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Latest answers from Rumpelstiltskin.
J’ai envie de te rendre heureuse
Le souffle éparse et les pensées dans le même état, quel curieux carambolage de mes sens. Je confonds ton goût et ton odeur dans mes rêves, ils se mélangent et se fondent en un délicieux élixir d'amnésie qui ne me donne qu'envie de te re-découvrir chaque jour à la lueur vacillante d'une bougie.
Vacillant, c'est aussi l'état de mon âme. Dans ce bain chaud, elle s'est écrasée sur les lignes de ton visage. À la douceur de tes lèvres contrastait la brûlure de ton regard, que n'aurais-je pas donné pour goûter encore à ta bouche sur la mienne.
Aux souvenirs doucereux oscillants entre bonheur et amertume, je lève mon verre. Puisse la nouveauté emporter avec elle tous les tourments du passé et me noyer dans un océan de certitudes.
Vacillant, c'est aussi l'état de mon âme. Dans ce bain chaud, elle s'est écrasée sur les lignes de ton visage. À la douceur de tes lèvres contrastait la brûlure de ton regard, que n'aurais-je pas donné pour goûter encore à ta bouche sur la mienne.
Aux souvenirs doucereux oscillants entre bonheur et amertume, je lève mon verre. Puisse la nouveauté emporter avec elle tous les tourments du passé et me noyer dans un océan de certitudes.
qg. qu'est ce qui vous fait aimer la vie ? douce après-midi.. 💫
2300m.
C'est en rentrant ce soir là et en emplissant mes poumons de l'air glacial habituel à cette altitude que je réalise. Je suis seule, comme je l'ai souvent été, mais cette solitude est réconfortante. En levant la tête et en observant ces milliers d'étoiles que l'on ne peut pas même s'imaginer en ville, je me rends compte que je suis là où j'ai toujours voulu être. Les sommets se perdent dans l'immensité blanche de la nuit, seulement éclairés d'un croissant de lune. Le mètre de neige recouvrant le toit des maisons me fait sourire, j'ai déjà hâte de revoir cette tempête de flocons blancs voltigeants au-dessus de nos têtes.
Quel bonheur de savoir que demain, aux premières lueurs du jour, je chausserai mes skis et dévalerai les pentes pour aller travailler.
Quel plaisir, quelle vie.
C'est en rentrant ce soir là et en emplissant mes poumons de l'air glacial habituel à cette altitude que je réalise. Je suis seule, comme je l'ai souvent été, mais cette solitude est réconfortante. En levant la tête et en observant ces milliers d'étoiles que l'on ne peut pas même s'imaginer en ville, je me rends compte que je suis là où j'ai toujours voulu être. Les sommets se perdent dans l'immensité blanche de la nuit, seulement éclairés d'un croissant de lune. Le mètre de neige recouvrant le toit des maisons me fait sourire, j'ai déjà hâte de revoir cette tempête de flocons blancs voltigeants au-dessus de nos têtes.
Quel bonheur de savoir que demain, aux premières lueurs du jour, je chausserai mes skis et dévalerai les pentes pour aller travailler.
Quel plaisir, quelle vie.
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Je n'ai jamais eu peur de dire je t'aime.
Ces mots ont toujours sonnés vrais sitôt qu'ils s'entremelaient dans mes pensées, je n'ai jamais cherché à les contredire ni même à les enfouir sous des montagnes de faux semblants. Je chéris, dès que je peux, ce manque douceureux qu'ils induisent et cette délicate brûlure de l'âme. J'accueille à bras ouverts son lot d'espoir et, évidemment, de déception. Mais, chaque fois que ça m'arrive, je souris et pense :
"C'est reparti. Merci."
À la vie,
Aux mots qu'on pense un peu trop fort mais qu'on ne dit que trop peu,
À toi.
Ces mots ont toujours sonnés vrais sitôt qu'ils s'entremelaient dans mes pensées, je n'ai jamais cherché à les contredire ni même à les enfouir sous des montagnes de faux semblants. Je chéris, dès que je peux, ce manque douceureux qu'ils induisent et cette délicate brûlure de l'âme. J'accueille à bras ouverts son lot d'espoir et, évidemment, de déception. Mais, chaque fois que ça m'arrive, je souris et pense :
"C'est reparti. Merci."
À la vie,
Aux mots qu'on pense un peu trop fort mais qu'on ne dit que trop peu,
À toi.
Quand t'arrive t il de faire semblant ?
Depuis combien de temps mes Je t'aime sonnent-ils faux, je ne saurais le dire.
Il y en a eu quelques uns, je le confesse, prononcés sous alcool, qui me semblaient vrais. Ils l'étaient, sur l'instant. Après tout, il est admit que l'alcool est un puissant sérum de vérité.
Mais, peut être n'était-ce que des faux semblants.
Il y avait longtemps que mes doigts ne s'étaient pas retenus de les écrire. De les jeter en pâture, sans le moindre remords, au coeur meurtris que tu ne me caches pas. Alors, peut être que c'est toi. La rennaissance après des mois si chaotiques. La vie après la mort. L'onde de choc qui me fera repartir, plus intensément, plus sereinement. Peut être seras-tu celui qui me fera abandonner ces penchants, pour la multiplicité des rencontres et des étreintes.
Alors, laisse moi te l'écrire ici, une première fois. A l'abris des tes yeux, de ton jugement, de tes peines et de tes espoirs. Laisse-moi ne plus faire semblant.
Je t'aime.
Il y en a eu quelques uns, je le confesse, prononcés sous alcool, qui me semblaient vrais. Ils l'étaient, sur l'instant. Après tout, il est admit que l'alcool est un puissant sérum de vérité.
Mais, peut être n'était-ce que des faux semblants.
Il y avait longtemps que mes doigts ne s'étaient pas retenus de les écrire. De les jeter en pâture, sans le moindre remords, au coeur meurtris que tu ne me caches pas. Alors, peut être que c'est toi. La rennaissance après des mois si chaotiques. La vie après la mort. L'onde de choc qui me fera repartir, plus intensément, plus sereinement. Peut être seras-tu celui qui me fera abandonner ces penchants, pour la multiplicité des rencontres et des étreintes.
Alors, laisse moi te l'écrire ici, une première fois. A l'abris des tes yeux, de ton jugement, de tes peines et de tes espoirs. Laisse-moi ne plus faire semblant.
Je t'aime.
Beaucoup de fautes dans ta dernière réponse....
Oui, je l'ai vu le lendemain.
Boire ou écrire, il faut choisir.
Boire ou écrire, il faut choisir.
Dans quoi se réfugier ?
Diable que tu m'avais manqué.
Ton goût, ta chaleur douce s'insinuant délicatement le long de mon gosier, les pensées que tu induis et cette improbable innocence que tu insuffles dans mes veines.
Diable, que la hauteur de l'ivresse que tu me procures semblait lointaine. Depuis combien de nuit n'avais-je pas levé les yeux au ciel pour contempler les étoiles ? Je n'ai pas assez de doigt pour les compter. C'est qu'on si perd sans toi, dans ce si vaste monde. C'est qu'on si perd cent fois.
Un verre, puis deux, puis trois, puis des tas. J'avais oublié cette immense farce qu'était de vouloir passer pour lucide quand on se noit dans des verres bien trop creux. Cette réflexion poussée pour aligner quelques mots sournois, mais quel effort ! Un délice.
Merci pour cette soirée, mon ami.
Tequila, rhum, vodka, merci mille fois.
Ton goût, ta chaleur douce s'insinuant délicatement le long de mon gosier, les pensées que tu induis et cette improbable innocence que tu insuffles dans mes veines.
Diable, que la hauteur de l'ivresse que tu me procures semblait lointaine. Depuis combien de nuit n'avais-je pas levé les yeux au ciel pour contempler les étoiles ? Je n'ai pas assez de doigt pour les compter. C'est qu'on si perd sans toi, dans ce si vaste monde. C'est qu'on si perd cent fois.
Un verre, puis deux, puis trois, puis des tas. J'avais oublié cette immense farce qu'était de vouloir passer pour lucide quand on se noit dans des verres bien trop creux. Cette réflexion poussée pour aligner quelques mots sournois, mais quel effort ! Un délice.
Merci pour cette soirée, mon ami.
Tequila, rhum, vodka, merci mille fois.
qg. solitude.. douce soirée.
Et malgré la foultitude de chansons qui te rappellent à moi, j'avais oublié celle qui m'a heurtée ce soir.
Souviens-toi, de cette chanson que tu avais soumis à mon jugement un après-midi, au fond de ce bus scolaire qui nous ramenait chez nous. Souviens-toi de ma tête posée sur ton épaule, ne sachant pas encore la claque qu'elle allait prendre. Dès les premières notes jouées au piano, me voilà conquise. Et c'est quand la voix se mêle subtilement aux accords, que je me souviens avoir enfoncé ma tête plus encore dans le creux de ton cou. Ce n'était pas pour cacher mes larmes -ma main à couper que tu les avais déjà vues, mais pour savourer cet instant au plus près de toi. 9/10. Sûrement ta meilleure proposition, à jamais.
Et ce soir, dès les premières notes, voilà qu'une grossière vague déborde de mes yeux sans crier gare. C'est que mon âme a du trembler bien fort à l'évoquation de ces souvenirs.
Souviens-toi, de cette chanson que tu avais soumis à mon jugement un après-midi, au fond de ce bus scolaire qui nous ramenait chez nous. Souviens-toi de ma tête posée sur ton épaule, ne sachant pas encore la claque qu'elle allait prendre. Dès les premières notes jouées au piano, me voilà conquise. Et c'est quand la voix se mêle subtilement aux accords, que je me souviens avoir enfoncé ma tête plus encore dans le creux de ton cou. Ce n'était pas pour cacher mes larmes -ma main à couper que tu les avais déjà vues, mais pour savourer cet instant au plus près de toi. 9/10. Sûrement ta meilleure proposition, à jamais.
Et ce soir, dès les premières notes, voilà qu'une grossière vague déborde de mes yeux sans crier gare. C'est que mon âme a du trembler bien fort à l'évoquation de ces souvenirs.
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Bonsoir, toi.
Quelle surprise de te retrouver à la lueur de la lune dans le fond de mes pensées, ce soir, alors que rien ne m'y avait préparé.
Puisqu'il paraît que rien ne s'oublie jamais, je te pardonne cette intrusion tardive. L'illusion de ta présence me fait l'effet d'une flamme brûlante et vacillante, qui menace de s'éteindre si je m'approche d'un peu trop près. Et comme il est admis que tu m'as déjà brûlé, tu comprendras si je te préfère aujourd'hui avec la distance qui nous sépare.
Mais si tu acceptais simplement de réchauffer mon coeur -rien qu'une seconde, je veux bien accueillir cette flamme le sourire aux lèvres.
Avant que tu ne te dissipes dans la nuit, embrasse-moi une dernière fois.
J'attends toujours ton au revoir.
Quelle surprise de te retrouver à la lueur de la lune dans le fond de mes pensées, ce soir, alors que rien ne m'y avait préparé.
Puisqu'il paraît que rien ne s'oublie jamais, je te pardonne cette intrusion tardive. L'illusion de ta présence me fait l'effet d'une flamme brûlante et vacillante, qui menace de s'éteindre si je m'approche d'un peu trop près. Et comme il est admis que tu m'as déjà brûlé, tu comprendras si je te préfère aujourd'hui avec la distance qui nous sépare.
Mais si tu acceptais simplement de réchauffer mon coeur -rien qu'une seconde, je veux bien accueillir cette flamme le sourire aux lèvres.
Avant que tu ne te dissipes dans la nuit, embrasse-moi une dernière fois.
J'attends toujours ton au revoir.
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Tu avais raison et c'est la fraîcheur de la nuit et les étoiles qui auront eu raison de mon sommeil.
Me voilà donc, sur ta terrasse, assise sur ce fauteuil que tu sembles tant chérir. C'est qu'il a du en voir passer, le chanceux, des paires de jambes.
A défaut de m'avoir attrapée dans ses filets, le sommeil semble t'avoir emporté prestement. Ce n'est pas que la chaleur de ton corps nu me dérangeait, bien au contraire, mais ton sommeil semblait bien trop lourd pour que je n'ai eu envie de l'interrompre. Ces étoiles, que l'on voit étonnamment si bien de chez toi -je le confesse, sont les seuls à briller ce soir. Nos verres vides, puis pleins, puis de nouveau vides, n'auront réussi qu'à noyer celles aux fond de nos yeux.
Je me dis que peut être, dans une autre vie, si nos âmes s'étaient accrochées avant d'être écorchées par d'autres, aucun verre n'aurait pu noyer les étoiles qui brillaient jadis au fond de nos yeux innocents.
À ce 25 juillet.
Merci.
Me voilà donc, sur ta terrasse, assise sur ce fauteuil que tu sembles tant chérir. C'est qu'il a du en voir passer, le chanceux, des paires de jambes.
A défaut de m'avoir attrapée dans ses filets, le sommeil semble t'avoir emporté prestement. Ce n'est pas que la chaleur de ton corps nu me dérangeait, bien au contraire, mais ton sommeil semblait bien trop lourd pour que je n'ai eu envie de l'interrompre. Ces étoiles, que l'on voit étonnamment si bien de chez toi -je le confesse, sont les seuls à briller ce soir. Nos verres vides, puis pleins, puis de nouveau vides, n'auront réussi qu'à noyer celles aux fond de nos yeux.
Je me dis que peut être, dans une autre vie, si nos âmes s'étaient accrochées avant d'être écorchées par d'autres, aucun verre n'aurait pu noyer les étoiles qui brillaient jadis au fond de nos yeux innocents.
À ce 25 juillet.
Merci.
Quel genre de surprise aimes-tu ?
Du genre musicale.
