#homme

Est-ce de se maquiller, d’être mince et bien habillée, de s’épiler, d’être bien coiffée, de porter des faux ongles, un beau décolleté ou la profondeur de l’être d’abord?
C’est correct l’apparence, mais ça reste superficiel. Pour certaines, être bien maquillée semblera donner confiance ou un sentiment de fierté, tout comme de beaux vêtements. J’en conviens que ça peut être un signal qu’on prend bien soin de soi, mais qu’en est-il vraiment du bien-être profond. Je peux vous dire par expérience qu’une majoritéde femmes sont blessées dans les profondeurs de l’identité féminine. Cette facette qui fait mal et ne peut être maquillée.

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Si une femme cache son ventre avec une gaine étouffante ou si une femme a un soutien-gorge très rembourré, comment se sentira la personne qui se retrouvera dans l’intimitéavec elle?
Le plus beau des maquillages ne donne pas le fondement d’une personnalité rayonnante basée sur une attitude positive, souriante, auto responsable et libre intérieurement.

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Sensualité, douceur et acceptation de sa féminité
La femme en harmonie, non coupée de sa féminité, aime s’exprimer avec douceur, tendresse, sensualité, des rythmes plus posés, rayonne. Une femme aurait beau utiliser au maximum les astuces de la mode, si elle a un caractère contrôlant, narcissique, ça ne la rendra pas plus attrayante et même chose pour un homme d’ailleurs.

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Être féminine, c’est être à son meilleur dans l’art d’être authentique, de reconnaître les cuirasses qui ont rigidifié le corps et les émotions. C’est charmer par la splendeur de sa personnalité. C’est bien différent du côté éphémère de la séduction. Charmer se fera autant en habit de bûcheron qu’en robe de soirée si vous rayonnez. Séduire, c’est montrer temporairement une facette extérieure pour tenter d’être accepté ou d’influencer une autre personne, sans oublier le plaisir de prendre soin .

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Ce n'était pas forcément irréaliste mais j'avais dû refuser tout de même,ils étaient beaucoup troo intrusif,quand tu pense que c'était dans un tribunal et qu'ils osent te dire 《vous êtes une femme,j'imagine que vous aimeriez avoir des enfants un jour?》 Tu es là,tu as 19ans,tu sors d'études tu n'as aucune idée de si tu veux/vas avoir un enfant un jour,tu es là parce que tu veux travailler 🤷🏼‍♀️ tu réponds que ce n"est pas ta priorité,que actuellement tu veux travailler pour payer ton loyer et pouvoir te nourrir et que le fait que tu sois une femme ne change rien au fait que un jour tu voudras un enfant,parce que un homme à tout autant le droit de vouloir un enfant et de vouloir s'en occuper,alors dans ces cas là qu'il n'engage personnes et qu'il fasse son travail seul (vraiment je lui avais dit ça au gars!) Et vous savez quoi???? Il m'a rappelé le lendemain matin,en me disant 《votre profil m'a vraiment plut,vous pouvez venir cet après midi pour signer quelques papiers, et commencer à travailler avec nous dans 2semaines?》
Je lui ai gentillement répondu que non,son profil à lui ne me plaisait pas et que je n'aimerais pas travailler au quotidien avec lui
Finalement certes j'ai mis plus de temps à trouver,je ne travaille pas dans un tribunal,mais je travaille pour un patron qui me comprend,qui comprend mes collègues,qui lorsque je lui ai annoncé que j'étais enceinte et que j'allais partir en congé maternité m'a proposé plus d'heures de télétravail que les autres pour que je puisse rester chez moi,être moins fatiguée,prendre moins de risques (époque covid++++ et confinement) et qui a mon retour de congé maternité à offert un cadeau à ma fille,m'a proposé encore plus de télétravail pour pouvoir garder ma fille en même temps,m'a demandé les jours où je préférait venir sur place et les jours où je préférais télétravailler,et qui a ce jour où le télétravail n'existe plus dans certaines entreprises il nous a demandé si on voulait continuer à télétravailler,certains jours!

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Euh ben des fois je suis une vraie c.onnasse et après je cringe ou je regrette.

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Genre, je suis au.tiste et ça fait quelques mois que je suis obligée de supporter un homme bien validiste, bien antiféministe, bien ouin ouin Artus on peut rien dire. Je lui ai dit plusieurs fois que j'appéciais pas du tout son humour.
La vérité c'est que mon handicap et la réaction des gens à mon handicap m'ont déjà amenée à avoir des comportements autodestructeurs. Et encore aujourd'hui c'est des pulsions que j'ai du mal àcontrôler.

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Et euh, ben ce gars boîte depuis un moment et il se peuuut que j'en aie profité pour le vanner comme il me vanne moi - et qu'il ait pas trouvé ça drôle.
(Cringe, mais sur le moment ça m'a fait du bien.)

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Pour de la vraie gêne, j'en ai plus vraiment, j'avoue.
Fin justement, les moments de gêne que j'ai pu vivre étaient liés à mon TSA, ce qui aide pas mal à digérer la situation.

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J’entrai dans le métro new-yorkais. Seulement quelques secondes avant que les portes ne se referment et ne m’obligent à patienter sur le quai.

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La rame n’était pas bondée.
Je pris le siège face la fenêtre. Il serait malvenu de se tromper d’arrêt.

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Un tintement me sortit de mes pensées.

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Les portes s’ouvrirent à nouveau et un jeune homme s’accrocha à la première barre, celle qui se dressait à côté de moi.

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Il regarda par le hublot, semblant se perdre dans le paysage urbain qui s’imposait à ses yeux et défilait à toute vitesse.

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De profil, il ne me voyait pas. J’en profitais alors pour m’attarder sur son visage. De toute évidence, c’était un très bel homme. Un visage doux, détendu, qui tranchait avec la saillance de sa mâchoire. Une barbe rasée de près, presque absente. Des cheveux en bataille, décoiffés par l’inertie du convoi sous-terrain. Il avait sûrement les yeux bruns, ou bleu foncé. Et un grain de beauté surplombait son arcade sourcilière.
J’eu le sentiment de l’avoir détaillé des heures durant.

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Ma cadette étant installée à côté de moi, je lui fit remarquer l’esthétisme qui émanait de lui.

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Les portes du métro s’ouvrirent encore.
Il se pressa à l’extérieur, bravant la chaleur étouffante qui régnait ici-bas.

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Je ne saurais dire pourquoi je me suis penchée à travers l’embrasure pour le regarder s’éloigner.
Il s’est retourné.
Et il m’a sourit.

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C’était une journée banale à New-York. Mais ce sourire… Il y ajouta un peu d’inattendu. ✨

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1) un être humain reste un être humain, peu importe son genre ou son orientation sexuelle

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2) on ne peut pas être deux opposé à la fois donc soit on aime les hommes, soit on aime les femmes, soit les deux ce qui donne bisexuel ou pansexuel

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3) on ne devient pas de telle ou telle sexualité, je pense que par définition, nous naissons tous pansexuels dans le sens où en tant qu'enfant la question ne se pose pas donc on aime tout le monde et par la suite on prend conscience de ce qui nous plaît réellement ou non

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4) en tant que personne pansexuelle, j'ai donc déjà dragué et été draguée par une personne homosexuelle donc ce n'est absolument pas un problème quand c'est une femme, par contre j'ai déjà dragué un homme homosexuel (c'était secret il le cachait au lycée) et là je me suis senti bête sur le moment 😅

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Mon amour,

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Je te laisse partir, et continuer ta route. C’est, je crois, la plus belle preuve d’amour que j’ai à t’offrir.
Tu ressembles à la liberté. Tu es belle. Insaisissable. Tellement vaste. J’aurais adoré passé ma vie à essayer de te connaître.
J’aurais voulu qu’on s’aime à en crever. Qu’on rackette enfin le bonheur. Qu’on fasse mentir le pessimisme qui nous habite.
J’aurai voulu être ton homme. Que tu me regardes avec ces yeux qui disent je suis folle de toi, que tu regrettes les années où je n’étais pas là.
J’aurai voulu que tu m’aimes. Rien qu’un peu. Ça aurait suffit. Je te l’ai dis. Je peux aimer pour deux.
C’est vrai, je suis cassé. Perturbé. Dérangé. Mais quand je te vois, mes démons s’en vont, et je comprends ce que c’est d’aimer.
Tu es ma plus belle rencontre. Ma meilleure surprise. Et tu vivras toujours en moi, dans le cœur du jeune homme perdu que j’étais quand je t’ai connu.
J’espère que ta vie sera longue et heureuse, que tes déceptions te rendront plus forte, que tu n’auras point de regrets.
Sache que je suis tombé follement amoureux de toi, et que c’était trop bon. Que c’était inespéré pour un truand de mon espèce.
Merci, pour ces moments où j’étais heureux d’être en vie. Pour les éclats de rire, l’ivresse, le plaisir charnel.
Pour tous les effets délicieux que ta présence a produit dans mon âme.

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Merci, E.
Ce fut un honneur de te connaître.

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Santé, mon ange.

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Wow déjà ma belle sache que tu es une guerrière de t'en être sortie ! Tu peux être méga fière de toi 🙌 je pense qu'avant toute chose, il faut réaliser que tu n'es en aucun cas responsable des agissements de cet homme. À force en tout genre et à répétition, on a tendance à y croire, à être brisée, à se sentir coupable et penser qu'on mérite ces mauvais traitements. Ce n'est JAMAIS le cas. Réalise la femme de valeur, forte, puissante (...) que tu es, recolle les failles qu'il a commise en faisant un travail de confiance en soi ! Réapproprie toi ton corps en prenant soin de toi ( massage, sport, soin, danse, peu importe), et ton esprit ( verbalise, extériorise, évacue tout ce négatif, cet homme est MALADE, le tout est de remettre la lumière sur la réelle femme que tu es, avec toutes ses qualités ! )

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Et n'hésite pas à aller consulter un pro pour approfondir ce travail de reconstruction, ce serait vraiment bien ... je te souhaite le meilleur ma belle ❤❤

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Mais je suis déjà heureux.
Il est 20h quand je regagne la liberté, après 9h de service intense. L’air d’une rare douceur et mes poches copieusement remplie m’engagent bientôt à faire honneur à la nuit. Je débute par un bon restaurant. Seul. Il fait si bon que je ne ressens pas la solitude. Les femmes sont si belles que j’en oublie celle que j’aime. Du moins, partiellement. La douleur et le vide demeurent.
Et puis, je pense à elle.
Mon âme est rongé par les regrets de mes silences, et par la culpabilité de ce que j’ai dévoilé. Ainsi, lorsque ma bouteille de blanc arrive à ma table, je lève mon verre. Et je promet, je jure, que c’était la dernière femme à qui je donnais les clefs de mon sombre intérieur. Le mystère est plus rentable. Autrement, on perd la seule qu’on aurait voulu garder près de nous.
Je vide la bouteille, et savoure l’ivresse du vin blanc. Attablée non loin, une magnifique blonde de 30 ans passé ne cesse de me regarder. Je lui rend chacun de ses regards en la déshabillant des yeux. Mais je sais, que l’affaire n’ira guère plus loin. Sa beauté indique le couple, et le sujet de conversation qu’elle entretient avec ses deux copines est seulement porté sur la luxure. Sa vie l’ennuie. La faim tiraille son entre jambe. Il lui plaît infiniment de se sentir désiré par un jeune homme, fougueux et séducteur, qui pour le temps d’une nuit, lui donnerait l’impression d’avoir encore 25 ans. Pour elle, je suis une idée. Une pulsion. L’interdit qu’elle envisage mais ne franchira jamais. Il n’y a point assez de vices au fond de ses prunelles bleues. Je paye l’addition, on se dit adieu avec les yeux.
Passablement déchiré, j’organise la suite des hostilités.
Une bouteille de vodka, un peu de came, et une brune de 27 ans sont utilisé jusqu’à 4h du matin. La brune rentre chez elle, mais j’ai encore faim. C’est une blonde de 18 ans qui la remplace, dans des draps encore humides de tout ce que le corps humain peut sécréter en pratiquant la chaire. Je souille cette deuxième grisette jusqu’à 9h du matin, et m’endors dans ses bras. Parce que même les monstres ont besoin de tendresse.
C’est ainsi le bonheur, la plénitude, la satiété.
C’est vivre chaque jour comme le dernier. Dans la passion, dans l’excès.

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D’un débauché heureux.
Santé.

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