•Chronique de Léa•

La roussette prit son téléphone et se mit à écrire un message sûrement adresser à son frère et l'envoya. Deux minutes plus tard elle reçut la réponse.

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Clary: «C'est d'accord, lui et ses potes passeront nous prendre à moto à la sortie du lycée.»

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Les filles sautèrent de joie et souriaient tout en remerciant Clary.
Léa avait hâte que les cours se finissent, elle avait envie de revoir Vincent, même si elle stressait légèrement car elle n'était jamais montée sur une moto.

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[Voila un long chapitre pour vous, j'espère qu'il vous plaira. Malheureusement je repars en vacances demain et je ne pourrais pas poster de suite même si j'ai du wifi pour la simple et bonne raison que sa chamboulerait toute mon organisation puisque tout mes chapitres je les écrit sur mon ordinateur qui sera bien-sûr chez moi. Pour vous occupez pendant cette période vous pouvez me posez n'importe quelle question sur mon compte question (que se soit sur ma chronique, sur les personnages ou bien même sur moi) j'y répondrais. Voila en tout cas bonnes vacances à tous encore.]
[compte question → @smileandlovetogetherquestion ]
[Mettez le numéro du chapitre suivant pour la prochaine fois]

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[Réaction d'Ethan]

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Le visage de la brunette se décomposa à l'entente de la phrase anglaise ce qui engendra des fous rires de la part de ses deux amies ainsi qu'un regard interrogateur de la part du brun.

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Mélanie: «Hey haha!»
Enzo: «Hum..Je comprends pas tout là quelqu'un pourrait m'expliquer?»
Clary: «Oh mais c'est rien juste Léa qui me suppliait d'arrêter de parler anglais car elle a eu sa dose et pile quand je m'arrête tu ramènes tes fesses et la première chose que tu fais c'est parler en anglais haha.»
Mélanie: «Et on rigolais à cause de la tête qu'elle avait.»
Clary: «Juste magnifique t'as tout louper haha.»
Léa: «Gna Gna rigolez, rigolez.»

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La brunette croisa ses bras sous sa poitrine, leva la tête et fit mine de bouder ce qui enclencha un fou rire qui bien-sûr entraîna aussi Léa tellement les rires étaient communicatifs.
C'est après s'être enfin calmés que Mélanie remarqua un petit détail qui lui avait échapper.

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Mélanie: «Au faite il est où Ethan?»
Clary: «C'est vrai ça, t'était pas censé être avec lui Enzouillette?»
Enzo: «Bah si mais je sais pas où il est je l'ai chercher mais il était introuvable.»
Léa: «Bizarre je l'avais vu tout à l'heure.»
Clary: «Monsieur doit être entrain de draguer une minette je suis sûre.»
Mélanie: «Et bien quand on parle du loup.»

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Tout le petit groupe se retourna dans la direction où la blondinette regardait et vit bien sûr Ethan qui arrivait tranquillement vers eux.

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Ethan: «Hello!»

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A cette phrase Léa lui jeta un regard noir.

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Enzo: «Pas d'anglais mon gars, sinon tu risque de te faire attaquer par une tigresse brune, ici présente, qui ne supporte pas l'anglais.»

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Ethan leva les mains comme le font les personnes qui se rendent.

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Ethan: «Oh calme, gentille tigresse, promis je bannis l'anglais de mon langage pendant les récréations mais pitié ne fait pas de mal à mon si beau visage.» dit-il en faisant la tête que fait le Chat Potté dans Shrek ce qui provoqua de nouveau un fou rire.

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Clary: «T'était passé où? Encore entrain de draguer avoue.»
Ethan: «J'aurais bien aimé mais non j'étais chez la principale, je me suis fais coller pour ''mauvaise comportement'' en classe alors que je suis un ange à l'état pure.»
Enzo: «Haha sa m'étonne pas de toi et un ange noir plutôt oui.»
Clary: «Ah au faite Léa, la dernière fois tu m'avais pas dis que adorerais voir un entraînement de moto cross c'est bien ça?»
Léa: «Oui c'est bien ça, pourquoi?»
Clary: «Mon frère à un entraînement ce soir si tu es disponible je peux demander si il veux bien qu'on aille le voir.»
Léa: «Oh ouais je veux bien si sa dérange pas.»
Clary: «Non sa dérange pas pense, je lui enverrais un sms pour savoir. Mel', Enzouille, Ethan sa vous dis de venir?»
Ethan: «Enzo et moi avons entraînement ce soir aussi donc c'est impossible.»
Mélanie: «Oh moi sa me tente bien.»
Clary: «D'accord.»

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[et voila ♥]
Plusieurs jours étaient passés, des jours ordinaires de cours où rien d'extrêmement passionnant -à part dans certains cours- ne se passaient.
Voici ce qui s'était passé durant ces quelques jours: La mère de Léa n'avait rien dit à sa fille que se soit à propos de sa liaison ou bien de son ''père'' que l'on pourrait plus appeler ''géniteur'' car mis à part leurs liens du sang rien ne les lies et surtout pas de l'amour. Enfin bref, Léa prenait toujours ses distances avec Jules qui lui tentait toujours de l'approcher sans comprendre pourquoi la jeune fille l'évitait. De plus elle ne recevait plus aucune menace de la part de Rebecca ou bien de son père -puisque s'était lui-. Et la jeune fille avait passé un merveilleux week-end avec ses amies et elle avait aussi fait plus ample connaissance avec Vincent , le demi-frère de Clary, la brunette le trouvait adorable, gentil, drôle -en gros un gars bourré de qualités- mais surtout magnifique.

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Nous sommes Lundi ce qui voulait dire fin du week-end et cours, cours, cours et encore cours -ah non j'oubliais aussi devoirs, devoirs et encore devoirs- .
«Géniale» se disaient la brunette de façon ironique en voyant cette nouvelle semaine commencer. La jeune fille, qui était à cet instant même assise à l'une de ses tables remplies de tags, aurait put fixer une mouche durant les deux heures de Littérature Anglaise tellement elle trouvait ce cours ennuyant -sans avouer qu'à vraie dire elle était totalement nulle en anglais et de ce fait elle ne comprenait pas un traître mot qui sortait de la bouche de la professeur; de plus elle n'osait pas demander de l'aide-. Heureusement pour elle, elle n'eut pas à le faire puisqu'elle était sauvée par ses amies qui lui parlaient grâce à l'intermédiaire de petits bouts de papier , chose compliquée à faire puisque les trois filles étaient séparées aux quatre coins -ou plutôt au trois coins- de la pièce. Mais elle réussirent quand même sans se faire attraper ne serais-ce qu'une seule fois par la prof soit par une chance miraculeuse ou bien parce que la professeur est complètement myope -ou dirais-je aveugle-.
La sonnerie se mit alors à sonner mettant fin à ces deux heures de supplices et annonçant par la même occasion la récréation.
Les filles discutèrent tout en allant en récréation.

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Clary: «Oh my godness! This lesson was so easy.»
Léa: «Hum...En français sa donne?»
Mélanie: «En gros elle a dit que le cours était trop facile.»
Léa: «Facile tu parles! J'ai absolument rien compris et c'est facile pour toi vue que tu es bilingue en anglais.»
Clary: «Yes, that's true.»
Léa: «Pitié stop avec l'anglais j'ai eu ma dose pour aujourd'hui.»
Clary: «Compris chef!»

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Les filles qui s'étaient installer sur un table dans la cour furent enfin rejoins par Enzo.

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Enzo: «Hey girls!»

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Sa mère qui était énormément absente à cause de son travail ne se rendait compte de rien car cet homme arrivait toujours à faire en sorte que les marques des différents coups ne puissent se voir et la jeune fille ne pouvait rien dire, rien tenter sinon elle savait qu'elle aurait droit à une bouchée double.

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Pendant des années se fut comme-ça, la jeune fille subissait et se taisait, jusqu'au début de l'an dernier: Le père en avait marre de cette imperfection ambulante qui se baladait tranquillement dans sa maison et il décida de la gommer définitivement de sa vie.

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Alors qu'il commençait à la tuer en l'étouffant avec une ceinture pour faire croire à un suicide, il se fait arrêter et la jeune fille est sauvée et amenée en urgence à l’hôpital le plus proche. Elle avait eu l’ingéniosité d’appeler le numéro de la police discrètement avec son portable. Les policiers ont été informés de la situation grâce aux bruits et ont intervenus. Le père fut emmené en prison en attendant son jugement, la mère complètement sous le choc arriva anéantit au chevet de sa fille.
Léa s'en sortit avec quelques séquelle mais vivante. Sa mère prit beaucoup plus de temps avec sa fille pour l'aider et voulant essayer d'oublier cette période noire de leurs vies, elles déménagèrent à la fin de l'année pour recommencer une vie meilleure et arrivèrent ici.

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La mère arriva enfin chez-elle et découvrit ,soulagée, que personne n'avait tenté de s'introduire. Elle monta en haut et quand elle entra dans la chambre de sa fille elle vit son petit ange qui dormait recroquevillée en petite boule entourée de sa couverture toute douce. Cette image fit chaud au cœur de la mère et cette dernière s'approcha à pas de loup du lit. Elle se pencha sur le front de l'endormie et y déposa un tendre baiser remplie de tout son amour maternelle puis elle lui murmura:

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Mère de Léa: «Je t'aime ma petite étoile.»

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Et elle refit le chemin inverse, referma délicatement la porte et finalement alla dans sa chambre.
Quand elle fut enfin dans son lit elle se demanda si elle devait la mettre au courant ou non. Mais ne voulant pas inquiéter sa fille elle décida de ne rien lui dire mais de quand même prendre des mesures de sécurités car on ne sait jamais ce qui peut se passer. Et se fut sur ses pensées qu'elle s'endormit.

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[Voila vous connaissez maintenant le douloureux passé de Léa j'espère que ce chapitre vous plaît même si il n'y a que très peu de dialogue]
[Avis?Commentaire?Question? → @smileandlovetogetherquestion ]
[Poster le numéro du chapitre suivant ;) ]

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[La voila enfin ♥ ]

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Les deux voitures se rapprochaient de plus en plus. A quelques minutes de l'impacte la voiture d'en face se mit à klaxonner. Le bruit fit sortir la mère de sa transe et elle eut immédiatement le réflexe de donner un violent coup de volant à droite pour retourner sur sa file. C'était une chance car si elle n'avait pas eu ce réflexe s'était son destin qui se scellait. La jeune femme se gara sur le bas côté et descendit pour pouvoir prendre l'air, se calmer et souffler un bon coup. L'air était glaciale et de la vapeur sortait de sa bouche. Quand elle avait réussi à se calmer un minimum, elle se rendit compte qu'elle était toujours en contacte avec le fameux agent de police qui était affolé à l'autre bout du fil. Elle prit la peine de le rassurer, même si s'était le cadet de ses soucis, et l'agent se mit à la réprimander sur le fait d'être au téléphone alors qu'elle conduisait.

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«Gna Gna Gna, comment j'aurais pu savoir que Monsieur allait m'annoncer que le père de ma fille, qui était encore mon ''mari'' à ce jour, s'était évader de prison.» Grognait-elle discrètement. Après avoir mit fin à la conversation elle raccrocha puis remonta dans sa voiture et démarra au quart de tour tel une voiture de course pour rentrer le plus vite possible chez elle, en dépassant bien-sûr les limites de vitesses autorisées.

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Et oui le père de Léa était en prison. Qui l'aurait crû? Personne. S'était un homme normal en apparence, il était banquier et gagnait merveilleusement bien sa vie. Il était marier à une belle femme et tout deux allaient avoir un enfant. Bref une vie parfaitement parfaite au niveaux des apparences mais non à l’intérieur. Personnes , pas même ses propres parents, ne se doutaient qu'en ce futur père de famille régnait en lui une folie perfectionniste, en gros tout ce qu'il entreprenait il le faisait avec perfection, qui pouvait l'amener à des actes épouvantables.
Quand Léa parut au monde se fut un beau bébé aux yeux de tous mais pas pour lui, pour lui elle n'était absolument pas même pas du tout parfaite.
Au fils du temps Léa grandissait avec une mère pleine d'amour mais souvent absente et avec un père qui dédaignait la voir et qui ne lui offrait aucun amour.
La jeune fille grandissait toujours et malheureusement à une certaine époque des enfants de son âge se moquaient d'elle, l'insultaient, rigolaient d'elle. Ce fut tout à fait horrible à vivre pour elle et ce fut pire ensuite quand son père l'apprit: il avait honte d'elle, il ne voulait plus se balader où que se soit à ses côtés, pour lui cette enfant n'était qu'un échec, une moins que rien, une imparfaite qui ne méritait pas d'être la fille d'un homme si parfait.
Très vite il se mit à la rabaisser à son tour, à la traiter comme un chien. Il s'était même mit à la frapper tout en lui répétant des mots tous plus horrible les uns que les autres:

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«Tu es une erreur dans ma vie parfaite.
Depuis que tu es née tu me gâche la vie.
Tu es une tâche.
[...]»

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La mère qui était toujours au volant laissa couler des larmes. Elle avait peur. Peur qu'il s'en prenne encore à sa fille mais que cette fois il mette fin à ses jours. Peur parce que sa fille, son diamant, son trésor, sa vie était seule à la maison et qu'elle risquait beaucoup de chose. Peur parce qu'un monstre est en cavale dans la nature à cette heure-ci et que cette chose n'a qu'un seul désir et il fera tout pour le réaliser.
La jeune femme était en transe, elle pleurait de plus en plus, tout ça à cause d'une seule chose: la peur qui est maître de ses pensées.
Sa voiture se décala petit à petit sur la file inverse, sans qu'elle s'en rende compte, et un peu plus loin... Les phares d'une voiture venant dans son sens se dessinaient … Et petit à petit ses deux lumières se rapprochèrent de la voiture de la mère...

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[Avis ? Question?-> @smileandlovetogetherquestion ]
[Que va-t-il arriver à la mère ? ]
[Mettez le numéro du chapitre suivant svp]

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#Chapitre 39#
[ écouter en même que de lire svp ]
https://www.youtube.com/watch?v=b71j1v5oyOY&list=PLRuncZVWQXUmP2NcqTCuZSyFcDexi2NN-&index=10

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Après avoir entendu le deuxième message, la mère de Léa fronça les sourcils. «Que me veux-t-il?» se demanda-t-elle.
Elle prit son oreillette et la mit dans son oreille puis elle s'attacha et démarra sa voiture.
Lorsqu'elle fut arrêtée au premier feux rouge, elle téléphona à l'homme qui l'avait appelé un peu peu plus tôt.
Le temps que le policier ait répondu la femme avait déjà repris sa route et roulait sur des toutes petites routes.

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???: «???»
Mère de Léa: «Oui bonjour, vous m'avez appelez il y a je ne sais combien de temps et vous m'avez demandé de vous rappeler de toute urgence»

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La jeune femme arriva à une intersection, elle mit son clignotant gauche et tourna à gauche.

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???: «???»
Mère de Léa: «Oui c'est bien moi, quelle est la chose urgente dont vous devez me parler?»

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Elle continua sa route tout droit.

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???: «???»
Mère de Léa: «Oui c'est bien sa mais pourquoi me parlez-vous de lui?»

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Elle mit son clignotant à droite et tourna à droite.

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???: «???»

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A l'entente de la phrase de son interlocuteur, la mère de Léa devient livide, sa bouche était crispée d'horreur et à moitié ouverte comme-ci elle voulait crier mais que le son ne sortait pas et ses yeux... Dans ces yeux on y voyait un univers sombre, remplit de noir et où le maître des lieux n'était autre que la Peur. La jeune femme était morte de frayeur. Un long frisson la parcourra et ce n'est qu'à ce moment là qu'elle put enfin répondre à son interlocuteur, qui à l'autre bout du fil l'appelait.

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Mère de Léa: «Oui je suis là... Échappé vous dites?»

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Elle s’arrêta à un Stop et continua tout droit.

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???: «???»
Mère de Léa: «Comment a-t-il fait?»

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Elle arriva à un rond point et prit la troisième sortie.

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???: «???»
Mère de Léa: «Quoi! Il avait prit en otage le gardien?! C'est arrivée quand?»

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La jeune femme prit un virage serré à droite.

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???: «???»
Mère de Léa: «Quoi! Une semaine! Même plus!! Et vous ne me prévenez que maintenant!»

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Dans la voix de cette mère on pouvait discerner à la fois de la colère mais aussi énormément de peur. Une image lui parvenue: c'était celle de sa fille dans sa chambre... Mais cette dernière n'était pas toute seule...Il était là... En face d'elle, en face de cette enfant innocente. Il avait à la main quelque chose de scintillant...Un poignard. Et d'un seul coup il se jeta sur la fillette et lui planta son arme dans sa poitrine. La jeune fille poussa un hurlement qui se répercuta dans tout la pièce. Il lui enleva le poignard et regarda son chef d’œuvre. Du sang en abondance coulait de la plaie de la jeune fille. Elle se lamentait, pleurait... Elle agonisait lentement. Et puis il n'eut plus aucun bruit. La jeune fille n'avait plus aucune lueur de vie dans ses yeux. Le sang dans ses veines avait cessé de couler. Son cœur avait arrêté de battre. La jeune fille était morte.

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[La voila]
#Chapitre 38#

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Dans un restaurant très réputé de la région à une table magnifiquement ornée se trouvait une belle et grande femme aux cheveux longs et châtain ainsi qu'un bel homme aux yeux vert et aux cheveux blonds. Le petit couple venait tout juste de finir de déguster le délicieux repas, préparer avec soin par le chef cuisinier en personne, et ils se regardaient amoureusement tout en discutant.

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La femme: «Merci beaucoup pour ce restaurant, c'était vraiment exquis»
L'homme: «Mais de rien, du moment qu'on passe du temps ensemble tout les deux c'est le principal et rien n'est trop beau pour toi»

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A ces paroles la jeune femme se mit à rougir elle avait l'impression de revenir à l'âge de l'adolescence. Et elle ria doucement.

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La femme: «T'es vraiment adorable.»
L'homme: «C'est toi qui est adorable.»
La femme: «Malheureusement notre soirée doit s'arrêter là... Ma fille va être inquiète si je ne rentre pas.»
L'homme: «Mais il n'est que vingt-deux heures et puis ta fille sait que tu es de sortie ce soir avec moi donc elle n'a pas à s'inquiéter. Et puis elle a dix-sept ans, elle est grande.»
La femme: «Heuu...» répondit-elle en baissant son regard. L'homme se mit à souffler:
L'homme: «Ne me dit pas que tu ne lui as toujours pas dit.»
La femme: «Je n'ai pas eu le courage de lui dire...»
L'homme: «Très bien et bah rentre alors mais il faut que tu lui en parle, tôt ou tard elle le saura d'une certaine manière.»
La femme: «Je lui dirais, je t'aime on s’appelle!»
L'homme: «Moi aussi je t'aime et oui je t’appelles, rentre bien.»

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La femme alla embrasser son amant et partit du restaurant. Elle rentra dans sa voiture et alluma son téléphone qu'elle avait éteins durant son rendez-vous. Lorsqu'elle l'alluma, elle eut la surprise de voir qu'elle avait deux appelles manquées ainsi que deux messages vocaux. Elle les écouta:

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Message vocale n°1: «Coucou maman, c'est Léa, c'était pour savoir si je te préparais à manger se soir ou non mais vu que tu ne réponds pas sur ton téléphone portable alors je vais tenter d’appeler à ton travail bisous.»

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Et oui la femme n'est autre que la mère de Léa. Après avoir écouté le premier message elle écouta le deuxième message qui venait d'un numéro qu'elle ne connaissait pas.

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Message vocale n°2: «Bonjour Madame Morel , ici Monsieur Dupont chef brigadier de la police nationale, j'aurais besoin de vous parler de toute urgence. Merci de me rappelez le plus vite possible.»

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[Avis?Question?]
[De quoi veux parler le chef brigadier?]
[compte question: @smileandlovetogetherquestion]

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[La voila :x stp ne me découpe pas en morceaux ]
#Chapitre 37#

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''Elle l'attrapa et le déplia...''
Puis elle se mit à le lire:

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« Rappelles toi: ne t'approches pas de Jules, ne le touche pas . Je ne rigolais pas il est a moi donc tente ne serais-ce qu'une petite approche et c'est simple tu regrettera d'être née.»

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«Une lettre de menace, vraiment très charmant» ironisa la jeune fille. Elle n'eut bien-sûr aucun mal à trouver l'auteur de cet adorable mot: Rebecca. Cela ne pouvais être qu'elle.
«Cette fille est une dingue, une folle allié, se dit la brunette en se parlant à elle-même, elle a toujours eu ce qu'elle voulait; lorsque qu'un obstacle se met sur sa route... c'est simple elle l'anéantit.» L'adolescente souffla. «Il est préférable que je fasse ce qu'elle dise et que je ne m'approche, tout simplement, plus Jules... Dire que je commençais à l’apprécier et qu'a vrai dire il est plutôt charmant.» conclue-t-elle.
Pendant qu'elle continuait à marmonner elle mit le papier dans un de ses tiroirs de bureau et se mit enfin au boulot.

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Cela faisait maintenant deux heures que la jeune fille travaillait et elle venait tout juste de terminer. Quand elle regarda son réveil, qui se trouvait sur sa petite commode de nuit, elle fut surprise de voir qu'il était déjà vingt heures. Elle se leva et alla prendre une bonne douche pour ensuite se mettre en pyjama. Elle descendit en bas et elle s'apprêtait à faire à manger quand d'un seul coup elle se demanda si il fallait qu'elle prépare une assiette pour sa mère ou si elle aura déjà manger au travail. Face à cette question elle décida d’appeler le portable de sa mère. Elle composa le numéro et appela.

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«Bonjour vous êtes bien sur la messagerie du 06 xx xx xx xx ...»
«Messagerie, pensa la brunette, bizarre normalement son téléphone est toujours allumé.» Elle laissa tout de même un message puis raccrocha. Mais elle tenta quand même d'appeler à son lieu de travail.

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«Bip...Bip...Bip...»
???: «...»
Léa: «Oui allo, je suis la fille de Madame xxxxx est-ce que se serait possible que vous me la passiez s'il-vous-plaît?»
???: «...»
Léa: «Ah bon! Elle est déjà partit! D'accord merci et bien bonne soirée au revoir.»

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La jeune fille raccrocha et puisque sa mère était partit il y a peu de temps elle décida de lui préparer une assiette. Elle fit la cuisine et se mit à table. Elle manga tranquillement devant la télévision.
Il était maintenant vingt et une heure trente, la mère de la brunette n'était toujours pas rentrée.
«Il doit y avoir des embouteillage sur la route» pensa la jeune fille sans vraiment trop se poser de questions. Étant fatiguée elle alla dans sa chambre pour se coucher. Elle se mit dans son lit douillet, prévenue ses amis avec qui elle parlait par sms qu'elle allait se coucher. Elle éteignit ensuite son téléphone et le posa sur sa commode ensuite elle posa sa tête sur son coussin très moelleux et ferma les yeux.

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La brunette se dirigea vers la cuisine pour voir si se mère était là mais non elle n'était pas là, à la place elle trouva un petit mot de sa part lui disant qu'elle rentrait tard et tout le patati habituel.
L'adolescente goûta et monta dans sa chambre pour faire ces devoirs. Elle s'installa confortablement sur son lit et prit son sac , car oui même si elle à un bureaux la jeune fille travaille sur son lit c'est bien plus confortable, elle l'ouvrit. Elle prit toutes ses affaires et les posa sur son lit quand d'un seul coup le petit mot qu'elle avait complètement oubliée , car oui elle à une mémoire de poisson rouge à certains moments, se mit à voleter. Elle l'attrapa et le déplia...

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[Voila un chapitre un peu plus loin, je tenais à m'excuser pour mon absence , merci à tout ceux qui sont quand même rester fidèles ]
[Qui y a-t-il d'écrit sur ce papier? Qui l'a mis dans son casier?]
[Que pensez-vous de ce chapitre? Aimez-vous toujours autant ? ]
→ répondez sur mon compte question: @smileandlovetogetherquestion

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[Enzo & Clary]

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Et elles commencèrent à manger en bavardant de chose à faire durant le week-end .

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Léa: «Et si on allais au ciné ce week-end?»
Mélanie: «Bah moi je suis partante et toi Clary?»
Clary: «Ouais moi sa me va mais pour allez voir quoi?»
Mélanie: «Hum...Si je me souviens bien y a Jurassic World qui viens de sortir.»
Léa: «Oh ouais!! En plus je voulais trop le voir!!»
Clary : «La même!»
Mélanie: « Bon bah adjugé et vendu! On ira le voir.»
Clary: «Cool! Le vendredi ou samedi soir?»
Léa &Mélanie: «Vendredi»
Clary: «Ok pour Vendredi soir, j'irais voir ce soir les horaires et je vous dirais tout demain»

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Elles venaient de finir leurs plats quand tout à un coup le ''groupe populaire'' , dont bien-sûr Rebecca et Jules font partis, arriva et s'installa à une table près de celle des filles et comme par un énorme hasard Jules se mit à une place pile en face de Léa. Le brun ténébreux la regardais, que dis-je, il la dévorait des yeux avec accroché à ces lèvres un petit sourire; ce qui rendait extrêmement mal à l'aise la brunette. Mais très vite la fausse blonde qui s'était assise à côté de Jules fit en sorte que le garçon n'ait d'yeux que pour elle, chose qu'elle réussit bien-sûr en mettant sa poitrine sous ses yeux, le garçon qui portait maintenant toute son attention à la jeune fille, ou plutôt à ses deux ballons, ne vit pas que cette dernière lança un regard noir lourd de menace à Léa. L'adolescente voyant le regard semblable à une mitraillette de la chienne du beau brun détourna de suite son regard vers son assiette. Non pas qu'elle n'est peur de la blondasse mais elle ne sait pas jusqu'où celle-ci peut aller et surtout parce qu'elle souhaite ne pas avoir d'embrouille cette année; mais bon certains souhaits ne se réaliseront jamais.
Les filles finisse de manger et dès que la sonnerie retentit de nouveau pour les inviter à rejoindre leurs prochains cours, elles partirent rejoindre leurs salles.

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Durant ses heures souvent les jeunes filles s'ennuyèrent et se jetèrent des petits mots d'ailleurs elles ont faillit se faire prendre à plusieurs reprises.
Et enfin la sonnerie de leurs dernière heures sonna et tout les élèves sortirent pour rejoindre le plus vite possible leurs chez sois. Le petit groupe de cinq qui se retrouva devant le lycée se disent tous à demain et se séparèrent.
Enfin, Léa rentra chez elle.

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Léa: «Coucou Maman je suis rentrer!»
…..Blanc....
Léa: «Ok...»

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''Elle était habillée comme dans son rêve avec sa petite robe blanche... ''
Coïncidence, ou non, Enzo ne savait quoi penser. Il n'eut pas le temps de réaliser quoi que se soit que la jeune fille s'était déjà jeter dans ses bras pour avoir son câlin habituel.

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???: «Enzouillette!»
Enzo: «Clarysette!»

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Le brun resserra son étreinte sur le fin corps de la roussette et la fit tournée dans les airs. Pas loin de là, Mélanie et Léa admiraient la scène; toutes deux tournèrent leurs visages vers l’autre et se regardèrent avec un petit sourire qui voulaient tout dire pour les deux jeunes filles.

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Léa: «Tu pense à ce que je penses?»
Mélanie: «Oh oui! Ils formeraient un merveilleux couple.»
Léa: «Ils sont fais pour être ensemble sa se voit»
Mélanie: «Mais oui! En plus elle l'aime, reste plus qu'à savoir si c'est réciproque.»

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Les deux meilleurs amis s'étaient relâches et se regardaient en rougissant. Léa qui avait vue sa le fit remarquer à son amie:

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Léa: «Regarde, vue comment il rougit je pense qu'il aime mais sa s'est à nous deux de le découvrir.»
Mélanie: «Oh ouais! On va faire les cupidons.»

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Les deux filles rigolèrent ensemble et se tapèrent dans la main pour sceller leurs pactes. Quelques minutes après Clary et Enzo les rejoignirent sans se douter de quoi que se soit. Ce matin ils n'étaient que quatre car Ethan commençait plus tard. Ils bavardèrent un peu mais ils furent très vite interrompu par la maudite sonnerie qui annonçait le début d'une journée de cours plus ou moins passionnants; Enzo partit de son côté et les trois filles aussi.
Les heures commencèrent à défiler petit à petit et bientôt la sonnerie du midi retentit enfin pour la plus grande joie des personnes que l'on pourrait nommer des «ventre-sur-pattes», dont bien sûr Léa fait partie ainsi que ses deux amies. Toutes les trois se dépêchèrent d'aller au casier pour y mettre les affaires du matin et prendre celle de l'après-midi pour ensuite pouvoir allez manger. Mais Léa découvrit quelque chose dans son casier autre que ses affaires: un petit papier de couleur rose bonbon pliée en quatre. Surprise de cette trouvaille la jeune fille regarda aux alentours pour essayer de voir qui avait bien put être l'auteur de ce mot mais malheureusement il y avait foule donc elle est impossible de savoir . Elle prit ses affaires ainsi que le papier, alors qu'elle commençait à le déplier elle fut interrompue par ses deux amies qui lui clamèrent de bien vouloir bouger son arrière-train car leurs estomacs grondaient. Léa mit donc à la va-vite le papier en vrac dans son sac et rejoignit ses amies au pas de course.

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Ce midi là, les trois amies mangeaient entre-elles car les garçons mangeaient malheureusement à l'heure d'après. Après s'être servit au self, elles allèrent s'asseoir tranquillement à une table de quatre.

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Clary: «Bonne appétit les filles»
Léa &Mélanie: «Merci à toi aussi»

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je suis désolée de pas poster à vrai dire je n ai pas eu le temps de m occuper de ma chronique parce qu'il faut que je révise pour mon bac, vous vous direz peut-être que c'est rien ou que j exagère mais sachez le je suis en filière littéraire si je loupe mon bac de français je suis dans la mxerde pour le reste et de plus j ai loupé mon dernier bac blanc français ce qui me fous encore plus la pression. Ce qui fait que j essaye de réviser un maximum car le bac arrive à grands pas et je ne veux vraiment pas le louper.
De plus je suis à vrai malade en ce moment ce qui fait que je n ai pas la forme pour écrire.

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j espère que vous comprendrez que je fasse passez mes études avant tout et que vous m en voudrez pas... je pense réduire le nombre de chapitre par semaine mais je ne sais pas de combien, je previendrais quand j aurais pris ma décision car depuis que j ai commencé je passe énormément de temps à écrire au lieu de réviser...

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en tout cas merci je suis choquer du nombre de j'aime que j ai découvert en me connectant c'est incroyable, merci à ceux qui continuent à me soutenir, à lire ma chronique et à aimer ce que j'écris et je suis désolée si je vous déçoit

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[Ahahah voila la suite :') ]

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#chapitre 35 suite#

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Enzo: «Vous vous êtes brossés les dents?»
Alexis: «Na...»

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Il se prit un coup de coude de la part de son jumeaux mettant fin à ce qu'il allait dire.

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Noah: «Bien sûr» dit-il avec un grand sourire et un air angélique.

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Mais Enzo n'était pas assez naïf pour le croire et répliqua.

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Enzo: «Allez vous brossez les dents sans discussions et je vérifierais après donc faites le bien»

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Noah grogna, dégoûté de ne pas avoir réussi à tromper son grand frère puis monta avec son frère pour se brosser les dents. Et Enzo monta lui aussi se brosser les dents.
Après avoir finis il prit son sac de cours, appela ses frères et vérifia si ils s'était bien brossez les dents. S'était le cas donc ils partirent tous de la maison à pied. Enzo les déposa à l'école et continua son chemin jusqu'au lycée. Arriver devant quand il la vit il fut bouche bée. Elle était habillée comme dans son rêve avec sa petite robe blanche...

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[Désolé chapitre un peu court]
[Suite je ne sais pas quand -> voir information ]
[Question/Avis -> @smileandlovetogetherquestion]

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#Chapitre 35#
''La fille: «...»''

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La fille: «DRIIIING DRIIIING DRIIIIING DRIIINNNG»

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Ce maudit réveil fit sauter le garçon qui se redressa rapidement sur son lit. Il donna un coup dans son réveil pour qu'il s’éteint et resta bloquer en position assise sur son lit pendant quelques instant à réfléchir. Il leva sa main et parcourra de son index ses lèvres, remarquant qu'elles n'étaient pas gonflés il se dit: ''Ce n'était qu'un rêve alors... Un merveilleux et putain de rêve...''. Il soupira un grand coup il aurait tellement aimé que se soit réelle et qu'il avoue enfin ses sentiments à cette jeune fille. Il se laissa tomber dans son lit et regarda son plafond où pleins de photos y étaient collées. Des photos de lui avec ses potes de sport, des photos récentes du groupes avec la nouvelle petite tête qui s’appelait Léa, mais ce qu'il admirait le plus s'était les photos où il étaient avec la fille qu'il aime tant. Des photos d'eux deux tout jeunes dans le petit parc, et d'autres photos où l'on voit l'évolution.
Il était entrain de détailler une photo où l'on voyait la jeune fille toute seule s'appuyant contre un herbe regardant dans le lointain, il la trouvait si magnifique.
Il était perdu dans l'admiration de cette photo quand d'un seul coup une voix féminine s'éleva.

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???: «ENZO SORT DU LIT TU VA FINIR EN RETARD!»
Enzo: «OUI MAMAN» s'écria-t-il pour que sa mère puisse l'entendre tout en soufflant.

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Il se leva rapidement du lit et alla prendre une douche. Quatre - cinq minutes après il en ressortit et se sécha. Il s'habilla des vêtements qu'il avait préparé la veille puis descendit en quatrième vitesse tout en faisant attention de ne pas sa vautré dans les escaliers.

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Enzo: «Bonjour 'man» dit il à sa mère en lui faisant un bisous sur la joue
Mère d'Enzo: «Bonjour mon loulou, bien dormis?»
Enzo: «Maman! Je t'ai déjà dis de pas m'appeler comme sa» grogna-t-il
Mère d'Enzo: «Je suis ta mère et même si tu as grandi tu restes mon petit bébé»
Enzo: «...J'ai bien dormis et toi?» dit-il en évitant une dispute dès le matin
Mère d'Enzo: «Bien ton père est parti très tôt ce matin et moi je vais bientôt partir au boulot tu voudra bien amené les jumeaux à l'école?»
Enzo: «D'accord, passe une bonne journée»

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Tout en discutant avec sa mère il avait fait son petit déjeuner et commençait à manger. Sa mère pendant ce temps alla dire au revoir aux deux petits monstres âgés de 8 ans qui se trouvaient sur le canapé entrain de regarder Bob l'éponge.

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Mère d'Enzo: «Allez bisous mes petits anges, vous écoutez bien votre grand frère et Noah pas de bêtises. Et toi Alexis ne suit pas ton frère si il fait des bêtises.» leur dit-elle en leurs faisant des bisous sur le front.
Alexis: «Oui maman»
Noah: «On est des anges t'inquiète pas maman»

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Et s'était sur ses paroles que la mère partit au travaille et qu'Enzo prit le relais. Il finit de manger et demanda a ses petits frères:

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