Vos (ou votre) personnages ont-ils déjà vécu l'abandon ou la perte d'un proche ? Si oui, à leur actuelle, cet événement ou ce traumatisme influe-t-il leurs rapports avec autrui ?
Les parents d'Izidor ont été butés sous ses yeux lorsqu'il était gamin. Ca ne laisse jamais vraiment indifférent, et même si j'aime à dire KiL a Un PaSsE BrEuSoM, ça l'a bien évidemment marqué. Ca a comme dressé un mur en lui. Un mur qui l'empêche de se lier aux gens.
Maëlor a perdu son frère, Declan, lors de la grande guerre qui opposa l'Humain au Divin. Autant vous dire que lui qui ne portait déjà pas les Hommes dans son coeur, péta un boulon de façon plutôt rapide et destructrice. Il déteste les humains depuis ce même jour funeste. Et Andre ne chérit pas non plus particulièrement l'espèce humaine, d'ailleurs. Depuis que des braconniers -qui se trouvèrent être des personnels de la réserve dans laquelle il travaillait- ont buté un lion pour lequel il s'était pris d'amitié, il se retrouve à avoir énormément de mal à accorder sa confiance aux autres.
Adam n'a pas conscience d'avoir perdu ses parents. Non pas qu'il pense qu'il a été déposé dans un foyer par une cigogne, c'est juste que pour l'instant il ne se pose pas la question. Il ne réalise pas. Il ne capte pas, ni qu'il a eu des parents, ni qu'il n'en a plus. Cependant (keske jem ce mot), et ce même s'il est très à l'aise avec la solitude, qu'il la chérit en un sens, il s'attache à ses rares rencontres avec une facilité assez déconcertante. Et il s'attache très fort. Il est pot de colle haha. Et c'est complètement lié a la solitude qu'il a presque toujours connu, c'est comme si un ras le bol s'exprimait progressivement finalement.
Maëlor a perdu son frère, Declan, lors de la grande guerre qui opposa l'Humain au Divin. Autant vous dire que lui qui ne portait déjà pas les Hommes dans son coeur, péta un boulon de façon plutôt rapide et destructrice. Il déteste les humains depuis ce même jour funeste. Et Andre ne chérit pas non plus particulièrement l'espèce humaine, d'ailleurs. Depuis que des braconniers -qui se trouvèrent être des personnels de la réserve dans laquelle il travaillait- ont buté un lion pour lequel il s'était pris d'amitié, il se retrouve à avoir énormément de mal à accorder sa confiance aux autres.
Adam n'a pas conscience d'avoir perdu ses parents. Non pas qu'il pense qu'il a été déposé dans un foyer par une cigogne, c'est juste que pour l'instant il ne se pose pas la question. Il ne réalise pas. Il ne capte pas, ni qu'il a eu des parents, ni qu'il n'en a plus. Cependant (keske jem ce mot), et ce même s'il est très à l'aise avec la solitude, qu'il la chérit en un sens, il s'attache à ses rares rencontres avec une facilité assez déconcertante. Et il s'attache très fort. Il est pot de colle haha. Et c'est complètement lié a la solitude qu'il a presque toujours connu, c'est comme si un ras le bol s'exprimait progressivement finalement.
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Hed
The Lone Wolf
