#plaisir

À priori, quand t'es plus un.e enfant, tu sais quand tu te retrouves indifférent.e ou pas en face d'une personne.
Ça me questionne que ce soit possible de si peu se connaître soi et les autres à vrai dire.
Reconnaître nos attitudes de séduction (autre que le je dois plaire parce que ça fait plaisir à mon égo dans la vie de tous les jours), nos attitudes d'évitement, ce que l'on veut renvoyer face à qui et pourquoi, etc. Ça prend rien d'autre que du temps et de l'énergie à te poser et décrypter tes réactions et au final, ça te sert bien plus que ce que tu crois.
Comment est ton attitude/langage corporel/ton niveau de réflexion devant ta mère, ton père, ta sœur, ton frère, un.e ami.e et devant cette personne, ça diffère particulièrement ? Pourquoi ? Qu'est-ce que tu veux lui montrer ou pas ?
Il n'y a pas de réponse universelle, c'est entre toi et toi-même.

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Est-ce de se maquiller, d’être mince et bien habillée, de s’épiler, d’être bien coiffée, de porter des faux ongles, un beau décolleté ou la profondeur de l’être d’abord?
C’est correct l’apparence, mais ça reste superficiel. Pour certaines, être bien maquillée semblera donner confiance ou un sentiment de fierté, tout comme de beaux vêtements. J’en conviens que ça peut être un signal qu’on prend bien soin de soi, mais qu’en est-il vraiment du bien-être profond. Je peux vous dire par expérience qu’une majoritéde femmes sont blessées dans les profondeurs de l’identité féminine. Cette facette qui fait mal et ne peut être maquillée.

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Si une femme cache son ventre avec une gaine étouffante ou si une femme a un soutien-gorge très rembourré, comment se sentira la personne qui se retrouvera dans l’intimitéavec elle?
Le plus beau des maquillages ne donne pas le fondement d’une personnalité rayonnante basée sur une attitude positive, souriante, auto responsable et libre intérieurement.

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Sensualité, douceur et acceptation de sa féminité
La femme en harmonie, non coupée de sa féminité, aime s’exprimer avec douceur, tendresse, sensualité, des rythmes plus posés, rayonne. Une femme aurait beau utiliser au maximum les astuces de la mode, si elle a un caractère contrôlant, narcissique, ça ne la rendra pas plus attrayante et même chose pour un homme d’ailleurs.

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Être féminine, c’est être à son meilleur dans l’art d’être authentique, de reconnaître les cuirasses qui ont rigidifié le corps et les émotions. C’est charmer par la splendeur de sa personnalité. C’est bien différent du côté éphémère de la séduction. Charmer se fera autant en habit de bûcheron qu’en robe de soirée si vous rayonnez. Séduire, c’est montrer temporairement une facette extérieure pour tenter d’être accepté ou d’influencer une autre personne, sans oublier le plaisir de prendre soin .

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C'est vraiment difficile à dire... Je pense que c'est probablement le fait de réussir continuellement à agir avec probité, même si j'ai souvent vu des chemins que j'aurais pu prendre qui m'auraient assuré un plaisir plus soudain en mettant de côté ma morale, et j'admets être plutôt fier d'avoir réussi à rester plutôt fidèle à moi même, et j'imagine que tout le monde pense ça de lui même, mais dans les grandes lignes, même si je sais qu'il m'est arrivé d'avoir parfois agit d'une façon qui aurait pu être meilleure, je ne regrette que très peu mes actes et mes décisions, et ça peut paraître arrogant de dire ça, mais je pense que jusqu'à maintenant, j'ai été une bonne personne, et que ma présence dans la vie de mon entourage lui a généralement accordé plus de bonheur et de réconfort que de tristesse et de colère, et je pense que c'est probablement ça, ma plus grande fierté.

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Très mal oui eheh ! C'est une partie de ma vie et de mon vécu et j'ai beaucoup de mal à dire au revoir.
Mais je pense que c'est différent pour chaque relation.
En amour, je vais le voir comme une trahison, parce que je me suis attaché.e à une personne et j'ai donné de moi-même plus que pour n'importe quelle relation. Mais actuellement ma vision de l'amour est différente, je suis perdu.e sur comment je le vis, est-ce vraiment de l'amour, alors peut-être que ce serait différent. Si j'ai été longtemps avec cette personne et que la rupture se passe mal je vais prendre un certain temps pour m'en remettre, mais si ça n'a duré qu'un battement de cil alors, tout en n'oubliant jamais ce qu'on a vécu, je m'en remettrais facilement puisque de toute façon je tombe amoureux.se en deux secondes chrono.
En amitié, je vais avoir aussi beaucoup de mal parce que j'ai une peur de l'abandon très très présente, je repenserai également beaucoup à cette personne.
Et à propos de la famille, je n'ai pas encore vécu de rupture. Mais mes relations familiales sont plus ou moins compliquées alors si je devais en perdre une c'est qu'il y aurait eu beaucoup de discussions avant, alors ça me saoulerait vite je pense, et je me dirais après tout tant pis, parce qu'on choisit sa famille eheh. C'est plutôt la mort d'un être cher qui m'affecte, ça fait 3 ans que j'ai perdu ma mamie et j'ai toujours du mal à faire face par moments.
Mais je considère que rien n'est figé, une fois la rancoeur passée, si la personne me recontacte je discute volontiers avec, même si rien ne sera comme avant, j'ai toujours plaisir à avoir des nouvelles. Tant que ce n'est pas une personne qui m'a fait du mal très profondément, je parle notamment de manipulation et de personne toxique, toute relation a un début et peut avoir une fin, mais ce n'est pas la fin de tout !
Allez bisous ❤️

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Dans le sens où si par exemple il y a école le lendemain,ou même si c'est le vendredi et que après c'est seulement le weekend,je pense que les devoirs maison sont vraiment inutiles,oui!
Après quand il y a les vacances scolaires,les enfants ont tendance à oublier ce qu'ils ont appris au cours de la période,du coup je pense que un rappel de ce qui a été fait ne fait pas de mal
D'ailleurs la maîtresse de ma soeur (CE1) à mit un mot du genre dans le carnet,hier,en disant que la dictée qui était à préparée pendant les vacances n'avait pas été préparée par beaucoup d'enfants,que certains enfants ne se rappelaient même pas de certaines choses apprises au cours de la période (dans les devoirs maison pendant les vacances elle avait donner a relire tout ce qui a été vu au cours de la période1)
Et elle avait très bien dit au cours de la réunion (aux parents) qu'elle donnait rarement pas de devoirs,donc les parents ne vérifient quand même pas les cahiers de devoirs?? Même moi en temps que soeur je surveille le cahier de devoirs et le cahier de correspondance (alors que ma mère le fait aussi a côté une fois chez elle,et elle le fait tous les soirs,même quand elle termine le travail à 19h30 et qu'elle rentre à 20h15!)
Il n'y a pas d'excuses non plus pour les parents qui ont des difficultés ou qui ne parlent pas français,l'école ont mit en place une aide gratuite où les parents peuvent venir aider leurs enfants à l'école encadrer de personnes qui aident aussi les parents à comprendre,enfin franchement ils font des choses bien,je ne comprends pas que en 2semaines de vacances les devoirs n'aient pas été fait,rien n'excuse ça!.. Je comprends les parents qui travaillent mais il y a toujours des moments où tu es à la maison,tu peux prendre 20minutes pour préparer la dictée de ton gamin,quoi! Au moins la dictée quoi,Après même si tu ne fais pas relire ce qui a été vu,tu regardes ce qui a été fait et tu poses des questions sur les cours,enfin tu peux le faire peu importe où tu es 🤷🏼‍

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Je n'ai pas trop le temps d'en écrire un à cet instant alors je poste le dernier que j'avais écrit pour mon ex :

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Nous sommes à la date culminante, un nuage express d'affection se délecte de ta peau rayonnante, propageant ta lueur de mystères autour de pétales qui fleurissent de ta lumière, l'ardeur se dissipant de ton cœur enflammé extermine les orages et ses noirceurs.

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À tes sourires éblouis de la richesse du rire, je te construirai le plus bel empire,
Sous la vertu de ta bonté apaisante, se joint à ce jour ta facette égayante, somnolente au gré du plaisir, les chimères t'escortent aux portes du cachemire.

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Ne puisse ta peur être viscérale, que tes cordes vocales ne lisent cette prose d'un ton élégiaque, exquis sont les reflets de ton teint pâle, miroirant la brume charnel de ton visage au bleu du lac, de mon éphémère vie tu en es l'actrice principale

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Oh que oui ça se perd..
Sans parler de l'aspect religieux car cela ne concerne que les personnes croyantes et pratiquantes, Noël est une fête où le bonheur principal est de se retrouver tous ensemble autour d'un beau sapin mais je trouve que les gens sont de plus en plus superficiels..ils veulent un repas extraordinaire comme dans les films et des cadeaux démesurés..comme si rien de légèrement plus en dessous ne pouvait leur faire plaisir..et à ça on peut rajouter le fait que les magasins profitent énormément de cet aspect commercial de Noël en commençant à tout sortir dès le mois de septembre/octobre pour influencer les achats..ça me dégoûte tout ça..par là je ne veux pas dire qu'un bon repas et un gros cadeau ne me feront pas plaisir mais quand dans la situation inverse tu ne peux pas suivre le rythme car ce n'est pas dans tes moyens, tu passes les fêtes à te demander si tes proches vont réellement être contents de ce que tu pourras apporter..je pense que moins on en attend et plus on est heureux, normalement c'est ça l'esprit de Noël..n'attendra que la présence des personnes qu'on aime et de passer ensemble..pas se ruiner pour en mettre plein les yeux à la terre entière..

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Le néant se dessine sous mes pieds. Ma gorge est prise, asphyxiée. Mon regard se pose au niveau de mes orteils, c’est comme si il bougeaient, pourtant tout reste à sa place, le monde m’effleure sans me toucher. Tout ce qu’il y a à l’intérieur devient le monde.
L’énergie est si forte, si prompte à m’avaler. Je suis paralysée. Paralysée par la peur, paralysée par le manque de compréhension, paralysée par les cris qui ne peuvent être poussés, paralysée par le regard qui ne peut implorer.
Je reste coi pendant que le sol s’effrite sous mes pieds, tel un puzzle qui se décompose et tombe dans le néant. Abasourdi, chaque membre lutte pour se mouvoir. Mais les yeux restent figés, les paupières ouvertes, face à ce qui s’apprête à avaler tout mon être, tel un ogre affamé.
Me reste les battements de mon cœur, les frissons qui parcourent ma peau, les paillettes dans mes yeux, qui montrent que je vais bientôt céder.

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Alors là sans aucun problème.
Ce que j'ai du mal à supporter c'est le tutoiement ajouté à "chef".
Quand un client me demande une pizza en me disant "chef" ça m'insupporte.
Pour moi le respect n'est pas du tout lié à un vouvoiement
Par exemple, dire à quelqu'un "vous êtes vraiment idiot" n'est pas super respectueux. Et dire à quelqu'un "Si tu as besoin d'un coup de main, demande sans hésiter ce sera avec plaisir", ça par contre ça l'est.

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Et sinon, il faut savoir qu'en radio on se tutoie tous ; j'ai toujours tutoyé mes confrères ou collègues animateurs (et je le fais encore même quand je ne les connais pas), les journalistes, les chanteurs, mes supérieurs...
Les auditeurs qui me vouvoyaient, je ne disais rien, mais si on prenait l'antenne ensemble, je disais juste avant "bon à l'antenne c'est TU et pas VOUS" et tout se passait bien. Je me faisais tutoyer par des enfants, des ados, des jeunes adultes, des vieux... et réciproquement.

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J'accorde une importance particulière aux mots et prends un plaisir absolu à me renseigner sur leurs exactes significations : j'aime à dire qu'il n'existe pas de réels synonymes, chaque terme ayant sa singularité. Non, il serait finalement plus juste de dire que j'éprouve un amour passionné pour la langue française, dont la complexité en fait un trésor de richesse et de profondeur. Les manipulations langagières sont un jeu aussi subtile qu'exquis, mais faut-il encore posséder un lexique suffisamment développé. Petite anecdote : un individu moyen s'exprime couramment avec plus ou moins 0,4% des mots recensés et en comprend entre 3% et 6%. Ces données sont quelque peu déprimantes, mais le plus affligeant étant l'appauvrissement progressif du vocabulaire. N'abordons même pas le sujet de l'orthographe qui semble être un fléau pour bon nombre de personnes, tout comme la syntaxe et autres règles grammaticales ; personne ne voudrait me voir éclater en sanglots. « Les mots sont des trésors que les gens ne pensent pas à utiliser », a écrit Werber, et cela me semble terriblement vrai. Quelle immonde limitation de l'esprit. Comment transcrire correctement la pensée lorsque le langage est défectueux et approximatif ?

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M'enfin, pour réellement répondre à ta question, je trouve dommage de ne faire preuve d'aucune considération pour sa langue, a fortiori une langue aussi belle, et de la massacrer. Toutefois, les mécréants diraient que l'essentiel est d'être compris par son interlocuteur et... ils auraient probablement raison. Quoi qu'il en soit, je ne cherche en aucun cas à imposer mon adoration ou mon exigence (mais veuillez faire un minimum d'efforts, bon sang).

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Mon amour,

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Je te laisse partir, et continuer ta route. C’est, je crois, la plus belle preuve d’amour que j’ai à t’offrir.
Tu ressembles à la liberté. Tu es belle. Insaisissable. Tellement vaste. J’aurais adoré passé ma vie à essayer de te connaître.
J’aurais voulu qu’on s’aime à en crever. Qu’on rackette enfin le bonheur. Qu’on fasse mentir le pessimisme qui nous habite.
J’aurai voulu être ton homme. Que tu me regardes avec ces yeux qui disent je suis folle de toi, que tu regrettes les années où je n’étais pas là.
J’aurai voulu que tu m’aimes. Rien qu’un peu. Ça aurait suffit. Je te l’ai dis. Je peux aimer pour deux.
C’est vrai, je suis cassé. Perturbé. Dérangé. Mais quand je te vois, mes démons s’en vont, et je comprends ce que c’est d’aimer.
Tu es ma plus belle rencontre. Ma meilleure surprise. Et tu vivras toujours en moi, dans le cœur du jeune homme perdu que j’étais quand je t’ai connu.
J’espère que ta vie sera longue et heureuse, que tes déceptions te rendront plus forte, que tu n’auras point de regrets.
Sache que je suis tombé follement amoureux de toi, et que c’était trop bon. Que c’était inespéré pour un truand de mon espèce.
Merci, pour ces moments où j’étais heureux d’être en vie. Pour les éclats de rire, l’ivresse, le plaisir charnel.
Pour tous les effets délicieux que ta présence a produit dans mon âme.

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Merci, E.
Ce fut un honneur de te connaître.

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Santé, mon ange.

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Sous un soleil écrasant de Juin, je porte des plateaux, parfois des assiettes, pour que la plèbe s’enivre et s’empiffre.
Je suis serveur.
Il y a des amoureux qui s’aiment et des couples qui s’ennuient. Les premiers sont plus rares que les deuxièmes.
Tout à l’heure, j’ai servi la famille la plus heureuse que j’ai jamais vu. Tous beaux, tous souriants, tous complices, à tel point que j’aurai voulu qu’ils m’adoptent. C’est drôle. Je me suis demandé ce que je serais devenu, élevé dans ce nid d’amour et de confiance. Qu’importe.
Je vois des amis qui s’adorent, et je les envie. En vérité, je salive à toutes les tables, puisque je travaille comme un forcené pour que les autres prennent du plaisir. C’est en cela que réside la beauté du métier. Nous contribuons au bonheur des gens. Parce que rien ne rend plus heureux celui qui a faim de voir arriver son plat, ni celui qui a soif de voir venir son verre.
Nous nous sacrifions pour leur satisfaction. Parce que nous courons des dizaines de kilomètres par service, et que nous arrivons encore à sourire, à faire de l’humour. Nous sommes fous. Parce qu’il faut être fou pour conjuguer une avalanche d’information et la concentration qu’elle implique, avec une intensité physique digne d’un trader de wall street.
Je suis tombé amoureux de ce métier, et c’est tout ce que je fais de ma vie. Être serveur.

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Tu veux boire quelque chose ?

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Santé.

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