Peluche d'Acier

Thème 1.
Ce soir poupée recommence, comme d'habitude. Celui lui fait tellement plaisir.
Poupée sort de sa demeure. Elle se demande chez qui elle va aller se soir. Poupée vient de se décider, elle va se rendre chez ses voisins, parfait pour son humeur, famille nombreuse, que de mieux pour satisfaire sa soirée, rien que d'un penser, poupée rougit.
Poupée, équipée de sa hache, rentre chez ceux-ci, ils sont si mignons. Elle donne un coup de hache dans un meuble, à l'entrée pour que tout le monde descende la voir. Une fois ses chers petits voisins descendus, poupée commence le carnage. Un coup de hache dans la tête du père, quelques coup sur le corps de 5 enfants. Leurs visages expriment la peur. Cela existe poupée. Une fois que seuls la mère et la cadette restent, poupée torture la jeune enfant, les yeux remplis de tristesse et de rage de la maman mettent d'excellente humeur poupée. Une fois l'enfant morte et non reconnaissable. Poupée lance un regard amusé à la mère. Celle-ci est juste choquée, plus de sentiments s'affichent dans ses yeux. Poupée est déçue. Elle se positionne au dessus de la femme, lui arrache un oeil. La femme crie. Qu'est-ce que cela fait plaisir à poupée, enfin. Poupée, toujours sur cette dame, prend sa main droite. Elle lui arrache chacun de ses 5 doigts fins. La mère crie, encore, poupée est parfaitement satisfaite. Pour poursuivre, poupée donne un coup de hache sur la main gauche de la main. Une fois redressée, elle se rend compte que la femme se vide de son sang, elle va mourir. Poupée doit se dépêcher. Elle se positionne pile sur le bout de bras gauche, coupé et donne des coups de haches sur les hanches de la dame, après quelques minutes d'effort, le corps est une fois de plus coupé. Poupée est heureuse et sort de la maison laissant la famille morte, au rez de chaussée de la maison.
Pour finir sa nuit, poupée va juste tuer quelques personne, à droite à gauche pour au final rentrer dans sa demeure sur sa petite chaise en attendant la prochaine nuitée avec impatience.

View more

C'est tout simple.
Peluche car je sers souvent de confidente, je réconforte souvent les gens, et j'y arrive, car les gens aiment me serrer dans leurs bras quand ça va mal.
Cela me rappelle une journée il y a peu qui m'a particulièrement marquée. J'étais devant la salle de Technologie, en train d'attendre que le prof arrive, avec toute la classe. Je m'amusais avec une amie puis tout de suite après, une fille à qui je disais à peine bonjour ma prise dans ses bras puis m'a raconté ses maux. Pourquoi moi ? Je ne sais pas mais ça m'a touchée. Que les gens me fassent tant confiance et qu'ils pensent à moi quand ils vont mal, c'est vraiment touchant, je vous assure.
C'est donc pour cela que j'ai trouvé que l'image de la peluche me correspondait.
Pour le "d'acier", c'est simplement car quelques de mes "copains/copines", me voient comme une fille sans coeur car je n'ai pas de regret quand je les frappe, et je ne lâche pas mon coup, même si c'est pour rigoler. Pourquoi ? Simplement car je suis sur la défensive. Tout le temps, et malheureusement cela ne me sers à rien, à moi. J'ai l'impression de m'en prendre toujours autant.
D'une autre part, la raison principale d'ailleurs, c'est parce que mon apparence n'a rien à voir avec ce que je ressens. Une fois de plus, je vais vous donner un exemple, au collège. Exemple tout bête, parmi tant d'autres. J'avais passé une semaine à me réjouir du week-end ( je ne citerais pas la raison ). Sauf que pendant le week-end, la chose qui devait ce passer n'a pas eu lieu. C'était vraiment une chose très importante à mes yeux. J'ai espéré jusqu'à la fin du week-end... Vous comprenez ? Le fait d'espérer plus que tout un fait, pendant 7 jours et que celui-ci n'a pas eu lieu, "la grosse déprime". J'étais vraiment mal je pensais qu'à reprendre. Et ce lundi, mon prof de Physique-Chime m'a dit à la fin du cours que j'avais l'air super enthousiaste, vraiment heureuse. Je n'avais même pas chercher à cacher mes maux tellement j'étais mal et on me fait cette remarque. Je n'ai même plus besoin de chercher à cacher mes ressentis, cela se fait seul.
Mes ressentis ne s'expriment pas physiquement, comme si de l'acier bloquait mes sentiments, c'est difficile à expliquer, en espérant que vous voyez de quoi je parle.
Voilà pourquoi j'ai choisi l'acier.
J'espère avoir bien répondu à ta question et je suis désolée d'avoir raconté ma vie si peu intéressante.
( Vivement demain douce dentelle ! )

View more

Les gens ne savaient pas quoi dire de lui, il était très distant avec les personnes faisant une mauvaise approche mais très proche avec ceux qu'il aimait bien.
Il se prenait des coups de couteaux dans le dos, sans brocher mais à la moindre petite embrouille, pleurait pendant des heures. On ne savait pas vraiment que penser de lui.
Ne travaille jamais, en rien. Mais avait d'excellents résultats en sciences, maths, et français. Bons dans les autres et nul en langues. Il était aimé par presque tout le monde, mais il aimait à peine 5 personnes. Toujours peur de faire du mal mais souffrait pour les autres. Personne ne savait qui il était, peu de monde en avait quelque chose à faire.
Sa journée se résumait à participer en cours. Les profs admiraient son excellence, à l'oral. Mais malheureusement pour lui, les méthodes qu'il avait ne plaisaient pas aux profs ce qui lui donnait pas toujours de bonnes notes. Bien entendu, à cause de sa différence les autres aimaient le taquiner, mais à ses yeux, on aurait limite dit qu'on le prenait pour un con.
Le soir, en rentrant, désespéré du manque d'intelligence des autres, est agacé par le collège dans lequel il est. Il monte, dans sa chambre et se met à jouer, à s'instruire, à communiquer avec des personnes qu'il n'avait jamais vu en vrai. Ce sont celles-ci qui lui apprenaient le plus. Après il déprime un bon coup à cause de la personne qu'il aime.
Parmi le peu d'ami qu'il avait, les seuls... Non, je dirais la seule personne avec qui il peut parler sérieusement ne le crois pas dans ses dires. Il le vivait mal, se sentait seul. Avant il pensait que pour rendre se monde meilleur, il fallait virer tout les êtres nuisibles. Mais après une longue réflexion, il s'était rendu compte qu'il y en avait bien trop pour cela et à légèrement pensé que c'est mieux que les meilleurs partent, pour laisser les cons entre eux, sans faire souffrir personne...
Ce sont sur ces quelques mots que je vous laisse, passez une douce nuitée.
N'oubliez pas que si vous avec besoin de partager vos maux, je suis là..

View more