❤️ Likes
show all
🔥 Rewards
show all
Latest answers from 小さな光.
qg. qu'est ce qui vous raccroche à la vie ? douce soirée à vous.. ✨️
Croyez vous au coup de foudre
J’me souviens de notre premier regard.
Transpercée de part en part par ces deux orbes bleu glacier, j’étais projetée dans cette vacuité où le temps était suspendu, le souffle coupé par la foudre qui s’était abattue dans ma poitrine.
Ton souffle chaud caressant ma nuque, m’électrisant à chaque inspiration, enveloppés dans les draps. Des années après, il ne reste que ce souvenir là. Mais mon âme est encore brûlante de toi.
- 小さな光.
Transpercée de part en part par ces deux orbes bleu glacier, j’étais projetée dans cette vacuité où le temps était suspendu, le souffle coupé par la foudre qui s’était abattue dans ma poitrine.
Ton souffle chaud caressant ma nuque, m’électrisant à chaque inspiration, enveloppés dans les draps. Des années après, il ne reste que ce souvenir là. Mais mon âme est encore brûlante de toi.
- 小さな光.
+ 1 💬 message
read all
-
- Qu’est-ce que je deviendrais dans 15 ans ?
- Ma belle… Dans 15 ans, tu seras une jeune femme bien plus accomplie qu’aujourd’hui. Tu comprendras que le monde n’est pas celui que tu imagines. Il te faudra cultiver ta propre paix intérieure pour y trouver l’apaisement. Tu vas souffrir. Et malheureusement, tu feras souffrir. Mais tu t’en relèveras. Tu auras pris le temps de te construire et de te reconstruire. Et tu finiras par te pardonner. Longtemps, tu auras le sentiment de ne suffire pour quiconque. D’être toujours «trop» ou «pas assez». Mais tu es telle que tu es. Et cela deviendra ta force.
Ma belle… D’ici 15 ans, tu aimeras. Cela ne suffira pas toujours, mais tu ne pourras t’en empêcher. Et parce que tu aimeras, trop fort, ou pas comme il faut, tu connaîtras un immense chaos. Mais chaque blessure, chaque peine, chaque tourment seront autant d’épreuves qui te permettront de grandir. Ma belle… N’abandonne pas. Même si c’est dur. Même si tu penses que cela n’en vaut plus la peine. Même si tu te sens couler. Car ta condamnation d’aujourd’hui sera ton salut de demain.
Ma belle… Tu n’es pas obligée de plaire à tout le monde. Entoure-toi seulement de la bienveillance que tu mérites. Et fait confiance à l’avenir. Ton ami d’aujourd’hui peut être celui qui te trahis. Celui que tu haïs peut aussi devenir ton ami.
Ma belle… Prépare toi à endurer sans faillir. À pardonner sans excuse. À perdre énormément et à gagner plus encore.
Ma belle… Apprend à t’aimer sans condition. Et par dessus tout, à vivre sans retenue.
小さな光.
- Ma belle… Dans 15 ans, tu seras une jeune femme bien plus accomplie qu’aujourd’hui. Tu comprendras que le monde n’est pas celui que tu imagines. Il te faudra cultiver ta propre paix intérieure pour y trouver l’apaisement. Tu vas souffrir. Et malheureusement, tu feras souffrir. Mais tu t’en relèveras. Tu auras pris le temps de te construire et de te reconstruire. Et tu finiras par te pardonner. Longtemps, tu auras le sentiment de ne suffire pour quiconque. D’être toujours «trop» ou «pas assez». Mais tu es telle que tu es. Et cela deviendra ta force.
Ma belle… D’ici 15 ans, tu aimeras. Cela ne suffira pas toujours, mais tu ne pourras t’en empêcher. Et parce que tu aimeras, trop fort, ou pas comme il faut, tu connaîtras un immense chaos. Mais chaque blessure, chaque peine, chaque tourment seront autant d’épreuves qui te permettront de grandir. Ma belle… N’abandonne pas. Même si c’est dur. Même si tu penses que cela n’en vaut plus la peine. Même si tu te sens couler. Car ta condamnation d’aujourd’hui sera ton salut de demain.
Ma belle… Tu n’es pas obligée de plaire à tout le monde. Entoure-toi seulement de la bienveillance que tu mérites. Et fait confiance à l’avenir. Ton ami d’aujourd’hui peut être celui qui te trahis. Celui que tu haïs peut aussi devenir ton ami.
Ma belle… Prépare toi à endurer sans faillir. À pardonner sans excuse. À perdre énormément et à gagner plus encore.
Ma belle… Apprend à t’aimer sans condition. Et par dessus tout, à vivre sans retenue.
小さな光.
Je suis dans l'attente de nouvelles publications de ta part, alors peut-être pourrais-tu nous partager une chose qui t'a récemment intriguée, émerveillée, passionnée ou, au contraire, irritée, exaspérée, révoltée.
J’entrai dans le métro new-yorkais. Seulement quelques secondes avant que les portes ne se referment et ne m’obligent à patienter sur le quai.
La rame n’était pas bondée.
Je pris le siège face la fenêtre. Il serait malvenu de se tromper d’arrêt.
Un tintement me sortit de mes pensées.
Les portes s’ouvrirent à nouveau et un jeune homme s’accrocha à la première barre, celle qui se dressait à côté de moi.
Il regarda par le hublot, semblant se perdre dans le paysage urbain qui s’imposait à ses yeux et défilait à toute vitesse.
De profil, il ne me voyait pas. J’en profitais alors pour m’attarder sur son visage. De toute évidence, c’était un très bel homme. Un visage doux, détendu, qui tranchait avec la saillance de sa mâchoire. Une barbe rasée de près, presque absente. Des cheveux en bataille, décoiffés par l’inertie du convoi sous-terrain. Il avait sûrement les yeux bruns, ou bleu foncé. Et un grain de beauté surplombait son arcade sourcilière.
J’eu le sentiment de l’avoir détaillé des heures durant.
Ma cadette étant installée à côté de moi, je lui fit remarquer l’esthétisme qui émanait de lui.
Les portes du métro s’ouvrirent encore.
Il se pressa à l’extérieur, bravant la chaleur étouffante qui régnait ici-bas.
Je ne saurais dire pourquoi je me suis penchée à travers l’embrasure pour le regarder s’éloigner.
Il s’est retourné.
Et il m’a sourit.
C’était une journée banale à New-York. Mais ce sourire… Il y ajouta un peu d’inattendu. ✨
La rame n’était pas bondée.
Je pris le siège face la fenêtre. Il serait malvenu de se tromper d’arrêt.
Un tintement me sortit de mes pensées.
Les portes s’ouvrirent à nouveau et un jeune homme s’accrocha à la première barre, celle qui se dressait à côté de moi.
Il regarda par le hublot, semblant se perdre dans le paysage urbain qui s’imposait à ses yeux et défilait à toute vitesse.
De profil, il ne me voyait pas. J’en profitais alors pour m’attarder sur son visage. De toute évidence, c’était un très bel homme. Un visage doux, détendu, qui tranchait avec la saillance de sa mâchoire. Une barbe rasée de près, presque absente. Des cheveux en bataille, décoiffés par l’inertie du convoi sous-terrain. Il avait sûrement les yeux bruns, ou bleu foncé. Et un grain de beauté surplombait son arcade sourcilière.
J’eu le sentiment de l’avoir détaillé des heures durant.
Ma cadette étant installée à côté de moi, je lui fit remarquer l’esthétisme qui émanait de lui.
Les portes du métro s’ouvrirent encore.
Il se pressa à l’extérieur, bravant la chaleur étouffante qui régnait ici-bas.
Je ne saurais dire pourquoi je me suis penchée à travers l’embrasure pour le regarder s’éloigner.
Il s’est retourné.
Et il m’a sourit.
C’était une journée banale à New-York. Mais ce sourire… Il y ajouta un peu d’inattendu. ✨
qg. où en êtes-vous dans votre vie ? douce journée. 💫
Il m’aura fallu presque 6 mois pour me sentir prête à te répondre. J’étais habitée par la crainte viscérale de ne pas avoir avancé autant que je l’espérais. Mes objectifs n’étaient pas pleinement atteints, mais je touchais du bout des doigts la réussite
Il y a 3 ans de cela, je faisais table rase de ma vie passée. Son deuil fut un voyage éprouvant dont il m’a fallu renaître après qu’il m’ait réduite en cendres. J’ai ainsi pris un nouveau départ que j’espérais plus fortuné.
Hélas.
Lorsque l’on touche le fond, nous pouvons alors sonder les profondeurs de notre être et en découvrir les recoins les plus obscurs. Cependant, ces limbes sont une source intarissable d’introspection. Progressivement, par les failles de ma propre existence, la lumière s’est infiltrée. Et j’ai pu découvrir dans l’abime de mes entrailles une volonté de vivre que j’avais ignoré jusqu’alors, devenant ainsi un moteur alimenté par ma propre ambition.
À l’heure du bilan, c’est avec une fierté non feinte que je regarde le chemin parcouru. Ni les obstacles, ni la fatigue ne m’auront mise à genoux. Cela ne s’est pas fait sans mal, je l’admets. Mais ce sentiment d’être devenue une meilleure version de moi-même m’embrase. De vous à moi, je pense qu’il n’y a pas plus délicieuse satisfaction que d’avoir vaincu le monstre qui se tapissait sous ma chair.
Dans 2 ans, je pourrais officiellement descendre en rappel dans la souffrance humaine. Je côtoierais sa misère, ses vices, ses faux-semblants, ses phobies, ses névroses et son masochisme presque caractéristique. Mais dans cette faiblesse se cache parfois une volonté d’exister ardente, brûlante, salutaire. Et c’est à elle que je souhaite me dévouer. Je fais voeu de la faire renaître lorsqu’elle aura disparu, et de la cultiver pour qu’elle ne trouve jamais de fin.
J’occupe à présent la place que j’ai tant espérée, la main dans la sienne.
Il y a 3 ans de cela, je faisais table rase de ma vie passée. Son deuil fut un voyage éprouvant dont il m’a fallu renaître après qu’il m’ait réduite en cendres. J’ai ainsi pris un nouveau départ que j’espérais plus fortuné.
Hélas.
Lorsque l’on touche le fond, nous pouvons alors sonder les profondeurs de notre être et en découvrir les recoins les plus obscurs. Cependant, ces limbes sont une source intarissable d’introspection. Progressivement, par les failles de ma propre existence, la lumière s’est infiltrée. Et j’ai pu découvrir dans l’abime de mes entrailles une volonté de vivre que j’avais ignoré jusqu’alors, devenant ainsi un moteur alimenté par ma propre ambition.
À l’heure du bilan, c’est avec une fierté non feinte que je regarde le chemin parcouru. Ni les obstacles, ni la fatigue ne m’auront mise à genoux. Cela ne s’est pas fait sans mal, je l’admets. Mais ce sentiment d’être devenue une meilleure version de moi-même m’embrase. De vous à moi, je pense qu’il n’y a pas plus délicieuse satisfaction que d’avoir vaincu le monstre qui se tapissait sous ma chair.
Dans 2 ans, je pourrais officiellement descendre en rappel dans la souffrance humaine. Je côtoierais sa misère, ses vices, ses faux-semblants, ses phobies, ses névroses et son masochisme presque caractéristique. Mais dans cette faiblesse se cache parfois une volonté d’exister ardente, brûlante, salutaire. Et c’est à elle que je souhaite me dévouer. Je fais voeu de la faire renaître lorsqu’elle aura disparu, et de la cultiver pour qu’elle ne trouve jamais de fin.
J’occupe à présent la place que j’ai tant espérée, la main dans la sienne.
-
«Un coeur qui t’a aimé sincèrement ne te détestera jamais» 🕊
-
- Pourquoi tu l'as rayé de ta vie ?
- J'étais incapable de revenir sur ma décision. Alors je suis partie. Comme ça. Du jour au lendemain. Le chagrin dans l'âme. Alors que chaque cellule de mon corps hurlait son nom, je ne me suis jamais retournée. Je voulais qu'il me déteste. Qu'il me haïsse de toutes ses forces. Qu'il dise au monde entier quelle genre de garce j'étais. Je voulais qu'il me punisse de l'avoir abandonné. Chaque fois que je voulais revenir
vers lui, je m'interdisais de le faire. Je me mutilais avec la frustration que cela m'infligeait. Mais je le méritais. Non. Je méritais pire encore. Je méritais de le voir souffrir par ma faute. Et je méritais de le voir heureux avec une autre.
- Si tu l'aimais, pourquoi l'avoir quitté ?
- Nous étions fusionnels. Je vivais pour lui. II était sous ma peau, dans mes rêves, dans chaque battement de mon coeur, dans mes joies et mes peines. J'avais fini par me perdre en lui. C'est comme si l'aimer m'avait fait oublier qui j'étais.
- Tu l'as regretté ?
- De toute mon âme. Les sutures ne se sont jamais résorbées. Parfois, elles éclatent et les plaies saignent de nouveau. Mais je n'ai jamais douté de mon choix. Il m'a apporté le tourment, mais aussi la paix.
C'est ainsi.
« Il y a des amours qui n'ont qu'une saison ; il y a des amours qui sont toute la vie.»
- 小さな光.
- J'étais incapable de revenir sur ma décision. Alors je suis partie. Comme ça. Du jour au lendemain. Le chagrin dans l'âme. Alors que chaque cellule de mon corps hurlait son nom, je ne me suis jamais retournée. Je voulais qu'il me déteste. Qu'il me haïsse de toutes ses forces. Qu'il dise au monde entier quelle genre de garce j'étais. Je voulais qu'il me punisse de l'avoir abandonné. Chaque fois que je voulais revenir
vers lui, je m'interdisais de le faire. Je me mutilais avec la frustration que cela m'infligeait. Mais je le méritais. Non. Je méritais pire encore. Je méritais de le voir souffrir par ma faute. Et je méritais de le voir heureux avec une autre.
- Si tu l'aimais, pourquoi l'avoir quitté ?
- Nous étions fusionnels. Je vivais pour lui. II était sous ma peau, dans mes rêves, dans chaque battement de mon coeur, dans mes joies et mes peines. J'avais fini par me perdre en lui. C'est comme si l'aimer m'avait fait oublier qui j'étais.
- Tu l'as regretté ?
- De toute mon âme. Les sutures ne se sont jamais résorbées. Parfois, elles éclatent et les plaies saignent de nouveau. Mais je n'ai jamais douté de mon choix. Il m'a apporté le tourment, mais aussi la paix.
C'est ainsi.
« Il y a des amours qui n'ont qu'une saison ; il y a des amours qui sont toute la vie.»
- 小さな光.
-
«Les étoiles nous remplissaient l’âme goutte à goutte»
~
«Si je suis tombé par terre, c’est pas la faute à Voltaire»
-
«L'amour commence par l'éblouissement d'une âme qui n'attendait rien et se clôt sur la déception d'un moi qui exige tout.»