80% des personnes en situation de handicap souffrent d’un handicap invisible, c’est-à-dire qui n’estpas détectable directement.On les oublie beaucoup, et pourtant la liste est longue : Autisme, Fibromalgie, Dyspraxie,Épilepsie, SED, etc..https://youtu.be/bwZ1uqlQI6s
Brise mes souvenirs, Ignore mes peurs. Brise mon sourire, Ignore ma douleur. Comme une ennemie, Brise mon âme. Et dans les flammes, Je me consume, moi, ton amie.
« T'es instable | T'es juste fan de plans à trois | T'as le cul entre deux chaises | T'es une personne en carton | Fausse lesbienne/Faux gay | T'es forcément infidèle | T'es juste nympho ». La bisexualité existe, la biphobie aussi.
Accuser une personne d'une chose dont tu es toi-même coupable et lui faire reproche sur reproche est pour moi le paroxysme de l'hypocrisie. L'expression « Fais ce que je dis, pas ce que je fais » prend ici tout son sens.
"On ne peut pas tout voir / Tu exagères / T'es sûre de ne pas l'avoir un peu cherché? / Laisse dire, ignore-les / Y'a des choses plus graves dans la vie / Ça forge le caractère / Tu t'en remettras / Au pire, change d'école". Quand l'établissement scolaire devient complice.
Pour les faire rêver, pour leur dissimuler le plus longtemps possible la difficulté de la vie qui les attend. On leur raconte que tout se finit bien, que les gens sont bons et que les mauvaises personnes ne gagnent jamais, on leur dit qu'il n'y a rien de plus beau que l'amour. Les pauvres, s'ils savaient.
Dis-moi où j'ai merdé, à partir de quel moment j'ai cessé de te convenir. Je croyais en toi, même si parfois les doutes étaient présents. Mais je te croyais, peut-être qu'au fond cela m'arrangeait, tu sais, comme un instinct de survie, pour éviter de souffrir. Le retour de bâton est bien plus douloureux, le réveil violent. Comment avancer désormais ? "J'ai commis une erreur" me dis-tu, mais comment te faire confiance à présent ? C'est donc cela, le cercle vicieux dans lequel je me suis emprisonnée ? Tu fautes, je te pardonne, la vie redevient agréable, puis tu recommences, et ainsi de suite. Mes blessures sont ouvertes de nouveau, et tu as mon sang sur tes mains.
Il est raisonnable de pardonner la faute d'une personne. Mais lorsque le droit à l'erreur est épuisé, si la trahison devait recommencer, il est nécessaire de ne plus pardonner.
Un compliment. Une bonne musique. Un baiser sincère. Un bon repas. Une réussite. Un café chaud. Un orgasme. Un bon film. Une bière fraîche. Un oiseau qui chante. Un animal doux. Un bain relaxant. Une invitation au restaurant. Une présence bénéfique. Un cadeau. Une relation saine.
La confiance en soi représente la capacité tandis que l'estime de soi représente la valeur. L'un est une étape pour faire exister l'autre. Dans mon cas, je ne me sens pas toujours capable et je ne me considère pas comme importante.
Je t'ai vu me faire du mal. Je t'ai regardé, sans un mot, sans un bruit. Et j'ai prié, du plus profond de mon âme, que cela cesse au plus vite. J'ai compté les secondes, quelques centaines pour être précise. 543 secondes. Gravées en moi, dans mon corps de femme, dans ma mémoire. Finalement, des secondes, il en faut peu pour briser une personne à jamais.