Mais oui c'est clair
Péter du minou, ça doit être une belle con-pétance, dommage que je n'aie pas la tuyauterie adaptée. :/
Un raisonnement inconscient.
Un raisonnement vient de la raison donc un exercice conscient.
Boum contresens.
Mais un cheminement intellectuel inconscient qui apparaît à la conscience.
Je ne cliquerai pas sur ton lien de merde donc soit tu me fournis un screen soit tu déguerpis au plus vite soit tu m'apportes des croissants, esclave. J'AI FAAAAIM.
D. La réponse D. C'est mon ultime bafouille.
Liszt il est pas mauvais mais faut que je lui donne des cours, niveau piano c'est pas tip top ses compos.
1. Le personnage que j'admire - tout du moins que j'aime bien
Kafka Tamura (Kafka sur le Rivage).
2. Le personnage auquel je m'identifie
Aucun, je suis trop moi pour m'identifier à un perso. Parfois, un peu à Toru Okada (Chroniques de l'Oiseau à Ressort), mais c'est tout.
3. Le personnage qui me ressemble le plus
... Moi. Je n'arrive pas à trouver quoique ce soit qui me ressemble... et ça me semble logique.
Comme disait Brassens : mourir pour des idées, peut-être, mais de mort lente. J'ai horreur des idées en ce moment. Elles polluent tout et rendent aveugle ! On peut s'attacher à des idées parce qu'on est en quête d'identité, alors on s'identifie à des idées qui ne nous correspondent pas vraiment. Oui oui oui. Donc en ce moment, les idées, c'est bien beau, mais j'en ai pas besoin pour savoir que je suis... un chic type. Ouais, voilà, un chic type qui a des principes et qui ne les a jamais reniés.
J'ai souvent marché sur le cadavre de ma dignité morte un million de fois depuis ma pauvre petite enfance.
Le féminisme d'aujourd'hui me rend cynique. Alors deux possibilités. Soit des féministes viennent me donner un cours que je recevrai volontiers, soit je continue de lire toujours la même soupe de morale askienne et ça ne va pas changer mon opinion - peut-être un peu trop - braquée.