Les Histoires d'Aylee

Thomas et moi sommes toujours de très bon amis. Je suis toujours folle amoureuse de Théo et c'est réciproque. Emmi, quant à elle, a changé de lycée. Avec Embre, Stella et Kathe, on forme toujours notre cercle d'amies mais aucune ne prend le dessus sur l'autre.
MESSAGE: Si vous avez un changement, ne baissez pas les bras, sachez que vous êtes bien meilleurs que ceux qui vous harcèlent, croyez-moi :)
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Coucou, voici une chronique de finie! C'est passé tellement vite, vous ne trouvez pas?
J'aurais jamais cru atteindre autant de followers, car ma passion c'est écrire! Merci encore et je crois ne jamais pouvoir vous remercier assez!

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=Donnez vos avis sur le compte questions (@LesHistoiresFantastiques) et avec un peu de chance, vous aurez le chapitre 1 de @Dreamstories_ demain :D
=Venez me parler sur le compte question et dîtes-moi ce que vous pensez de ce dernier chapitre.
=Faites un max de j'aimes pour voir qui a suivi ma chronique jusqu'à maintenant.
=J'ai vraiement hâte de commencer @Dreamstories_ parce que j'ai plein, plein, plein d'idées et j'espère que vous m'aideriez à en trouver d'autres :)

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Chapitre 59 FINAL, partie 1

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Elle fout quoi celle-là auprès de MON mec? On va voir ça.
Moi: Hey, Emmi!
Emmi: Oh, Aylee.
Elle venait vers moi pour me caliner mais je la repoussai, ce qui créa des chuchotements dans la foule.
Emmi: Je te conseille d'arrêter de te sentir aussi supérieure aux autres.
Moi: Ah oui? C'est moi qui me sent supérieure maitenant? T'as pas vu comment tu as profité de mon absence sale bitch.
Emmi: Arrête de te moquer de tous ces gens ici présents. Tu as toujours profité de tes avantages.
Moi: J'aurais gagner quoi en vous mentant à tous? Dis-moi.
Emmi: Tu aurais gagner ta place de présidente *rire*

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Tout le monde me regardait bizarrement. On aurait dit qu'elle avait répandu des rumeurs à mon sujet. Quelle garce, dire que c'était ma meilleure amie. Elle me déçoit...

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Moi: Tu ne me connais pas!
Emmi: Théo, dis à Aylee de s'en aller. Je n'ai pas la tête à lui parler.
Théo: Oui, va-t-en!
Emmi: Enfin, tu as entendu Aylee?

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J'étais sous le choc. Il m'a vraiment dit de m'en aller? A moi?

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Théo: Je t'ai dit va-t-en : Emmi!

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Je ne pouvais m'empêcher de rire comme toute la foule qui pleurait de joie et de bonté de cette mise en scène. Je m'étais trompée, on ne m'avait jamais oublié. Tout le monde détestait Emmi, depuis mon départ.
Soudain, mon téléphone sonne. Il y a marqué "Maman"
Durant cet appel, elle m'a dit que papa a réglé tous ses problèmes d'entreprise et qu'ils reviendront dans une journée pour retourner vivre à Paris.
Le sourire aux lèvres, je rentre dans la salle où le DJ avait annoncé un slow. A ma surprise, Emmi n'est pas là.

Moi: Stella, Emmi est où?
Stella: Elle est partie, elle a trop honte de se montrer.
Embre: Tant mieux. Tu nous a tellement manqué Aylee *grand sourire*
Moi: Vous aussi.

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Kathe arrive. Elle me félicite de la leçon que j'ai pu donner à Emmi et elle m'informe que Théo m'attend pour danser un slow au milieu de la scène. Je m'exécute et pars chez lui.

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Je fais une mini-révérence et lui me tend la main pour que je tourne entre ses bras. Je me mets au creu de son cou et lui fait des bisous sur sa nuque.

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Théo: Tu m'as manqué Aylee *il gémit*
Moi: Encore plus!

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Cette fois, il me tient par le menton et écrase les lèvres contre les miennes tout en faisant tourner ma langue avec la sienne. Je dépose un léger bisou au coin de sa lèvre mais il réussit à rattraper ma langue avec la sienne et ces deux dansent ensemble. Je vois que tout le monde nous regarde, mais à la limite, je m'en fous. Je continue de l'embrasser et j'arrête. Il me tient par mon bras et m'emmène dans la jardin. Il m'attrape par le creux de mon dos et m'approche de lui afin que son ventre soit face à mon nombril. Il passe sa main en-dessous de ma robe et me chatouille le ventre tout en m'embrassant. Je retire sa main et lui tire ses cheveux, et continue de l'embrasser avec la langue.

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Chapitre 58 (Partie 2)

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Nous déposons nos bagages chez Thomas, -bien sûr, puisque je n'ai pas les clefs de notre villa- et ce dernier nous déposa à la fête qui se faisait entendre depuis le dernier bout du quartier.

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Avec Léa, nous fîmes une entrée spectaculaire, on va dire. Vous voyez? Un peu comme dans les films d'action. Dès mon entrée, Stella et Embre vinrent chez moi en courant.
Stella *super excitée*: Aylee, Aylee, je suis super, super, super contente que tu sois venue! Tu vois mes fesses? Bah elles ont poussé d'un centimètre.
Embre: Ta gueule toi. On s'en fou de ton popotin!
Moi: Vous deux taisez-vous et faites moi un câlin les filles.
Elles me prirent dans leurs bras un moment.
Stella: Omg, j'ai remarqué ta robe. Elle est sublime! Tu l'as acheté d'où, Chanel, Dior, ou quelle autre marque?
Moi: Ma propre marque. Faîte par moi-même *;)*
Lorsque j'eus prononcé ma phrase, Emmi apparut, aux côtés de Théo. Elle fout quoi cette écervelée auprès de MON mec? On va voir ça.
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=Kik: migroloups
=Avis/Questions: @LesHistoiresFantastiques
=Aimez le lien dans la bio de cette chronique @Dreamstories_ si vous souhaitez être prévenus :*
=Bonnes vacances à ceux qui le sont et bonne chance à ceux qui ne le sont pas ;)

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Chapitre 58 (Partie 1)

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À mon avis, la route sera longue... Nous entrons dans le train, si on peut appeler ça un train d'ailleurs. C'est pas un truc rouillé comme je m'y suis habitué. Non, c'est un grand métro. Les gens sont bien habillés et très respectueux. On me disait bonjour, et je leur rendais leur salut. Thomas, Léa, Natasha et moi nous-nous asseyons dans un endroit à nous seuls où je m'essied confortablement. Pendant ce temps, je jetai un coup chaque seconde à ma robe que je porte pour le grand bal de promo ce soir où je serai renommer présidente. Léa était beaucoup mieux vêtie que moi, j'avoue. Thomas, quant à lui, portais une tenue simple puisque qu'il n'assistera pas à "ma fête" tandis que Natasha portait une robe simple, longue et col V.
{3heures plus tard}
Le train annonça enfin :
< Annonce, annonce. Les membres de l'avenue 5 de Paris sont priés de sortir. Je répète, les membres de l'avenue 5 de Paris sont priés se sortir >
Nous-nous exécutâmes sur-le-champ et sortons accompagnés de nos petits baluchons à la main.
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[SUITE DANS LA SOIRÉE]

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Chapitre 57
Moi: Léa, qu'est ce qui t'arrive?
Léa: Tu ne me croiras jamais. Les parents ont eu les moyens de retourner à Paris pour une semaine tandis qu'eux resteront ici pour financer des travaux pour l'entreprise qui s'arrange déjà.
Moi: Naan..t'es sérieuse?! Je vais enfin voir Théo, et péter la tronche d'Emmi. Dis, c'est quand qu'on bouge?
Léa: Maman a dit qu'on partira d'ici deux journées.
Moi: C'est le bal de promo dans deux journées. Je n'ai ni robe ni autre.
Lea: Parle pour toi, moi j'ai gardé une robe.
Moi: Ouais. Je verrais.
Excitée, je pris Thomas dans mes bras et accourut chez mes parents pour qu'ils affirment les paroles de Léa.
Mes parents: Effectivement. Mais vous irez seules dans le métro.
Moi: Aucun problème!
[Ellipse des deux jours]
Aujourd'hui, c'est le jour J. Pour la robe, j'ai pris celle que j'avais cousu en classe. Entre temps, je m'étais disputée avec Linda et l'autre idiote écervelée parce qu'elles me jalousaient. Je leur ai donc répondu qu'elles ne me servaient à rien à présent et qu'elles peuvent se pendre si elles n'aiment pas le fait que je retourne à Paris. J'ai dit au revoir à Natasha et Brad, même s'ils me manqueront tellement.
Me voici, à la gare accompagnée de Thomas et Léa : à mon avis, la route sera longue...
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[Aimez quand vous avez lu :*]
=La chronique est bientôt terminée, venez me parler, je réponds à tous ici : @Dreamstories_ ou @LesHistoiresFantastiques
=Excusez-moi pour que le chapitre soit court ♥ :/

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Chapitre 56
-Point de vue d'Emmi-
Vous allez me juger en disant que je ne suis pas fidèle, bah peut-être que vous avez raison.
C'est incroyable comme ma bouche répondais à ces mouvements, et tout à coup, Théo me repousse. Je ne comprends que lorsque je me réveille sur mon canapé. Oh non, tout ça n'était qu'un rêve.
-Point de vue d'Aylee-
Je rentre à la maison et m'allonge sur mon lit fait de bois. Je ne vous ai pas dit que je me suis acheté un téléphone, pas un super beau avec coque et tout, non, un tout pourri qui fonctionne à peine. Et en parlant de ce téléphone pourri, il sonne. Qui ça peut bien être? J'ai perdu tous les contacts mais j'ai repris celui de Linda, Brad, Cassandra, Natasha, Thomas, et bien sûr ceux de ma famille.
~Conversation téléphonique~
-Oui, qui est-ce?
-Euh, Aylee?
-C'est bien moi.
-Soulagé, c'est Théo.
[A ce moment, je suis trop heureuse pour décrire pas situation]
-Omg, THEO? J'arrive pas à y croire. Tu m'as tellement manqué mon amour! (et j'ai aussi embrassé un autre, a ajouté ma conscience)
-Moi aussi ma princesse. J'ai juste envie de t'embrasser, de te prendre dans mes bras. Tu me manques plus que tout!
-C'est réciproque. On pourra se voir bientôt?
-Je l'espère tellement.
Pendant ce temps, on parle beaucoup, beaucoup, beaucoup. Il ma aussi dit que cette pétasse écervelée d'Emmi a tenter de sortir avec mon mec. Elle joue à quoi celle-là. Mais je ne m'en fais pas pour autant, Théo ne me trompera jamais. Pas comme moi, ajoute une fois de plus ma conscience. J'appelle sur le champ Thomas pour mettre les points sur les "i", et lui parler un peu de tout. Comme prévu, on se donne rendez-vous a un endroit, près de ma ferme.
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Nous avons fait le tour des boutiques. On y trouve de beaux trucs. Je me suis acheté un jolie bustier rouge, et un slim gris et un bandeau fleuri, tandis que Natasha a pris une robe campagnarde qui lui arrive juste au-dessus du genou.
-Point de vue de Théo-
Je suis trop fatigué, je viens de gagner un match. Trop content ! Je prends une énorme gorgée d'eau quand je vois Emmi s'approcher de moi.
Moi: Salut beau gosse! Félicitations, t'as été démentiel *sourire*, un peu comme toujours.
Théo: Merci Emmi, dis t'as pas de nouvelles d'Aylee?
Moi: Non. *sec*
Théo: Bah merci quand même.
J'aperçois Niall nous rejoindre. Je le tchèque.
Niall: Putain comme on les a défoncés. T'es trop un boss Théo. Eh, salut Emmi.
Moi: Salut.
Mon téléphone sonne.
~Conversation Téléphonique~
-Allô, oui?
-Allô, c'est Thomas.
-Qu'est ce que tu veux.
-Je voulais juste t'informer que je suis maintenant chez Aylee. Je veux dire que je l'ai vu mais elle est partie.
-Sache que je m'en fou assez à présent.
-Comment ça, vous êtes meilleures amies.
-Ouais, ouais, bref, tu commences à m'ennuyer Thomas.
-Je voulais te demander d'informer Théo qu'Aylee l'aime beaucoup.
-Ow, euh..c'est d'accord.
~Fin~
Je lui raccrochai. Intérressant, il est avec Aylee...
Théo: C'était...?
Moi: Niall, laisse moi avec Théo
Niall: Okay.
Il s'en alla.
Théo: Oué?
Moi: Thomas est avec Aylee.
Théo: QUOI?! Il fout quoi chez elle lui?
Moi: Ah bah ça aucune idée *sourire*
Théo: Qu'est ce qui te fait sourire?
Moi: Je sais pas, peut-être le fait que j'ai peut-être bien une chance?
Théo: Tu veux dire que...moi et toi?
Moi: Tu comprends vite. On se voit ce soir?
Théo: Chai pas, je verrais, je te rappelle. Mais sache que je ne tromperai jamais Aylee.
Moi: On verra.
-Ellipse de la matinée, vers 17h-
Je suis allongée sur le canapé à bouffer du pop corn, quand mon téléphone sonne. Il y a marqué 'Théo, my love'. Biensûr, je décroche sur le champ, je suis sûre qu'il ne voudra pas qu'on sorte ce soir.
~Conversation téléphonique~
-Hey Emmi, excuse-moi de t'avoir fait attendre-
-Oui, je sais, tu ne veux pas venir parce que tu aimes encore Aylee. J'ai dû comprendre.
-J'ai dit ça, oui, et j'aime Aylee, mais la distance c'est pas mon truc.
-Tu veux dire que tu veux rompre? *ma voix est enthousiaste*
-Non. Bref, habille toi je passe te chercher, et on part se voir un cinéma ok?
-Carrément!
~Fin~
Je me douche, me maquille, me lisse les cheveux qui me voici prête après m'être mise une belle robe. Enfin ready, j'entends sonner.
Je pars ouvrir, Théo est habillé normalement, un jean, un beau pull et ses cheveux sont très bien coiffés.
Théo: Tu viens?
Moi: Oui.
Avant que je ne pénètre dans le véhicule, il m'attrape le bras -il y a moins de 30 cm entre nos visages. Il met une mèche derrière mon oreille et s'approche plus tandis que moi, aussi, j'approche mon nez du sien. Je suis nerveuse, il le remarque.
Théo: Qu'est ce que t'as?
Moi: Rien mais je sais pas quoi faire *sourire timide*
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Chapitre 54 (Partie 2)

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Natasha: Coucou Aylee, tu vas bien, tu n'as pas l'air bien...
Moi: Non, pas du tout, je vai bien.
Natasha: Tu ne peux rien me cacher à moi. Je te connais plus que Kathe ou Emmi ou tous les autres.
Moi: Ça c'est sûr...
Natasha: Qu'est-ce qui s'est passé?
Moi: Eh bien, je me suis embrouillée avec Thomas Nat'.
Natasha: Thomas? Tu veux dire quoi par là?

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Je lui expliquai tout en détail, mon appel, ma retrouvaille dans le vieux grenier, ma rencontre avec Thomas, le baiser, et la querelle.
Natasha était choquée, je le voyais. Elle me proposa donc d'aller faire le tour des magasins pour que je découvre un peu les environs.
Nous avons fait le tour des boutiques. On y trouve de beaux trucs. Je me suis acheté un jolie bustier rouge, et un slim gris et un bandeau fleuri, tandis que Natasha a pris une robe campagnarde qui lui arrive juste au-dessus du genou.
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Après quelques temps de silence, nous-nous endormons chacun de son côté.

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Je me réveille par un cauchemar. Et puis non, ce n'était pas un cauchemar, Thomas et bel et bien à côté de moi et nous-nous sommes bel et bien embrassés. "Mais comment ai-je pu faire ça?" "Comment ai-je pu tromper Théo?" Pensait ma bonne conscience. "Tu n'as fait que ce que ton cœur t'a demandé. Tu as voulu l'embrasser, et tu l'as fait, pourquoi culpabiliser?" Pensait l'autre conscience. Je ne sais vraiment pas quoi penser. Je vais retourner à la maison, à pied. Je me levai, me chaussai et coiffai les cheveux avec ma main en guise de brosse. Je m'apprêtais à sortir quand j'entendis prononcer mon prénom.

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Thomas: Aylee.
Moi: Oui Thomas, je pense devoir m'en aller. Il est temps.
Thomas: T'es timide et rouge. Viens s'il te plaît.
Moi: Non, excuse-moi mais...mais...

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Je commençais à balbutier. J'étais intimidée de la scène qui était arrivée il y
a quelques heures.

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Thomas: J'ai passé la journée à te chercher, tu me dois au moins un petit instant, non?
Moi: Bon, oui. Mais quelques secondes.
Thomas: Quelques minutes.
Il parlait genre il me corrigeait.
Moi: Vendu *rire*

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Il ria à son tour. Thomas tapota le lit signe que je m'assoie et c'est ce que je fis. Je pensais à peine qu'il avait oublié la
scène du baiser qu'il me le fit rappeler.

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Thomas: Tu sais que tu embrasses bien toi.
Moi: Euh..

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Thomas me tira vers lui puisque j'étais sur ses genoux de façon à ce que mon dos soit tout près de ses abdominaux.

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Thomas: Je peux vraiment te rendre heureuse. Tu es la fille que j'ai toujours apprécié Aylee, je t'aime.
Moi: Excuse-moi Thomas, mais ça ne peut être réciproque.
Thomas: Tu m'as prouvé le contraire, tu m'as embrassé. Et ce n'est pas comme si c'était moi qui embrassait puisque c'est toi qui as commencé et tu prolongeais le
baiser en jouant de ta langue.

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Il parlait en me tenant le bout des doigts et en me les croisant de manière à faire
un demi-calin.

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Moi: Thomas, c'était pour un moment. On s'est juste embrassé.
Thomas: Je sais que ce n'est pas rien comme tu l'insinues. Tu montrais de la passion et de l'envie.
Je détachai mes mains des siennes et le levai.
Moi: Thomas, j'aime Théo, je viens de lui parler, et je ne peux pas le tromper. Excuse-moi, mais tu sais bien qu'entre
moi et toi, c'est impossible.

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Thomas n'essaya pas de me retenir. À sa place, je me serais comporter de la même manière. Je m'en vais jusque ma petite campagne où je trouve Natasha.

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Suiite >>>

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Thomas me demande comment sont les circonstances par ici. Je lui raconte tout, sans exception. Il comprend et compatit. Un moment, nos regards se croisent. Je ne peux m'empêcher de remarquer la noirceur profonde de ces yeux malicieux. Thomas pense la même chose que moi, me prends de l'avant en m'embrasse. Je sens à peine nos langues se heurter. Cela commence à se développer, je sens sa langue s'approfondir au fond de ma bouche. J'allonge ce baiser. Je sens battre mon cœur et mes hormones. C'est une sensation unique et magique. Il ramasse mes cheveux en boucle afin que je me retrouve face à lui et, ne sachant que faire de mains mes, les enroulent autour de son coup transpirant. Je passe ma langue en dessous de la sienne, je le sens trembler et suer. Et à son tour, me mordille la lèvre inférieur, la tire un peu et me fait un flirt. De la culpabilité se fait ressentir en moi, mais non, je les repousse, cela ne durera que pour aujourd'hui. Son sentiment synchronisait avec le mien. Il serrait encore plus fort mes cheveux. Je le retourna tout en pinçant ses joues afin de me retrouver face à lui mais il ne me laissa pas, il s'aplatit sur moi et m'embrassait le cou pendant que je respirait.

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Moi: Stop!

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Il 'arrêta pas.

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Moi: Thomas!

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Il s'arrêta et me présenta une excuse. Je me sens légèrement coupable et lui aussi. Après quelques temps de silence, nous-nous endormons chacun de son côté
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Aime quand tu as lu :)

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A un moment donné, je n'avais plus conscience, tout était embrouillé dans ma mémoire et puis tout à coup, le grand choc, le trou noir...
En me réveillant, j'essayais de me rappeler où je me trouvais, pourquoi est-ce que je suis ici et aussi les événements passés. Petit à petit, tout se rafraîchissait dans ma mémoire : mon appel avec Emmi, l'information que j'ai reçu de Thomas, et aucune nouvelle de tous mes autres "amis". J'arrive peu à peu à prendre conscience. J' étais à présent dans une cave, sombre et éclairée par une fente provenant d'un trou. Mais qui m'a emmené par ici? Tel était le mystère mais je ne vais pas m'éterniser dans cette sorte de grenier poussiéreux. J'essaie d'ouvrir la porte, mais cette dernière est verrouillée. Je commence à avoir peur, je patrouille un peu dans toute la chambre sombre quand je trébuche. AIE, je me relève et trouve une fenêtre. Mes mains tremblantes ne parviennent pas à ouvrir cette maudite poignée, que vais-je faire?

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2 heures, ou peut-être 3 -je commence à perdre notion du temps-, que je patrouille par ici quand la porte s'ouvre. Je parvenais à peine à habituer mes yeux à la lumière du jour et je commence à entrevoir...aucun doute, c'est THOMAS?!

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Moi: Qu'est-ce que tu fous là?
Thomas: Aylee calme-
Moi: Connard, tu m'as enfermée dans cette maudite cave mais pourquoi tu fais ça?
Thomas: Qu'est ce que tu racontes?
Moi: Ne fais pas l'innocent.
Thomas: Je suis venu ici parce que j'ai tout fait pour te retrouver idiote et puis-
Moi: Et comment je me suis retrouvée ici alors?
Thomas: Je t'ai dit que t'es idiote, laisse-moi finir ma phrase. Je venais et je t'ai trouvée par terre. Je t'ai porté et mise dans cette cave.
Moi: Et pourquoi as-tu fermé la porte?
Thomas: Elle n'était pas fermée, mais juste rouillée, donc difficile à ouvrir.

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Je me sens humiliée. Je l'ai accusé sans preuve et j'ai pensé qu'il m'avait oublié alors qu'il a passé son temps à me chercher, contrairement à Théo. Mais je n'accuse plus maintenant, Théo aussi s'inquiète pour moi, j'en suis convainque, du moins j'essaie.

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Moi: Excuse-moi, je ne voulais pas.
Thomas: Tu ne voulais pas quoi?
Moi: Tu sais... Je suis fatiguée, il y a un lit par ici. Oh mais je suis bête, y a pas de lumière pour en trouver.
Quand j'eus prononcé cette phrase, une lumière prit face.
Thomas: Je t'avais dit que tu es idiote poupée.
Moi: Ouais. Cause toujours.

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Thomas s'en va se poser sur le lit et s'allonge.

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Moi: Je peux m'allonger aussi?
Thomas: Non, tu vas rester plantée là.
Moi: Hm..
Thomas: Viens t'attends quoi?

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Je le rejoins et m'allonge, ça fait du bien.
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-Retour au point de vue d'Aylee-
J'ai l'impression que Thomas m'a oublié...je comptais pourtant sur lui...Je suis tellement triste, pourquoi la vie ne me sourit-elle donc pas?
Je sors de cette maudite cabine téléphonique et pars en courant. Je pourrais vous conseiller de ne jamais courir énervé, car je suis bien placé pour le savoir. Je continuais de courir jusqu'à ce que ma tête prit choc contre un arbre. A un moment donné, je n'avais plus conscience, tout était embrouillé dans ma mémoire et puis tout à coup, le grand choc, le trou noir...
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=J'ai besoin d'avis! @LesHistoiresFantastiques
=Qu'aimerez-vous bien avoir pour la prochaine chronique (@Dreamstories_)? Répondez-moi sur le compte-questions.
=Vous voulez savoir ce que Yvon et Camille font en l'absence de Léa. Pareil pour les proches d'Aylee? Alors posez vos questions ici @LesHistoiresFantastiques
=Je serais désormais très irrégulière pour ces derniers chapitres. Excusez-moi :/
=Passez-voir cette chronique, elle est trop bien, j'aime trop *-* @kkb_kkc
RAPPEL: Cette chronique n'est pas bientôt finie, il reste sur dizaine de chapitres. La prochaine sera ici @Dreamstories, j'ai fais une amélioration à ce compte, donc passez jeter un coup d’œil ;)

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Chapitre 51
La nouvelle Aylee fonctionne à ce que je vois, espérons que ça dure et cela malgré mes habits banals.
Vers la fin de la matinée, à 17h30, les cours se finissent. Je commence à parler avec d'autres personnes que Brad et Natt, tant mieux pour moi. Je tarde un peu à ramasser mes petites affaires, faudrait que je me bouge parce que la route jusque la maison n'est pas du gâteau.
Je sors de l'établissement. Aujourd'hui, je décide de prendre un raccourcis un peu plus court que l'habituel.
(...)
Mes pieds étaient à bout quand j'aperçus au loin une cabane téléphonique.
-Point de vue d'Emmi-
Mon téléphone sonne, je me demande qui c'est. Je regarde, il y a marqué "Aylee besta". Merde, elle me veut quoi celle-là?! J'hésite quelques secondes à lui répondre mais je finis par décrocher.
(( Conversation téléphonique ))
-Oui Aylee, ça va?
-Oui, super, ça me fait plaisir de t'entendre. Vous me manquez tellement, vous ne pouvez pas imaginer comme c'est horrible cet endroit. J'attends impatiemment que ces deux mois passent pour revenir.
-Tu nous manques tellement aussi Aylee, j'attends impatiemment que tu viennes!
-Comment roulent les circonstances avec Niall? Et Théo va bien, et Kathe, et Embre et Stella, et tous les autres?
-Oh mais calme-toi *rire* ils vont tous aussi bien que les autres! Tu manques tellement à Théo, et à nous tous d'ailleurs. Malheureusement, j'ai dû rompre avec Niall. Cela n'allait plus.
-Dommage.
-Pas vraiment...
-Et Thomas, tu l'as vu ces derniers temps?
-Oh, celui-là...oui, ce matin mais il ne m'a pas demandé de nouvelles de toi...je suis terriblement désolée chérie.
-*Décue*, tu veux dire que...oh non oublie *rire forcé* et Silvia va bien? Tu portes aussi bien que moi ta place de présidente?
-Oui, oui, oui. Tout le monde va parfaitement bien. Et je peux te dire que les autres sont fiers que je sois présidente aha.
-Ah, d'accord...Contente que cela se passe aussi bien.
-Euh, Aylee, je vais devoir partir, j'ai trop de trucs à faire. Quand on est présidente, faut pas prendre le travail à la légère.
-N'oublie pas de dire à Théo que ça se passe bien pour moi. Et passe le bonjour pour tous.
-Je le ferais.
(( Fin de la conversation téléphonique ))
Je raccroche. Elle peut être collante parfois celle-là. J'aimerais bien lui dire que tout se passe mieux sans elle et que je suis bien contente d'avoir pris sa place comme tous les autres d'ailleurs. Je vois Théo dans sa tenue de Base-ball s'approcher de moi. Il est trop mignon ce mec, comment a t'il pu craquer sur Aylee.*-*
Théo: Tu parlais avec Aylee?
Moi: Euh...non, non, c'était une amie qui vient...d'Australie aha.
Théo: Dis-le moi quand elle appelle.
Moi: Bien-sûr, compte sur moi *sourire*
Théo: D'acc.
Il croit vraiment que je lui dirai quoi que ce soit sur elle, jamais!
Il part en me faisant un clin d’œil. Dire que j'ai dû attendre qu'Aylee s'en aille pour enfin comprendre que je l'aime. Heureusement qu'elle n'a pas tardé à partir. La vie est tellement belle à présent.
Suite <<

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J'opte pour une robe d'un rose indien, entourée d'un ceinture à paillettes, et un nœux à la manche. Disons que je suis assez fière de mon boulot pour une fois. Mlle. Smoth fait remarquer mon chef-d'œuvre au reste de la classe et me félicite.
Mlle.Smoth: Rangez vos affaires et allez profiter de votre journée.
Je m'exécute et range mes restes de bout de tissus qui restaient sur mon poste de travail. Quand 'miss Linda' et son chien de garde Cassandre embarquent.
Linda: Euh, je vou-
Moi: Tu voulais me dire de-
Elle me coupa, on se coupait plutôt mutuellement.
Linda: Ton travail est superbe, je t'ai mal jugé, t'as l'air cool.
Cassandra: Très cool.
Elle répliquait souvent la fin des phrases de Linda.
Linda: Cass' et moi, nous avons réfléchi à ton sujet et nous pensons que tu vaux mieux, alors on t'invite à notre fête Dimanche après-midi.
Moi: Super! Je viendrai.
Linda: Ne viens pas les mains vides.
[...]
La nouvelle Aylee fonctionne à ce que je vois, espérons que ça dure et cela malgré mes habits banals.

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Cassandra en photo →
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=Kik: migroloups.
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=Prochaine chronique: @Dreamstories.
=Envoyez les numéros des chapitres.

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ux entrées des classes, une fille s'approche de moi voulant m'adresser la parole.
Elle: T'es nouvelle là?
Moi: Oui, pourquoi?
Elle: Ça se voit, tu t'es crue dans un bal masqué ou ça se passe comment? disait-elle en m'examinant d'un regard supérieur de haut en bas.
Moi: Je ne te comprends pas.
Elle: Tu devrais pourtant. Nous ne sommes pas dans le village des bisounours ici. J'ai entendu parler de ton père et des quelques rumeurs qui courent sur toi, mais écoute-moi m à jolie, ici tu nous es semblable et contrairement à ce que tu penses, c'est moi la chouchou ici.
Je ne réponds pas, par risque de lui enfoncer mon poing en plein dedans. Je me tourne légèrement fuyant les regards des camarades.
Elle: Quoiqu'il en soit, je suis Linda Petters. Et toi?
Moi: Aylee Sparks.
Linda: Hm..
On entra en cours. Un professeur plutôt bizarre nous invite à pénétrer dans cette 'classe'. Nous-nous asseyons chacun. Je décide de me mettre vers le troisième rang pour ne pas faire mauvaise impression au dernier ni pour paraître intellectuelle au premier. À ce que je vois, Linda s'est assise près d'une fille jolie plutôt et à côté de moi, une place est disponible.
Le professeur commence l'appel, les élèves lèvent la main après avoir entendu leur nom:
-Allison Armen
-Arone Acid
[...]
-Linda Petters
Elle lève la main, style je suis la meilleure, un peu comme moi dans mon lycée, mon ancien lycée, excusez-moi.
-Cassandra Pillet.
C'est la fille qui s'était mise près de Linda, elles ont l'air très complices toutes les deux, et très arrogantes à mon avis.
L'appel se finit à la lettre X, Xavie. Bizarre comme nom de famille.
[...]
{1 semaine plus tard}
Aucune barre de réseau, aucun appel, aucun message et aucun nouvel ami(e). Toutes sont philanthropes pour un rien. À l'exception d'un garçon sympa qui se nomme Brad Debenson et aussi Natasha, mais ce n'est pas souvent que nous sommes ensemble. Elle est moi n'avons aucune heure de cours pareille, on ne se voit que dans sa petite ferme plutôt mignonne par rapport à mon logis.
Contrairement à Léa, je ne me suis pas intégrée à mon nouveau lycée, donc aujourd'hui, je vais créer la nouvelle Aylee. Je me vêtis d'un pull simple bleu, d'un jean et des vans. Aujourd'hui, on a l'atelier de stylisme. Nous n'avons cette séance qu'une fois par mois, et pour moi, c'est mon premier cours. Logique puisque je ne suis là que depuis la moitié du mois.
Sorties fu vieux tracteur rouillé, Léa rejoins sa bande de potes. Moi, je sors après avoir dis à mon père que je revenais à la maison à pieds et rejoins mon seul 'ami' Brad.
Les cours commencent enfin. Sur les tables, il y a des machines à coudre, des fils et des tissus de couleur, et des mannequins en plastique. Le professeur se présente :
Prof': Bonjour chers élèves, je m'appelle Mlle. Smoth, comme vous le voyez, je suis votre professeur de stylisme. [...]
Elle nous liste les les instructions et nous commençons à coudre.
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Linda en photo →

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On continuait à se chamailler pour tout et pour rien tout le trajet.
Cela fait 3 heures que nous roulons quand mon père annonce enfin notre arrivée.
Les bagages dans les mains, Léa et moi étions horrifiées à l'idée de vivre là.
Léa: Beurk.
Moi: Beurk.
Maman: Les filles, arrêtez de grogner, et entrez dans vos chambres, demain vous avez cours.
Léa: OK, mais elle est où la chambre d'Aylee? Y a que deux chambres.
Moi: Tu veux demander où est ta chambre.
Léa: Tu insi-.
Mon père: Ow, ow, ow. Vous allez vivre dans la même chambre, vous ne voyez pas qu'il y a deux lits?
Moi: T'es sûre que t'appelles ça des lits?
Mon père ne répond pas, il est bien trop occupé à résoudre ses problèmes que le nôtres....

---

Je Je m'habille d'une chemise classe, un jean, et fe belles bottes montantes pour visiter cette maison de vaches et surtout de chercher une barre réseau.
[...]
Je m'accroche aux arbres, rien. Saute dans tous les sens, plus rien. Breff, une heure plus tard, j'entends mon père m'appeler pour dîner. Nous déjeunons en famille et m'endors rapidement juste après.
*Bip Bip Bip*
Ce foutu réveil sonne une fois de plus. Je l'éteinds et ferme les rideaux qui m'aveuglaient la vue.
Je m'habille des habits les plus beaux dans ma garde-robe et me voici prête. Je vois que Léa a fait de même. Nous sortons du logis et trouvons ma mère assise sur l'estrade d'entrée.
Ma mère: Je vois que vous-vous êtes fait plaisir ce matin.
Moi: Ce n'est pas parce qu'on vit dans un endroit semblable qu'il faut s'habiller de la même manière.
Léa: Tout à fait.
Ma mère: Mes chéries, vous ne changerez donc jamais.
Elle nous prend dans des bras et nous blottissons contre elle jusque l'arrivée de mon père.
A notre plus grande surprise, mon père conduisait une sorte de tracteur rouillé.
Léa: Non, on s'en va avec ça en cours? Sérieux?
Moi: Mais on va passer pour des..-
Mon père: Tu vois ce vieux camion comme tu dis, est une perle rare pour les gens d'ici.
Ma soeur et moi montons à l'arrière du véhicule qui grince des roues au premier démarrage.
[...]
En effet, mon père n'avait pas tord, notre engin qui nous sert de moyen de transport paraît mille fois plus sophistiqué que d'autres...
Mon père: Je viens vous chercher?
Moi: Je préfère rentrer à pied, dis-je dégoûtée.
Léa: Passe me chercher par contre.
Nous sortons du camion et m'avance vers l'entrée. Tout le monde me regarde de façon bizarre, j'ai la terrible impression d'être inhumaine parmi ses gens-là.
Aux entrées des classes, une fille s'approche de moi voulant m'adresser la parole.
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=Bonne nuit, venez parler, je veux voir les bouilles des lecteurs et leur caractère ;)

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La route vers cet endroit inconnu me paraissait long, long. Mes parents essayaient de nous faire transmettre le peu d'espoir qu'ils possédaient mais en vain. Je discutais avec Thomas, Théo et tous les autres par SMS, mais par malheur, le réseau vint à bout, ce foutu réseau ! Pour ne pas nous ennuyer, Léa, mes parents et moi jouons aux devinettes pour ne pas nous ennuyer mais aucune trace de vie.
Mes parents: Vous voyez qu'on ne s'ennuie pas vraiment!
Moi: Oh que si !
Léa: Tu parles, je m'ennuie à mord, je me demande quel calvaire nous allons vivre dans cette campagne!
Mon père: Arrêtez de vous plaindre.
Ma mère: Votre père a raison, c'est vous deux qui m'ennuyez.
Léa et moi étions trop préoccupées par la recherche d'une barre de réseau Wi-Fi qu'on ne répondit pas aux phrases pénibles de mes chers parents. Quand tout à coup, Léa cria:
Léa: AH, AH !
Moi: Quoi, qu'est-ce qui se passe?
Ma mère: Tu veux qu'on arrête la voiture?
Léa: Oui; oui!
Mon père s'exécuta et s'appuya sur les freins. Ma mère descendis de la voiture pour demander à Léa ce qu'il se passait, elle lui rétorqua drôlement :
Léa: Une barre de réseau, une barre de réseau.
Elle criait de joie de bonté.
Ma mère: C'est pour cela que tu criais?
Léa: C'est important pour moi maman.
Moi: Une barre de réseau? Où ça?
Je la poussai pour "catcher" la barre.
Ma mère: Pourquoi voulais-tu arrêter la voiture?
Léa: Bah, c'est évident, pour pas perdre le réseau voyons! Mais de toute façon, ça sert à rien maintenant puisque Aylee m'a poussé.
Mon père: Arrêtez vos idioties et montez!
Ma mère: Trop de caprices!
Moi: T'en fais une tonne, je t'ai pas poussé!
Léa: Ohh que si!
Moi: Ohh que non!
On continuait à se chamailler pour tout et pour rien tout le trajet.
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Chapitre 47
Durant tout le cours, je n'ai fait que penser à mon départ, au bal, et à tout les débris que je laisserais derrière moi.

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L'après-midi vers 13h
Je déjeune ma sœur et mon père qui n'arrêtent pas de parler de politique, économie et tout ce qui va avec quand, un peu comme chaque dîner, mon père nous rappelle le nombre de jours qu'il nous reste pour déménager.
Mon père: Encore deux jours et-
Moi: Oui, oui, oui papa, je sais, on le sait ! J'en ai assez à la fin, il faut que chaque jour, tu nous rappelles que nous allons déménager, chaque jour nous rappeler que nous laissera tous nos amis ici, tout le temps me rappeler que je ne serais plus la présidente du lycée, et que je devrais laisser-
Léa: Attends, tu viens de dire que tu n'es plus la présidente du lycée?
Maman se leva brusquement de table pour répliquer l'interrogation de ma sœur.
Moi: Vous avez bien attendu, j'ai rendez-vous avec Silvia cette après-midi pour lui annoncer le nom de la future que remplaçante que je ne connais pas moi-même!
Ils restèrent tous trois bouche bée à ce que je venais de dire. Je montai dans ma chambre, et, après plusieurs instants de réflexions répétitives, j'avais pensé et réfléchis à la bonne personne.
Je pris mes affaires dans la sorte de baluchon que l'on appelle un sac, je me chausse, envoie un message rapide à ma coach -Silvia, rendez-vous à la cour de l'école dans une demi-heure, j'arrive- et elle me répond à bout-de-champ -Je sors tout de suite chérie-

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Je fais la route à pieds, histoire de prendre de l'air quand j'arrive. Silvia n'est pas encore au rendez-vous, elle a dû avoir un léger contre-temps. Je m'installe donc sur un banc et me mets à penser, penser, et encore, penser. J'étais à fond dedans quand j'entendis des des interpellations :
Silvia: Aylee, ma puce, je suis là.
Moi: Oui, oui, viens t’asseoir.
On fait ainsi, et je pris parole la première :
Moi: Silvia, j'ai bien réfléchis, je pense que la personne la plus responsable à mon goût est Kathe. Elle a toujours été à mes côtes et...
Je me mets à larmoyer. Silvia me serre contre elle et essaye de me consoler. Au bout d'un temps minime, je finis par essuyer mes quelques larmes tombantes sur mes joues.
Silvia: Plus que deux jours, tu me manqueras atrocement.
Moi: C'est réciproque pour vous tous!
-Ellipse des deux jours-
Pendant ce temps, rien de spécial ne c'était passé. C'est mon dernier jour à Paris. Je me douche et m'habille pour aller à mon dernier jour de cours, mais je n'étudie pas aujourd'hui, nous sommes Samedi.
Je sors, prends le métro, et direction l'établissement. Dans une salle précise, tous sont rassemblés, profs, élèves, camarades, et meilleurs. Chacun nous dit à Léa et moi un mot gentil, qui restera dans notre cœur. J'attribue mon titre de présidente à Kathe qui en ai très émue. Je les remercie tous avant de m'en aller avec remords.
Suiite -

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Silvia: Je viens d'apprendre que tu déménages dans deux jours. Je suis venue à ta rencontre pour m'en assurer.
Moi *baissant la tête*: Oui...je ne l'ai pas décidé. Je suis la présidente de l'école. La reine du bal qui aura lieu dans un mois. J'ai dû annulé toutes les répétitions accompagnées des chirliders. Et j'ai aussi laissé ma seconde famille...
Silvia: Il n'y a aucune solution?
Moi: J'en ai cherché, mais malheureusement, aucune.
Silvia: Le bol. Il faudrait que quelqu'un te remplace obligatoirement.
Moi: Comment ça? Mais je reviens dans un mois, pour le bal. Personne n'a besoin de me remplacer!
Silvia: Ton rôle n'est pas de la rigolade chérie, tu as une fonction importante dans l'établissement, et ton absence sera vraiment...
Moi: Oui, oui, j'ai compris. Laisse-moi réfléchir quelques temps et je te réponds cette après-midi par mail pour qu'on se donne rendez-vous.
Silvia: Ça marche Aylee.
Moi: A bientôt Silvia.
Silvia: À plus chérie.
Durant tout le cours, je n'ai fait que penser à mon départ, au bal, et à tout les débris que je laisserais derrière moi.
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*Silvia, 20 ans, en photo*

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