Que penses-tu de ask ?
Que c’est plus un truc pour moi apparemment
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enitsuj
Ask @statutsaskleretour2
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La rayonnante beauté ne se distingue qu’à travers les yeux d’un être qui a déjà traversé le plus noir des chapitres de sa vie.
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Ang'hell.
Samaël
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Au coin du feu, dansant sur les murs, reflétant sa lumière chaleureuse. Les flammes sont comme moi depuis ma guérison : étincelantes.
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J’ai lu un livre incroyable. Un ouvrage où on décrit les personnes comme moi. Pour la première fois de ma vie, je me sens comprise. Quelle sensation merveilleuse.
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Just A Lonely Kid
Asiul
Ang'hell.
S
enitsuj
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Donc mes chers lecteurs, je me suis fait un compte Instagram.
J’évolue.
Pour ceux qui voudraient continuer de me lire en plus moderne :
https://www.instagram.com/p/CzjZ_pjtHU5/?igshid=ODhhZWM5NmIwOQ==
J’évolue.
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Croire en l’amour, c’est croire aux martiens. Y en a beaucoup qui continuent d’attendre des signaux.
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J’agonise d’encre que je veux projeter
Mais la tâche reste sur mon cœur
(Ma photo)
Mais la tâche reste sur mon cœur
(Ma photo)
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Tes pas de danse résonnent comme des coups de plume sur mon papier.
Tes bras souples me rappellent la mer un soir d’été.
Ton sourire se mue en une vague légèrement soulevée.
Tes cheveux volent dans les airs tels les rouleaux de l’océan.
Ton art est si beau, il m’engloutit.
Tes bras souples me rappellent la mer un soir d’été.
Ton sourire se mue en une vague légèrement soulevée.
Tes cheveux volent dans les airs tels les rouleaux de l’océan.
Ton art est si beau, il m’engloutit.
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Dans la nuit noire, sur un ponton, à l’écouter parler de son passé tout sauf sympathique.
Je l’écoute, je ne m’approche pas. J’ai envie pourtant. De le prendre dans mes bras. Mais il n’est qu’un inconnu, arrête H.
Alors j’attends, j’encaisse pour lui les souvenirs qu’il raconte. Il se fait violence pour ouvrir la bouche à chaque phrase.
C’est une torture. Je tends la main vers ses cheveux. Ils sont doux, soyeux. Mes doigts apprécient ce qu’ils sentent. Qu’est-ce qu’il me prend ?
Il ignore un frisson, continue son chemin de terreur. Mon cœur éponge m’ordonne de me rapprocher. Merde.
Mon corps se colle à son dos, ma tête se pose sur sa nuque.
Il soupire, continue. Il ne dira pas tout ce soir, c’est trop long. Il n’a pas le cœur à continuer.
Il me remercie. De quoi ? D’être celle qui va le remettre sur pieds ? Encore une autre personne qui va me détruire.
Mais de rien, je crois bien que je suis née pour ça.
Ne puis-je donc pas garder ma magie pour moi cette fois ?
Je l’écoute, je ne m’approche pas. J’ai envie pourtant. De le prendre dans mes bras. Mais il n’est qu’un inconnu, arrête H.
Alors j’attends, j’encaisse pour lui les souvenirs qu’il raconte. Il se fait violence pour ouvrir la bouche à chaque phrase.
C’est une torture. Je tends la main vers ses cheveux. Ils sont doux, soyeux. Mes doigts apprécient ce qu’ils sentent. Qu’est-ce qu’il me prend ?
Il ignore un frisson, continue son chemin de terreur. Mon cœur éponge m’ordonne de me rapprocher. Merde.
Mon corps se colle à son dos, ma tête se pose sur sa nuque.
Il soupire, continue. Il ne dira pas tout ce soir, c’est trop long. Il n’a pas le cœur à continuer.
Il me remercie. De quoi ? D’être celle qui va le remettre sur pieds ? Encore une autre personne qui va me détruire.
Mais de rien, je crois bien que je suis née pour ça.
Ne puis-je donc pas garder ma magie pour moi cette fois ?
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Deux corps enlacés, sur une banquette arrière, à la pâleur de la lune. 3h du matin, j’ai trouvé quelqu’un.
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Quand est-on brisé ? Comment le savoir ? Et surtout, comment en sortir ?
J’ai beau essayer de ramener ma conscience à la raison, elle ne veut de personne. Elle fait stagner ma vie, elle souffle sur les dernières miettes avec amusement.
Un sympathique garçon et aucune compréhension de ma part quant à son manque de temps. Je sais qu’il va bientôt se faire virer.
Mais alors, qu’en est-il de ces nuits sous les lampadaires remplies d’éclats de rires et d’alcool, à admirer la vie avant de se lancer à corps perdu dedans ?
T a perdu son charme et dans mon esprit, tout son attrait. G a quitté le navire de lui-même. Remarquez, moi aussi à ma vue j’aurais sauté.
Et j’ai beau relire mes textes, aussi beaux ou non soient-ils, je n’arrive pas à y trouver une faille. Je n’arrive plus à savoir qui je suis. À chaque nouveau projet, il se perd dans les abîmes, il disparaît, comme inexistant. Peut-être que c’est ce que je suis finalement : inexistante.
J’ai beau essayer de ramener ma conscience à la raison, elle ne veut de personne. Elle fait stagner ma vie, elle souffle sur les dernières miettes avec amusement.
Un sympathique garçon et aucune compréhension de ma part quant à son manque de temps. Je sais qu’il va bientôt se faire virer.
Mais alors, qu’en est-il de ces nuits sous les lampadaires remplies d’éclats de rires et d’alcool, à admirer la vie avant de se lancer à corps perdu dedans ?
T a perdu son charme et dans mon esprit, tout son attrait. G a quitté le navire de lui-même. Remarquez, moi aussi à ma vue j’aurais sauté.
Et j’ai beau relire mes textes, aussi beaux ou non soient-ils, je n’arrive pas à y trouver une faille. Je n’arrive plus à savoir qui je suis. À chaque nouveau projet, il se perd dans les abîmes, il disparaît, comme inexistant. Peut-être que c’est ce que je suis finalement : inexistante.
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Un jour, je voyagerai. Plus loin que ma famille n’est jamais allée et je les rendrai fiers à l’autre bout de l’univers. Je prendrai un avion, plus grand que ma maison. Je jouerai à découvrir la langue, les habitants. J’apprendrai mes habitudes à des inconnus stupéfaits et je rirai à leurs clichés. Enfin, j’écrirai des livres que les autres prendront plaisir à partager. Je serai heureuse et seule au monde, je serai moi, le seul personnage de roman dont j’ai besoin.
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Torrent de réactions artificielles en approche. Fausses ignorances et mauvais recul.
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Partie en combattante pour l’oublier, revenue avec un sourire aux lèvres. J’me suis encore loupée.
(Ma photo)
(Ma photo)
Space ✨
Et j’m’en fous, j’brille de mille feux. J’suis une étoile, l’étoile de quelqu’un et un jour, j’trouverai une qui brillera autant qu’moi.
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Peut-être que j’ai pas l’droit à l’amour. Ou alors, j’suis pas faite pour. Y a des gens qui sont fait pour voyager, d’autres pour être parents, moi j’suis pas faite pour aimer.
Les garçons que j’veux me fuient, mes désirs deviennent flous. J’ai ressenti quelque chose dernièrement, d’abord un goût d’bonheur, suivi d’un plus amer, celui des souvenirs noirs. Celui qui dit qu’il faut pas recommencer, qu’c’est carrément une mauvaise idée.
Toute façon, j’ai pas l’choix, personne veut d’moi et j’suis pas sûre d’vouloir encore quelque chose d’quelqu’un.
J’suis les fesses entre deux chaises, à tout moment on m’en tire une des deux et j’tombe par terre. Encore.
J’étais encore éprise d’un garçon qui m’voulait, puis plus. J’me sens comme un monstre qui fait tout pour qu’on lui donne la clef d’sa cage, qui susurre à l’oreille jusqu’à obtenir gain d’cause.
Et ça m’fait mal d’penser qu’j’dois être seule. Et ça m’fait mal d’penser qu’mon ex avait raison.
Les garçons que j’veux me fuient, mes désirs deviennent flous. J’ai ressenti quelque chose dernièrement, d’abord un goût d’bonheur, suivi d’un plus amer, celui des souvenirs noirs. Celui qui dit qu’il faut pas recommencer, qu’c’est carrément une mauvaise idée.
Toute façon, j’ai pas l’choix, personne veut d’moi et j’suis pas sûre d’vouloir encore quelque chose d’quelqu’un.
J’suis les fesses entre deux chaises, à tout moment on m’en tire une des deux et j’tombe par terre. Encore.
J’étais encore éprise d’un garçon qui m’voulait, puis plus. J’me sens comme un monstre qui fait tout pour qu’on lui donne la clef d’sa cage, qui susurre à l’oreille jusqu’à obtenir gain d’cause.
Et ça m’fait mal d’penser qu’j’dois être seule. Et ça m’fait mal d’penser qu’mon ex avait raison.
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H.
Hémorragie
Allumette
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Âme.
Estelle ☼
Toji
Ang'hell.
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"J’fais des mauvais rêves et j’vais nulle part sans eux."
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Je l’écris avec un petit sourire. G est parti. Peut-être qu’il reviendra. Mais je sais que ça n’est pas la bonne personne, tout comme je sais que ma personne, celle qui dans les contes est censée être liée à moi, n’existe pas. Je ne suis pas faite pour la vie à deux éternelle. Aucun être humain doté de raison ne pourra jamais accepter ce que je suis entièrement, me supporter, mes passions trop nombreuses, mes sauts d’humeur, mon tempérament, ma joie passant à une immense peine en quelques minutes, parce qu’un mot m’aurait déchiré le cœur. Je ne suis pas faite pour qu’un homme décide de sacrifier son bonheur et son mental à mes dépends. Qu’il comprenne mes craintes et mes trop nombreuses hypothèses dans ma tête, mes pensées défilant par millions en quelques secondes. Je ne suis pas faite pour le non changement, pour la routine, je suis passionnée de vivre, je m’éclate en milles morceaux et je me reconstruis avec mon propre ciment. Personne n’est assez fort pour m’aimer autant, pour saisir une truelle et étaler la colle sur les briques, des dizaines de fois d’affilées.
Malgré tout ce qu’il m’est arrivé, j’aime vivre, j’aime rire aux éclats, ou boire de la vodka. J’aime le ciel, qu’il soit brumeux, orageux, coloré, étoilé. J’aime les fleurs et leur parfum, la douceur des matins, la violence des nuits de noirceur. Se réveiller dans les bras de quelqu’un, ou seul avec une musique que j’aime bien. Tournoyer en plein été dans un champ, parler toute seule aux étoiles et pleurer en voyant une filante me répondre. Peindre, visionner des centaines de films, de séries, apprendre, lire des bouquins de romances. Se perdre sur mes réseaux sociaux d’un coup, veiller tard pour aucune raison.
J’aime vivre à en crever.
Et personne, personne ne pourrait jamais me supporter.
Malgré tout ce qu’il m’est arrivé, j’aime vivre, j’aime rire aux éclats, ou boire de la vodka. J’aime le ciel, qu’il soit brumeux, orageux, coloré, étoilé. J’aime les fleurs et leur parfum, la douceur des matins, la violence des nuits de noirceur. Se réveiller dans les bras de quelqu’un, ou seul avec une musique que j’aime bien. Tournoyer en plein été dans un champ, parler toute seule aux étoiles et pleurer en voyant une filante me répondre. Peindre, visionner des centaines de films, de séries, apprendre, lire des bouquins de romances. Se perdre sur mes réseaux sociaux d’un coup, veiller tard pour aucune raison.
J’aime vivre à en crever.
Et personne, personne ne pourrait jamais me supporter.
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J’ai essayé. D’oublier le passé, ce qu’il m’était arrivé. Mais aujourd’hui, quelqu’un a raconté sa propre expérience et je me suis souvenue. De l’an dernier, des cachets que j’ai encore au fond de mon sac, des années avant, des secrets, de la souffrance, que j’étalais d’ailleurs ici.
Qu’est-ce qui m’a prit de croire que G était différent ? Tous les êtres humains sont les mêmes. Une fois, j’avais écris "je suis votre plus belle œuvre", elle m’a sautée au visage pendant le récit de cette personne et j’peux vous dire que c’était pas glorieux. J’avais oublié la sensation que peut procurer un souvenir qui se réveille au fin fond de mon être. Et merde, j’fais quoi de ma vie putain
Qu’est-ce qui m’a prit de croire que G était différent ? Tous les êtres humains sont les mêmes. Une fois, j’avais écris "je suis votre plus belle œuvre", elle m’a sautée au visage pendant le récit de cette personne et j’peux vous dire que c’était pas glorieux. J’avais oublié la sensation que peut procurer un souvenir qui se réveille au fin fond de mon être. Et merde, j’fais quoi de ma vie putain
Space 🖤
Son visage reflétait la pâleur du petit matin et ses yeux la noirceur de ses nuits de souffrance, qu’il dissimulait habilement derrière un masque de joie.
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-C’est quoi ton activité préférée H ?
-Te couper le souffle
-…
-Pourtant, c’est moi qui suis en apnée.
(Ma photo)
-Te couper le souffle
-…
-Pourtant, c’est moi qui suis en apnée.
(Ma photo)
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Vous savez, j’suis écrivaine et de cette passion, j’en ai retenu deux points. Le positif, c’est qu’c’est un sacré exutoire, on se défoule, on lapide le papier, on transcende les gens qu’on déteste à l’aide de mots coriaces et rebelles. Le négatif, c’est qu’on peut malheureusement tout relire et, dans la foulée, s’en souvenir à tout jamais.
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Besoin d’écrire ce soir. Le ciel est noir, la page blanche. Je sais pas trop ce que je pense.
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Il avait l’arrogance de la jeunesse, le désir du choix, l’âme rebelle et le cœur déjà meurtri.
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Comment fait-on quand le désir est incontrôlable ? C’est la première fois de mon existence que ça m’arrive. Mon corps est en flamme à la moindre image de son être. Ma muse masculine a changé et bordel que ça fait d’l’effet, à mon art et à moi.
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Tigers Dark
H.
Hémorragie
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Âme.
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