"Ris comme si tu avais 10 ans, Fais la fête comme si tu avais 20 ans, Voyage comme si tu avais 30 ans, Pense comme si tu avais 40 ans, Conseille comme si tu avais 50 ans, Prends soin comme si tu avais 60 ans, Aime comme si tu avais 70 ans."
"Il est temps d'arrêter de pleurer sur son propre sort. Il faut profiter de sa jeunesse, rire autant qu'on respire, rester avec les personnes qui nous font du bien. Tout oublier, dépenser sa joie avec ses amis, et laisser la trace de ces petits bonheurs sur son visage : sourire."
Peut-être que la mort est une réponse. La réponse à toute cette violence, à toute cette intimidation. Une réponse à la question de la vie. Peut-être que la mort est un moyen de sortie. Pour pouvoir s'enfuir de ce cauchemars de souffrance, s'enfuir de ce rêve artificiel.Peut-être que la mort est une porte. La porte vers un monde meilleur. Où les paroles ne blessent pas autant, et où le bonheur existe réellement.Peut-être que la mort est un médicament. Le médicament qui me guérira de la solitude, et de la dépression.Peut-être que la mort est un miracle. Le miracle qui sera l'origine de ma renaissance dans un paradis loin de la réalité.
Ma peau est du papier, je la coupe. Mon visage est un masque, je le cache. Mon corps est un livre, je le juge. Ma vie est un film, j'essaye d'y mettre fin.
"- Pourquoi tu es toujours si triste alors que je me suis excuser ? - Prend une assiette, jette la parterre, excuse toi, elle s'est réparée ? Non. T'aura beau t'excuser, mon coeur restera brisé."
Mettre un pull pour cacher ses cicatrices. Oublier ses peines. Sécher ses larmes. Ne montrer qu'un sourire parfait que j'ai révisé devant la glace. Il faut relativiser, cette journée de cours me fera peut-être oublier ma depression pendant quelques heures. J'essayerais d'écouter le long discours du professeur de maths, ou de m'intéresser au potins dont discutent mes amies. Mais au fond de moi, je broie toujours du noir. Les personnes avec qui je traîne sont des filles que j'aime bien, mais à qui je ne pourrais jamais tout dévoiler. Je ne me vois pas du tout commencer la discussion en un joyeux "Au fait, je vous ai pas dis ! Je me mutile, c'est génial, non ?". Pourquoi exposerais-je donc mes problèmes intérieurs à mes amies ? Pourquoi leur imposer ça ? Il y a déjà conflit entre ce que veux ma tête et ce que me conseille le coeur. Alors, dites-moi, comment pourrait-elles m'aider, alors que moi-même j'en suis presque au point d'appeler au secours. La mutilation est un appel au secours. J'attends encore celui qui voudra bien l'entendre. Aidez-moi. Je ne veux plus vivre ces insomies. Plus de cauchemars, ni de couteaux dans la baignoire... Je veux avoir une vie normale, je vous en prie.
Tu me manque. Ton odeur, ton sourire, tes blagues qui me font tout le temps rire, ton regard me manquent. La façon que tu as de me regarder me manque. Tout me manque chez toi. Tu es le sens de ma vie, la raison qui me pousse à me lever chaque matin au lieu de rester seule, refermée sur moi-même.