Que pensez vous du statut de "populaire/paumé"?
Je trouve ça triste et débile. Pour moi il n'y a pas de gens paumés ou populaires. Je m'explique. Déjà il y a pleins de gens qui sont complètement déprimés et tristes parce qu'ils se croient paumés à cause de l'influence que les gens populaires ont sur eux. Les gens populaires, eux, souvent se croient souvent tout permis, ils se savent populaires, ils font des choses que les "paumés" ne se permettraient pas de faire, ou alors c'est les paumés qui ne se permettraient pas de faire ce que des gens populaires font, ça va dans les deux sens. Donc, cela fait tout de suite référence aux regards des autres. Vivre sous le regard des autres, c'est avoir peur de ce que les gens pensent de toi, du coup, a cause de cette peur, tu restreints ta liberté et cela t'empêche d'être heureux et de profiter de ta vie. C'est totalement con mais bon.. Vivre sous le regard des autres, c'est pas vraiment vivre. Chaque chose que tu fais tu en as peur parce que tu sais pas ce que les gens vont penser de toi. Se libérer de ce poids, ça c'est vraiment vivre. Ta vie ne regarde en aucun cas celle des autres. Alors pourquoi avoir peur de personnes qui n'ont aucun rapport avec ta vie? Il n'y en a aucune! Alors fais ta vie, vis à fond, soit heureux et surtout, fais ce qu'il te plaît sans te soucier des autres putain! Il faut être heureux dans la vie. Les autres, tu les connais pas donc tu t'en bats les couilles. Chacun devrait penser ça. Être populaire ou paumé ce n'est rien d'autre qu'une illusion. Il n'y a pas de populaires ou de paumés, juste des gens.
J'ai déjà tenté une expérience pour voir si j'étais influencé par "le regard des autres" (le stade c'est un stade de foot qui sert de cour de recréation au ccro) bref, j'ai fait deux tours du stades totalement seul en regardant chaque personne que je croisais droit dans les yeux. Je me disais que j'étais peut-être entrain de marcher seul, mais au moins je suis heureux et j'ose le faire, je me sentais seul, mais plus puissant que n'importe quelle personne se trouvant sur ce stade, et je me foutais de ce qu'ils pouvaint penser de moi. (Je sais que ça paraît con mais bon ahah)
Il y a un peu moins d'un an, il y a une amie à moi, super populaire dans son école qui m'a demandé conseil, elle ne savait pas quoi faire et m'a dit qu'il y avait deux mecs amoureux d'elle et qu'elle ne savait pas lequel choisir. D'un côté il y a un mec plutôt sympa et mignon mais qui est paumé et d'un autre côté, t'as un gars super populaire mais dont elle n'est pas vraiment amoureuse et elle m'a dit qu'elle voulait pas sortir avec le "paumé" à cause de se que les gens penseraient d'elle après. Je lui ai un peu sortit le baratin que j'ai écrit au dessus puis elle a eu l'air de réaliser que en fait, tout ce qu'elle faisait était influencé par ce "regard des autres" et qu'elle devait prendre ses décisions sans penser à autre chose que elle et son bonheur. Et moi j'étais heureux de l'avoir aidée car le vrai bonheur n'existe seulement quand il est partagé.
J'ai déjà tenté une expérience pour voir si j'étais influencé par "le regard des autres" (le stade c'est un stade de foot qui sert de cour de recréation au ccro) bref, j'ai fait deux tours du stades totalement seul en regardant chaque personne que je croisais droit dans les yeux. Je me disais que j'étais peut-être entrain de marcher seul, mais au moins je suis heureux et j'ose le faire, je me sentais seul, mais plus puissant que n'importe quelle personne se trouvant sur ce stade, et je me foutais de ce qu'ils pouvaint penser de moi. (Je sais que ça paraît con mais bon ahah)
Il y a un peu moins d'un an, il y a une amie à moi, super populaire dans son école qui m'a demandé conseil, elle ne savait pas quoi faire et m'a dit qu'il y avait deux mecs amoureux d'elle et qu'elle ne savait pas lequel choisir. D'un côté il y a un mec plutôt sympa et mignon mais qui est paumé et d'un autre côté, t'as un gars super populaire mais dont elle n'est pas vraiment amoureuse et elle m'a dit qu'elle voulait pas sortir avec le "paumé" à cause de se que les gens penseraient d'elle après. Je lui ai un peu sortit le baratin que j'ai écrit au dessus puis elle a eu l'air de réaliser que en fait, tout ce qu'elle faisait était influencé par ce "regard des autres" et qu'elle devait prendre ses décisions sans penser à autre chose que elle et son bonheur. Et moi j'étais heureux de l'avoir aidée car le vrai bonheur n'existe seulement quand il est partagé.
