce n'est pas très claire, dis-le-moi une bonne fois pour toutes. Je te jugerai pas parce que tu sais, moi c'est pareil, les nuages sont souvent au-dessus de ma tête et des fois la pluie s'amuse à traverser mon visage comme pour me montrer ma descente en enfer, ma chute vers le bas.
Tas des larmes aux coins de tes yeux et cette foisci tu pourras pas me dire

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Language: English