[QG] Comment fait on pour vivre?
On fait comme les autres, on vit sans folie, on crève sans regret...On s'copie-colle, et jamais on décolle.
Ask @EncreRouge
[QG] Quel fantôme du passé hante tes pas, hante tes nuits, hante ta vie ?
Son désirs, qui me transperce,
Ses mots, qui me bouleversent,
Sa voix, traduisant son ivresse,
Ses pas, qui se rapprochent,
Ses cris, qui m'écorchent,
Ses fracas contre la porte,
Ses coups qu'il apporte...
Elle cède. Il entre.
La fin.
De tout.
Ses mots, qui me bouleversent,
Sa voix, traduisant son ivresse,
Ses pas, qui se rapprochent,
Ses cris, qui m'écorchent,
Ses fracas contre la porte,
Ses coups qu'il apporte...
Elle cède. Il entre.
La fin.
De tout.
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Junn
dead again✋
em
Qu'un(e) intrus(e)
Léa.
Clément
Captain Hook.
Wasted
[QG] Parlez moi de choix, de décisions.
-J'ai peur, tu sais...Tellement peur de devoir, un jour, prendre cette décision, celle qui va tout changer..Imagine je fais le mauvais choix ! Je le regretterai toute ma misérable vie...
-Ne pense pas à ça, tu n'auras jamais à faire cette décision.
-Mais tu as écouté ce que disent les médecins ? Eux même ils y croient plus...Je la sent qui se rapproches doucement..à chaque seconde, chaque minute, chaque heure elle avance doucement avec derrière elle le lourd poids de ce qu'elle a emporter...Elle fait traîné ses chaînes rouliers sur le sol froid de l’hôpital et moi je les entends ! Je les entends ces putains de chaines !!
-Ferme ta gueule putain ! Arrêtes ! Elle vas pas crever okay !? Elle va s'accrochait, comme depuis ces 11 derniers mois...
-Mais Maxime, bordel ! Qu'est ce qu'on va faire...Tu t'es jamais dit que justement, c'était ça le mauvais choix ? De la garder en soit disant "vivante" ? Dépendante à des machines ? Entre la vie et la mort ? Ça va bientôt faire un ans qu'on la pas vue ouvrir les yeux ! Bientôt un ans qu'on garde espoir jusqu'à en mourir de chagrin, bientôt un ans qu'on pense à elle tout le temps, qu'on a peur...Je sais que ça fais mal mais...Il serait peut-être temps de la laisser partir...?
-Tu n'es qu'un horrible monstre !...Je pensais que toi, tu y croyais, et c'est ça qui me donné de l'espoir ! Tu te dit être mon grand-frère mais je refuse qu'un être aussi lâche est des liens de parenté avec moi...Elle va se réveillé ! Je le sais ! Avant d'être très malade elle m'avait promis que tout aller bien ce passer ! Mais toi évidemment, je parie que tu en doutais déjà ! Sale monstre ! Tu vas aussi arrête d'y croire alors ? C'est bon ? tu vas te cassé, comme papa ? Fuir la réalité pour toujours ? Au fond tu es comme lui..
-Je t'interdit de ça ! Je ne t'ai jamais laisser tomber toi et elle ! Je ne suis pas comme ce connard...Si je te dit ça c'est parce que j'en ai marre de te voir pleurer tout le temps, de t'entendre crie son nom quand tu dors, de ne plus aller en cours, de prendre tout un tas de merde pour oublier, de simplement te voir en enfer...
-Mais elle me manques ma maman...
-à moi aussi, Maxime, elle me manque plus que tout..
-Ne pense pas à ça, tu n'auras jamais à faire cette décision.
-Mais tu as écouté ce que disent les médecins ? Eux même ils y croient plus...Je la sent qui se rapproches doucement..à chaque seconde, chaque minute, chaque heure elle avance doucement avec derrière elle le lourd poids de ce qu'elle a emporter...Elle fait traîné ses chaînes rouliers sur le sol froid de l’hôpital et moi je les entends ! Je les entends ces putains de chaines !!
-Ferme ta gueule putain ! Arrêtes ! Elle vas pas crever okay !? Elle va s'accrochait, comme depuis ces 11 derniers mois...
-Mais Maxime, bordel ! Qu'est ce qu'on va faire...Tu t'es jamais dit que justement, c'était ça le mauvais choix ? De la garder en soit disant "vivante" ? Dépendante à des machines ? Entre la vie et la mort ? Ça va bientôt faire un ans qu'on la pas vue ouvrir les yeux ! Bientôt un ans qu'on garde espoir jusqu'à en mourir de chagrin, bientôt un ans qu'on pense à elle tout le temps, qu'on a peur...Je sais que ça fais mal mais...Il serait peut-être temps de la laisser partir...?
-Tu n'es qu'un horrible monstre !...Je pensais que toi, tu y croyais, et c'est ça qui me donné de l'espoir ! Tu te dit être mon grand-frère mais je refuse qu'un être aussi lâche est des liens de parenté avec moi...Elle va se réveillé ! Je le sais ! Avant d'être très malade elle m'avait promis que tout aller bien ce passer ! Mais toi évidemment, je parie que tu en doutais déjà ! Sale monstre ! Tu vas aussi arrête d'y croire alors ? C'est bon ? tu vas te cassé, comme papa ? Fuir la réalité pour toujours ? Au fond tu es comme lui..
-Je t'interdit de ça ! Je ne t'ai jamais laisser tomber toi et elle ! Je ne suis pas comme ce connard...Si je te dit ça c'est parce que j'en ai marre de te voir pleurer tout le temps, de t'entendre crie son nom quand tu dors, de ne plus aller en cours, de prendre tout un tas de merde pour oublier, de simplement te voir en enfer...
-Mais elle me manques ma maman...
-à moi aussi, Maxime, elle me manque plus que tout..
Bonsoir, ce soir j'aimerai juste que tu me partages une photographie, quelque qu'elle soit. Tu as carte blanche. Accompagne la si tu le souhaites d'une petite phrase. Bien sur, tu n'es pas obligé(e). Baisers et bonne nuit.
" Nous les femmes, n'ignorons pas à quel point nous avons le pouvoir,
Nous les femmes, n'imaginons pas à quel point nous sommes puissantes "
Nous les femmes, n'imaginons pas à quel point nous sommes puissantes "
[QG] Bravoure.
- Hé mec, sérieux, c’est quoi ton problème ?
- Hein ?! Mais de quoi tu parles ?
- Ce que tu fais là, ce que tu fais tout le temps avec ton sourire
- Mais de quoi tu parles ? Il a quoi mon sourire ?!
- Ce qu’il a c’est qu’il est inexistant…C’est vrai quoi, depuis le temps qu’on se connait j’ai dû te voir sourire qu’une ou deux fois, alors dit-moi honnêtement, c’est quoi ton problème ? Tu fais toujours la gueule !
- Ça te bouleverse tant que ça… ?
- Mais gros ! C’est vrai ! et tu le sais….tout le monde le dit…
- Dans ce cas excuse-moi de ne pas t’exploser mon bonheur à la gueule
- Ce n’est pas ce que j’ai dit…
- Ouais mais c’est ce que moi je viens de te dire ! Ça sert à quoi de sourire si y’a pas de sentiment derrière ? Ça te plait toi, de ressembler à tous ces faux-cul ? De rire pour de merde ? De se taper des barres parce que intel à foutue une droite à un gars ? De se pisser dessus parce qu’une nana à trébucher dans les escaliers alors qu’elle a dû se faire mal ? De se marrer parce qu’un mec vient de se faire lourdement insulter sans raison et que ça l’a blessé ? Parce qu’une prof à perdue toute son autorité dans la classe ? Parce que quelqu’un chiale pour X raison ? Parce que celui-ci à un style différents et celle-là de l’acné plein la gueule ? Parce que machin est enrobé ?
- Woua…gros tu pars trop loin…
- Et ferme ta gueule avec tes surnoms !! Ça te fait juste régresser ! Vous parlez tous pareil, vous vous transmettez vos expressions jusqu’à ce que tout le monde est l’air con ! Des répliques toutes faites sans aucun sens…vous êtes tous des copier-coller. Et pas que verbalement aussi physiquement. Sérieux, regarde autour de toi…vous avez tous les même fringues…les mêmes coupes…comme si vous vouliez prouver que vous aviez assez d’argent pour être « normale », parce que OUAIS maintenant la normalité elle se fait en fonction du salaire de papa et maman. Et tu veux savoir le pire dans tout ça ?? C’est que vous osez critiquer les gens différents !! Tu te rends compte ?! Les gens qui osent ! Qui portent leurs couilles ! Qui assument ! vous les critiquez alors que vous oseriez jamais entrer dans cette démarche…c’est pitoyable…Et puis parlons du mental…moins tu bosses en cours plus t’es respecté, plus tu bosses plus t’es rejeté, plus tu parles poliment, plus t’es méprisé, plus tu restes toi-même plus t’es pris pour un con, plus tu te créés une nouvelle personnalité façonner sous le regard de la société, plus t’es apprécié…
Alors nan, je ne souris pas et tu veux savoir pourquoi ?
Parce que ma gueule triste, elle au moins, elle est vrai.
- Hein ?! Mais de quoi tu parles ?
- Ce que tu fais là, ce que tu fais tout le temps avec ton sourire
- Mais de quoi tu parles ? Il a quoi mon sourire ?!
- Ce qu’il a c’est qu’il est inexistant…C’est vrai quoi, depuis le temps qu’on se connait j’ai dû te voir sourire qu’une ou deux fois, alors dit-moi honnêtement, c’est quoi ton problème ? Tu fais toujours la gueule !
- Ça te bouleverse tant que ça… ?
- Mais gros ! C’est vrai ! et tu le sais….tout le monde le dit…
- Dans ce cas excuse-moi de ne pas t’exploser mon bonheur à la gueule
- Ce n’est pas ce que j’ai dit…
- Ouais mais c’est ce que moi je viens de te dire ! Ça sert à quoi de sourire si y’a pas de sentiment derrière ? Ça te plait toi, de ressembler à tous ces faux-cul ? De rire pour de merde ? De se taper des barres parce que intel à foutue une droite à un gars ? De se pisser dessus parce qu’une nana à trébucher dans les escaliers alors qu’elle a dû se faire mal ? De se marrer parce qu’un mec vient de se faire lourdement insulter sans raison et que ça l’a blessé ? Parce qu’une prof à perdue toute son autorité dans la classe ? Parce que quelqu’un chiale pour X raison ? Parce que celui-ci à un style différents et celle-là de l’acné plein la gueule ? Parce que machin est enrobé ?
- Woua…gros tu pars trop loin…
- Et ferme ta gueule avec tes surnoms !! Ça te fait juste régresser ! Vous parlez tous pareil, vous vous transmettez vos expressions jusqu’à ce que tout le monde est l’air con ! Des répliques toutes faites sans aucun sens…vous êtes tous des copier-coller. Et pas que verbalement aussi physiquement. Sérieux, regarde autour de toi…vous avez tous les même fringues…les mêmes coupes…comme si vous vouliez prouver que vous aviez assez d’argent pour être « normale », parce que OUAIS maintenant la normalité elle se fait en fonction du salaire de papa et maman. Et tu veux savoir le pire dans tout ça ?? C’est que vous osez critiquer les gens différents !! Tu te rends compte ?! Les gens qui osent ! Qui portent leurs couilles ! Qui assument ! vous les critiquez alors que vous oseriez jamais entrer dans cette démarche…c’est pitoyable…Et puis parlons du mental…moins tu bosses en cours plus t’es respecté, plus tu bosses plus t’es rejeté, plus tu parles poliment, plus t’es méprisé, plus tu restes toi-même plus t’es pris pour un con, plus tu te créés une nouvelle personnalité façonner sous le regard de la société, plus t’es apprécié…
Alors nan, je ne souris pas et tu veux savoir pourquoi ?
Parce que ma gueule triste, elle au moins, elle est vrai.
Dans la pénombre du soir, votre corps parait de noir. Enveloppe d'amertumes qui habille mon âme. Vous êtes beau... enfantin, coquin. Je veux quelque chose de passionnée... Une belle tristesse... aux mots sombres. Je vous embrasse à la commissure de vos lèvres.
L’horloge invoque l'heure,
l'heure de la métamorphose,
l'heure où la porcelaine rose,
se transforme en chair close,
les os grinçant à chaque mouvement,
perçant un silence encombrant,
les membres qui remuent méthodiquement,
pareil à une danse sans sentiment,
et les longs cheveux blancs,
redessinant peu à peu les courbes du vent,
Le même rituel chaque nuit,
le même rituel de minuit,
sous le regard de la lune,
poupée prend peu à peu vit,
elle peut enfin s’échapper,
se mettre à rêver et songer,
pleurer et détester,
parler et même effrayer,
ces petits mioches qui la manipulent,
et de leurs mains tremblantes,
qui viennent la fissurer,
la fêler un peu plus, sombre malin,
Mais au petit matin,
à l'instant même où la brume recouvre les pavés,
le cours lassant de la vie reprendra,
la vie d'une chose.
la vie d'une poupée pantin,
aux ficelles de la société,
qui ne sait vraiment, la distinguée.
l'heure de la métamorphose,
l'heure où la porcelaine rose,
se transforme en chair close,
les os grinçant à chaque mouvement,
perçant un silence encombrant,
les membres qui remuent méthodiquement,
pareil à une danse sans sentiment,
et les longs cheveux blancs,
redessinant peu à peu les courbes du vent,
Le même rituel chaque nuit,
le même rituel de minuit,
sous le regard de la lune,
poupée prend peu à peu vit,
elle peut enfin s’échapper,
se mettre à rêver et songer,
pleurer et détester,
parler et même effrayer,
ces petits mioches qui la manipulent,
et de leurs mains tremblantes,
qui viennent la fissurer,
la fêler un peu plus, sombre malin,
Mais au petit matin,
à l'instant même où la brume recouvre les pavés,
le cours lassant de la vie reprendra,
la vie d'une chose.
la vie d'une poupée pantin,
aux ficelles de la société,
qui ne sait vraiment, la distinguée.
pourrai tu me prouver que la vie vaut la peine d'être vécue s'il te plaît ?
♣ Ouvrez les yeux ♣
Ouvrez les yeux, bordel !
Aller, faites ce que je vous dis ! Maintenant.
Oui toi, toi qui est un peu différent, pas trop confiant, un peu bancale, tout sauf banale.
Toi qui sourit, quand ça va mal. Toi qui pleure, quand t'es heureux.
Toi qu'y a était fragiliser par cette conasse de vie, puis encore détruit jusqu’à cracher ta haine dans les entrailles du papier.
Toi qui essaye de changer. De devenir quelqu'un d'autre. De te persuader que tu vas y arriver, putain.
Eh bah tu sais quoi ? Écoute moi bien, je veux que mes paroles résonne en toi comme des caresses au papier de verre.
La vie c'est une chienne, faut la prendre la par derrière, et puis arrête ! Arrête de penser que t'es seul ! On est des millions comme toi, des millions à douter, des millions à chercher, à rêver, à espérer, à se répéter que ça va aller. Y'a tellement de truc de t'as pas encore fait, que t'as pas encore vue ! Alors promet moi qu'tu vas rester sur le ring, qu'tu vas te relever après être tomber.
Le monde ? ahah ! Il est à toi ! Il est a nous ! Change le à ta manière, impose tes règles, ta personnalité.
La vie ? C'est la tienne et rien que la tienne! tu veux crier ? Hurler ? Pleurer ? Danser ? Lui dire " Je t'aime " ? Lui dire à quel point t'a la haine ? tu veux partir ? Recommencer ? Te déchainer ? Tu veux tout simplement te réveiller...?
♣ Alors ouvre les yeux. Et rends toi compte que le monde est merveilleux ♣
Ouvrez les yeux, bordel !
Aller, faites ce que je vous dis ! Maintenant.
Oui toi, toi qui est un peu différent, pas trop confiant, un peu bancale, tout sauf banale.
Toi qui sourit, quand ça va mal. Toi qui pleure, quand t'es heureux.
Toi qu'y a était fragiliser par cette conasse de vie, puis encore détruit jusqu’à cracher ta haine dans les entrailles du papier.
Toi qui essaye de changer. De devenir quelqu'un d'autre. De te persuader que tu vas y arriver, putain.
Eh bah tu sais quoi ? Écoute moi bien, je veux que mes paroles résonne en toi comme des caresses au papier de verre.
La vie c'est une chienne, faut la prendre la par derrière, et puis arrête ! Arrête de penser que t'es seul ! On est des millions comme toi, des millions à douter, des millions à chercher, à rêver, à espérer, à se répéter que ça va aller. Y'a tellement de truc de t'as pas encore fait, que t'as pas encore vue ! Alors promet moi qu'tu vas rester sur le ring, qu'tu vas te relever après être tomber.
Le monde ? ahah ! Il est à toi ! Il est a nous ! Change le à ta manière, impose tes règles, ta personnalité.
La vie ? C'est la tienne et rien que la tienne! tu veux crier ? Hurler ? Pleurer ? Danser ? Lui dire " Je t'aime " ? Lui dire à quel point t'a la haine ? tu veux partir ? Recommencer ? Te déchainer ? Tu veux tout simplement te réveiller...?
♣ Alors ouvre les yeux. Et rends toi compte que le monde est merveilleux ♣
« Attrape-moi.. Attrape-moi si tu peux.. » .. Courez , courez les lettres et habillez cette phrase..
Attrape-moi.. Attrape-moi si tu peux.. Cesse de jouer et vient m'attraper..
Tu me veux ? Alors . . .
Séduit-moi,
regarde-moi,
souris-moi,
attend-moi,
espère-moi,
convoite-moi,
bat-toi,
et n'abandonne pas..
Tu me veux toujours ? Il en faudra encore un peu ..
Tu me désires ? Prouve le ..
♣ Tu as carte blanche ♣
Tu me veux ? Alors . . .
Séduit-moi,
regarde-moi,
souris-moi,
attend-moi,
espère-moi,
convoite-moi,
bat-toi,
et n'abandonne pas..
Tu me veux toujours ? Il en faudra encore un peu ..
Tu me désires ? Prouve le ..
♣ Tu as carte blanche ♣
J'inaugure ton ask avec un première question : Que t'inspire le mots rage ?
" Rage en ce jour,
rage de toujours,
laisse moi partir,
laisse moi me contenir,
déjà tu sonnes l'heure,
de la haine qui pleure,
de la colère et sa terreur,
de l'impulsivité et sa douleur,
lâche moi de tes bras forts,
tu sais que tu as tort,
et naîtra de ces actes des regrets,
alors jamais je ne t'appartiendrais "
rage de toujours,
laisse moi partir,
laisse moi me contenir,
déjà tu sonnes l'heure,
de la haine qui pleure,
de la colère et sa terreur,
de l'impulsivité et sa douleur,
lâche moi de tes bras forts,
tu sais que tu as tort,
et naîtra de ces actes des regrets,
alors jamais je ne t'appartiendrais "
