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Bonjour, pourrais tu me proposer un joli poème ?

"Ça y est j'en ai assez, c'est décidé je me rebelle.
Depuis toutes ces années, il se fout de moi tous les Noël.
Peut-être bien qu'il fait la gueule, comme le répète une donzelle.
Ou qu'il a plus de bagnole, le Père Noël.
C'est vrai déjà tout petit, j'ai pas toujours été gentil.
Deux, trois larcins, quelques dizaines de conneries.
Pendu le petit chat, seul raison de vivre de ma grand-mère.
Vendu une misère, les bijoux de mariage à ma mère.
J'ai comme les mains liées, une étiquette à dos.
Comme un homme exilé.
Je traîne mon passé, comme un lourd fardeau.
Et puis un peu plus grand, j'étais plutôt du genre mariole.
Bien plus d'une fois mouillé, dans des affaires de cambriol, pour de la thune, des liasses, du taf pas très honnête.
Dans l'art du recèle, j'étais un véritable maître.
Enfin au bout du compte, on ne gagne jamais vraiment.
Au petit bonheur la chance, ça ne dure qu'un moment.
Tu sais ce que c'est, l'argent te monte à la tête.
Qu'importe la morale il faut payer ses dettes.
Le Père Noël ne viendra plus !
Le Père Noël est un vendu !
Le Père Noël ne m'aura plus !
Le Père Noël, moi j'y crois plus !
Mais laissez-moi vous dire, je ne suis pas mauvais garçon.
Je ne viens pas faire l'aumône.
Je ne cherche pas le pardon.
J'ai donc compris qu'il fallait plus compter sur le ciel.
La vie sans dieu ni maître et sans Père Noël."

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T'as t-on déjà séduit ?

"On verra bien, je peux être le tonnerre ou la clarté. La colère, ou un rayon solaire offert en aparté. Les gens retiennent mon sourire, je veux vivre avant de mourir. Amasser des souvenirs avant l'flashback de nos derniers soupirs. Je cache le volcan quand le cratère fume, je frise le mépris. Ma mère ne voit que mon dépit et mon amertume. Ce n'est pas vous, je me sens mal avec moi-même. Tourner la roue, tendre la joue, moi, je râle et je blasphème. Miséricorde, j'ai mis les discordes de côté. Faut que mon hystérie sorte, miséricorde, mes cris les distordent. Ma mine est grisée je suis fidélisé. La ville est figée, prisée dans un style Élysées Bordeaux millésimé. Avec le vague à l’âme le Padawan se pavane sur le macadam des amalgames de Panama. Je suis vite hérissé. J'ai à fouiller dans mes composites, délier les étriers, le bélier a dévié de son orbite."

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Pourrais je avoir quelques mots sur ce que tu veux, un endroit, une personne, un détail, peu importe fait comme bon te semble s'il te plait.

"Tu veux que je te dise quoi? Il n'y a que des mots dans le vent. Vas-y, cache ta haine auprès d’une pute ou dans une flaque de sang.Tu es passager. Apprend à ramer ou donner des ordres, à cogner ou subir les hommes, foutue discorde. La saga continue. Ferme les yeux ou crève l’écran, dans un élan de grâce, de tass et de strass. De toute façon c’est bousillé, efforts ou pas tu vas crever du con. On va pleurer puis effleurer ta tombe, ou effleurer ta blonde, puis partager tes comptes bancaires pour une virée entre potes aucun remord en stock. Je me téléporte, dans une grotte à cinq-cent lieux des loups, je cours pour esquiver les fous, j’entretiens mon spleen et mon blues.
Merde, j’éteins ma cigarette, dernière prise de tête. Je tue le temps en grattant des 16, en criant, en soufflant des braises rouges. Puis c’est l’hallue totale, laisse moi esquiver les balles, étirer l’espace. Il faut que je change mes perspectives d’avenir, je ne veux pas qu’il pleuve le jour de mon râle, la pluie gomme les souvenirs.
On se voile la face, parce-que nos vies sont des horloges en panne, on finit chez des antiquaires, tu vois c’est pas plus mal. Mais faut que je profite de la vie, là j’ai la plume brutale, alors j’oublie les conneries et je bouge ma viande comme à mon dernier bal. Je transpire l’ivresse des excès qu’on s’inflige dans la nuit, les gens dorment et on veille sur eux comme des condés sous anis. Anesthésie générale au son du boom-bap dans les enceintes.
J’irais voir au loin avec mes potes une mer de paysage. On envisage de mourir jeune pour éviter le naufrage, partir avant l’heure de grâce et finir dément, sans visage. On fuit les cases, dans la tise, élégante fille du soir, partir avec elle, jamais revenir, c’est ça la voix du sage hein?
On cristallise nos envies dans des rêves d’enfances, trempe dans l’accoutumance, conne par inadvertance. Danse cogne et danse, ambiance inquiétante.
Tu vois on se tape des bads en haut des toits, Critical Jack écrasée dans les doigts donc traqué comme des brigands sales.
On n’espère pas, on attend rien du foutu lendemain, si ce n'est que la ville soit figée par le froid ou par un magicien, formule magique.
La nuit est passée en deux battements de cils, métamorphose anormale dans le paysage hostile. L’effort est spontané, j’essaye de gratter pour moraliser, caresser les crevasses de ma pensée. Je gratte mon testament, parce-que je suis déjà mort, fourré dans la noirceur avant même que ne sonne ma putain d’heure."

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A quoi aimes tu penser ?

"La bêtise.. Ah, la bêtise c'est terrible. C'est la mauvaise fée du monde, c'est la sorcière du monde. C'est la bêtise. Il n'y a pas de gens méchants, il y a des gens bêtes. Mais ce n'est pas de leur faute, hein. Mais il y a des gens qui ont peur. Et ça, c'est de leur faute. Des gens qui ont peur, et qui n'assumes par leurs peurs."
A quoi aimes tu penser

Racontes moi une histoire.

LauryLaAu’s Profile PhotoLaury
" Elle était belle, grande et conne, c’était un vrai cas d’école.
Elle était chienne, veine et bonne, c’était une blonde qu'on étonne.
Elle était vide, elle était fine, c’était un bide qu'on déforme.
Elle est coquine elle est maligne, c'est celle qu'on pine pour la forme.
Elle était fausse elle était classe, celles qui ronflent quand elles dorment.
Elle était chaude elle était garce, elle était clean sur la forme.
Elle est perfide elle est stupide, à consommer sous alcool.
Elle est timide elle est candide, quand elle fait style qu'on la colle.
Elle était snob, jeune et riche, avec une frange pour idole.
Elle était slim, elle était bitch, c’était une fille qu'on isole.
Elle était chiante, elle était prise, elle s’étonne quand on l'aborde.
Elle était morne elle était grise, c'est celle qui flip qu'on la morde.
Elle était peinte, elle était molle, elle avait des jolies dessous.
Elle était crainte, elle était folle, elle aime quand t'en met partout.
Elle était saine, elle était brave, elle voulait un p'tit toutou.
Elle était sale, elle était suave, elle rêvait d’être audrey totou. "

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[Libre] Pour être honnête, j'aimerais vous pousez une question mais je n'ai pas d'idées, honte à moi. Je vous laisse donc cette question libre, vous pouvez mettre un texte, une image, musique, n'importe. Douce soirée.

Melinzo2’s Profile Photo[Scandélique.]
"La Guerre...
La Guerre ne meurt jamais. Depuis la nuit des temps. Depuis que nos ancêtres ont découvert le pouvoir de tuer avec de simple cailloux.
Le sang a été versé au nom de tel ou tel Dieu.
Au nom de la Justice.
Ou même simplement de la folie meurtrière. "

Tu crois ai diable ? Si oui ou non, pourquoi ?

"- La décadence me fascine plus.
- Que pensez-vous de l'art ?
- C'est une maladie.
- L'amour ?
- Une illusion.
- La religion ?
- Un substitut élégant pour la foi.
- Vous êtes un sceptique.
- Nullement ! Le scepticisme est un début de croyance.
- Qu'êtes-vous donc ?
- Définir, c'est limiter.
- Donner- moi un fil conducteur.
- Les fils cassent. Vous vous perdriez dans le labyrinthe.
- Vous me désorientez."

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Language: English