@LeonarddeDreuille

Léonard de Dreuille

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http://ask.fm/LeonarddeDreuille/answer/109315479305 Je suis d'accord avec l'anonyme, tu ne devrais pas inculquer à ton enfant ton opinion personnel, mais le laisser se faire son propre opinion sur la question lorsque tu auras un enfant.

Elleinad1’s Profile PhotoGeai Rit
si plus grand il décide de manger de la viande, okay, je ne crois pas cela possible, mais si c'est le cas c'est sa décision, mais qu'une fois qu'il seras autonome, je ne payerais pas pour cette barbarie, et pour l'empoisonner, cela est mon choix.

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Et puis les maquilleurs de t'es shootings peuvent te cacher sur le genre de maquillage qu'il te mette sur ta 'tronche'. Sauf si tu ramene ton propre maquillage, ce qui m'étonnerais fort..BRF je t'admire quand même, je suis une grande fan. Bisous, je voulais pas t'ennervé si c'est le cas. Soigne toi.

si tu était vraiment fan tu serais au courant que je déteste me faire maquiller, je fait tout mes make up seul, donc oui c'est mon maquillage, encore une réflexion à faire?

Tu penses quoi personnellement de ce connard de Farid de la Morlette?

SandyVa’s Profile PhotoSoftness
bha que c'est un pauvre type con et cruel qui voulait juste faire le buzz sans vraiment penser aux conséquences, après ça me fait un peu bizarre le buzz que ça a fait, tout le monde "oooohhhh le pauvre chat" tout en s'empiffrant d'autres animaux tué pour eux pour les mêmes raisons, le plaisir, mais là le plaisir gustatif.

La tirade du nez , c'est celle ou on critique Cyrano , et que lui répond à l'autre d'une façon épique c'est ça ?

Fujiiro’s Profile PhotoRedisturbia.
oui :3
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur le champ que je me l'amputasse ! »
Amical : « mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! »
Curieux : « de quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « c'est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.

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