Depuis des années j'écoute des enregistrements de pluie toute la nuit c'est ce qu'il y a de plus apaisant pour moi, sans ça j'angoisse, je ne supporte pas le silence complet.
J'ai récemment été voir Miss Peregrine et les enfants particuliers, j'avais vraiment adoré les livres et avais envie de voir si Burton en avait fait quelque chose de chouette. Et j'aimerais beaucoup voir Les Animaux Fantastiques qui sort bientôt, étant une grande fan de l'univers de Rowling (j'espère ne pas être déçue comme je l'ai été avec l'adaptation écrite de la pièce de théâtre The Cursed Child...).
Quels sont les bruits/sons que tu aimes bien entendre ? Et à l'inverse, quels sont ceux qui te crisper ?
L'orage, la pluie, le crissement de la neige sous mes pas, le vent qui fait danser les feuilles dans les arbres, tous les sons d'une nature qui vit me plaisent.Je n'aime pas le bruit des ondes, auxquelles je suis très sensible, tout comme l'absence de bruit le plus total, le silence complet, qui m'effraie.
Exactement ! Et c'est génial, une soirée parfaite ! Une bougie aux odeurs d'oranges.. J'adore cette odeur *-*. Et bien évidement un plaid bien tout doux :3
Pareil et ce sont les seules qui ne me donnent pas vite mal à la tête! Vive l'automne!
Mais juste ça il me faut pour Halloween : Harry Porter et Tim Burton, puis j'adore la citrouille. Et trouver une personne qui veut bien faire ça avec moi, c'est cool xD
Je voue un culte à la citrouille! On ajoute une bougie parfumée et un plaid sur les épaules ainsi qu'une boisson chaude (pumpkin spice latte à tout hasard!) , bim on a un truc parfait!
Ton programme Halloween me semble génial ! On se connaît pas, mais je peux me joindre à toi ? xD
Yay! Avec plaisir! Mais bon faut dire qu'Halloween semble tellement plus génial en Amérique, ici c'est plutôt triste y a pas grand chose qui se passe..
« - Et j'ai pris mes jambes à mon cou. J'ai fui. L'air froid pinçant mes poumons au fil de mes inspirations saccadées. Prisonnière de mon passé, de mon présent. Des images tourbillonnent dans ma tête. Plus inacessibles que jamais. Je ne peux les atteindre. Je ne peux les vivre, les revivre. Le vent souffle, hurle dans mes oreilles. J'accélère alors. Je ne suis pas seule. Il m'accompagne. Je ne doute pas de l'existence de ce que je ne peux voir. Il est partout même s'il ne l'est pas. Paradoxal, n'est-ce pas? Je n'ai pas arrêté cette course folle. Je ne sais même pas pourquoi je m'acharnais à un tel point. Je savais juste que je devais partir, quitter cette folie, ce quotidien. Avant qu'il m'bouffe, qu'il m'use, qu'il m'ruine. Courir. Le plus vite possible. Le plus loin possible. - Tu voulais arriver où en t'cassant ainsi? - J'ai entamé le plus absurde, le plus stupéfiant des voyages. J'suis allée au bout d'moi même. »