Oh, je ne le suis que rarement. Lorsque que je sens que je risque d'imploser, je viens ici et je me balade sur le site. Il y a vraiment de belles personnes ici, elles sont rares mais incroyablement attendrissantes.
Elles m'insufflent un peu de joie.
Ou sinon je m'engouffre dans les bras de mon adorée lorsqu'elle n'est pas la cause de mon malheur.
"J'ai peur de l'amour que je ressens pour elle. Dévastateur. Passionnel. Il m'ôte par fois de toutes notions de lucidité.
Et cela m'affecte d'autant plus de savoir que cet amour que je ressens pour elle est un blasphème impardonnable pour ceux que j'affectionne."
"L'unique chose qui me maintenait en vie était cette discrète lueur d'espoir au fond de tes yeux. Je savais que d'une manière ou d'une autre, nous allions nous retrouver. Rien n'était perdu et tu reviendrai vers moi comme tu l'as toujours fais.
Mais les jours passaient et je me renfermais sur moi-même tandis que les idées noires embuées mon esprit. Je perdais le sourire et cette folie qui te plaisait tant chez moi.
Un amas vide qui s'efforçait de respirer. Qu'étais-je devenu? J'étais effrayée."
Je tenterai de les faire honneur par mes écrits. Inutile de me remercier. :)
Ton ask respire l'amour et la joie de vivre, j'aime beaucoup.
Et tu égayes le mien en m'offrant ce beau tiret, je te remercie Alessandro.
La dépression est une maladie, je ne suis pas malade.
"L’ironie du sort fait que nous devons nous rapprocher le plus possible du néant afin de pouvoir profiter pleinement des plaisirs simples de la vie. Ce n’est qu’une fois que nous avons atteint le point culminant de la douleur, ce n’est qu’une fois avoir frôler le désir d’y mettre fin que l’on s’éveille. "
La réelle question que je me pose c'est comment je fais pour être si malheureuse, j'ai beau essayée de rester positive des fois j'aimerai juste disparaître
Ça dépend de ce que tu entends par philosophique, dans tous les cas, je me définis pas comme ça
