J'le suis pas, du moins, ça dépend pour qui. J'suis très casse couilles mais en attendant, je cuisine, je fais le ménage, le linge, je fais tout. Mais je suis casse couilles.
J-2 et ça fera un an que je te supportes. Que je supporte ta gueule de chinoise, tes harcèlements de textos, ton sarcasme à moitié, et ton humour jaune.
Un joyeux anniversaire à la plus jolie des chinois qui existe. 12 ans...encore un boutchou...à croire qu'elle ne grandit pas vite. Une bougie de plus sur un gâteau que tu ne souffleras pas,mais un pas de plus dans un futur que tu mèneras.. fais des rêves,apprend d'eux,et concrétisent les. C'est la seule chose qui t'aidera à aimer la vie. Tu le mérites plus que quiconque,le mal ne vient jamais de toi,ta bonne humeur fait face à des gens heureux autour de toi. Ne crois pas le miroir auquel tu te vois chaque jour,parce qu'il ne reflète que ce que tu te maltraite à penser de toi. Ecoutes la personne qui t'admire..écoute TOI... Happy Birthday Marin's 16 ans. Lili.
Tu n'as aucune personnalité et copies bêtement celle d'Aurélie.
Pour te répondre, je trouve sa ridicule de copier la personnalité d'une personne quelconque. Ce pourquoi j'ai ma propre personnalité, et non celle d'une autre. Si tu te bases juste sur le fait de me connaître, sur ce site, tu te trompes mais à un point inimaginable. Appart le fait qu'on est toutes les deux des grosses daleuses, et qu'on écoute le même genre musical. On n'se ressemble pas tant que sa. Elle est juste unique en son genre. Donc sur ces mots Aurélie et moi nous te souhaitons d'allée royalement voir ailleurs. :)
"Je t'aime à en crever. Mais je ne suis pas capable de dire si ce que je ressens c'est de l'amour, de l'amitié, un truc entre les deux ou bien les deux à la fois. Parce que tu as massacré toutes mes certitudes, tu as inscrit un point d'interrogation sur ma vie entière. Tu as piétiné le mécanisme de mon cœur à en faire disjoncter mon univers. Et dans ma tête, y'a ta voix qui est en replay. Malheureusement, je ne trouve plus le bouton pour arrêter ce massacre envers mon cœur. Et ça dure, ça dure. J'crois même que ça s’arrêtera jamais et j'serais prête à t'attendre, longtemps."
Ce soir j'nous imagine. Nous imaginant dans ce lit bien fait. Nous imaginant nous dévisager, ne plus prendre compte de tout c'qui se passe autour, j'm'imagine t'enlacer, te combler de désirs. Je t'imagines, allonger me regardant, tes magnifiques yeux bleus dans les miens. Tes cheveux le long de ton corps, qui te suivent à chacuns de tes mouvements. Tes mains sur mon corps se baladant. Des frissons à en perdre tête. J'imagine mes nuits à tes côtés, ou nous formons plus qu'une personne, ou plus rien d'autres n'existe. Je te ferais remarquer comme tu es belle, comme ton sourire fait le mien, comme ton bonheur me réjouis. Je nous imagine encore et encore.
Une complicité de fou, des sentiments jusqu'à en perdre la tête, des regards à n'en plus finir, des "je t'aime" quand l'envie nous prend, des déclarations, tout ça.
"J'ai pas envie que tu partes, pas envie que tu aille en foyer. Alors voilà petite soeur, malgré nos différents qu'on n'a pu avoir, malgré notre coup de gueule durant ces deux ans, j'vais te prendre, tu vas venir à la maison. J'veux pas te voir malheureuse, j'veux pas qu'on ne se voit plus. Tu viens à la maison, ce soir. Je t'aime."C'est pas la plus belle chose qu'on m'a dîtes, mais ça en fait partie.