C'est décider, j'arrête de me cacher. Oui je l'avoue, j'ai continué. Pour tous vous dire, j'ai jamais arrêté. Sa me fais du bien de me massacrer, arraché, détruire ma peau fragile et rosé avec ces instruments de torture, gris en fer et glacés. Je n'ai jamais eu peur dans parler, mais certaine personne ont peur de m'écouter. Aujourd'hui, je vais crier la vérité, oui je continue a me mutiler, oui j'aime pleurer. Mes bras sont ensanglantés, mes cuisses charcuter, mon corps et tout simplement perforé, oui je continue a me scarifier, mais au plus profond de moi, je suis désolée.