Nevada'.

Merci d'être venue me le demandé en tout cas.

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J'ai envie de vous dire que c'est la vie, elle est faite de changements, que vous le vouliez ou non. Des êtres chers vous seront arrachés par la vie et des rencontres insoupçonnables les remplaceront. Mais quand on perd une personne vraiment vraiment importante? Ça se passe comment hein? On doit faire comment pour réapprendre à vivre sans elle? Quand deux chemins prennent des directions radicalement différentes. Quand cette personne, qui vous réchauffait le cœur en un simple sourire, décide de prendre le large en compagnie d'une présence probablement plus apaisante. Je vous parle de ce vide, de cette douleur qui vous transperce le cœur à chaque photo que vous croisez. De ces souvenirs qui bien que magnifiques, arrivent encore et toujours à vous décrocher une touche de nostalgie. Même après le temps, même après la distance. Je vous parle de cette personne qui, lorsque vous êtes au plus bas, est la seule à pouvoir redonner des couleurs à votre quotidien. Je vous parle de cet ami, qui vous colle à la peau, qui vous suit depuis toujours.

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Et ouais, comment fait-on quand le destin prévoit deux tracés qui ne se rejoignent jamais? Comment fait on quand on la voit s'éloigner, s'éloigner et même finir par s'effacer. Cette personne qui semblait pourtant comme gravée dans votre routine. Dites moi qu'il est possible de recommencer à sourire, qu'il est possible de retrouver la force de se lever. Si c'est ça la vie, moi je veux arrêter d'y goûter. Si c'est ça s'attacher moi je préfère mieux tomber sans être protégée.

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" Parce qu'il arrive un moment où l'on ne peut plus faire durer ce genre de choses éternellement. Un moment où il faut retirer le sparadrap, même si ça fait mal. Mais après c'est fini et on est soulagé. " J-G.

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Bah enfaite, je pense que c'est pour pas mal de raisons différentes qu'on est comme on est. Et qu'on les connaîtra sans doutes jamais toutes. Mais je me dis que même si on ne peut pas choisir d'où on vient, à partir de là, on peut quand même j'ai envie de dire, choisir où on veut aller. On peut faire des choses. Et essayez de se sentir bien quand on les fait j'imagine.
Pour ma part, je crois que si un jour j'ai des petits bouts, et qu'ils se sentent mal, je leur dirai pas qu'il y a des gens qui meurent de faim en Chine et de soif en Afrique ou d'autres trucs du même genre car ça changerait rien au fait qu'ils se sentent mal. Et au final même s'il y a des gens qui sont plus à plaindre que toi, ça ne change pas grand chose au fait que tu te sentes mal ou pas car le mal être c'est le mal être et peut importe la gravité de la chose rien ne changera ce qu'on ressens.
C'est peut être une bonne chose de relativiser on peut dire, mais des fois, je me dis que l'essentiel, c'est d'être vraiment là, présent. Parce que c'est normal de ressentir des trucs. Et d'y faire face en restant soi-même.

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En ce moment, je suis a la recherche de moi même. On veut m'aider, m'aider a me construire, mais je veux juste qu'on me foute la paix. Ou plutôt, qu'on arrête de me considérer comme un gosse, qui doit se remettre en question.
Alors, y a des gens qui m'aident, qui m'aiment.
Et puis il y a tous ces gens qui m'aiment pas, parce que je suis différent? Ou juste parce qu’apparemment j'ai fais ci ou j'ai fais ça.

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Oui j'ai fait pas mal d'erreur depuis plus de trois ans et on peut clairement dire que j'en ai beaucoup appris et beaucoup souffert. Le problème, c'est qu'à présent j'ai peur de revivre ça. On fait forcément des erreurs toute sa vie nous sommes humains tout de même, mais j'ai trop peur de perdre des personnes importantes à nouveau. Alors, j'évite un maximum de devoir prendre des décisions et c'est complètement immature je sais. Je préfère fuir plutôt que de faire face aux problèmes. J'ai perdue tellement de personne à qui je tenais à cause de ça. J'ai juste pris peur et j'ai coupé les ponts comme un con. Une de ces personnes m'avaient beaucoup aidé et je l'aimais énormément. Mais encore une fois, j'ai juste fuis. Elle me manque encore aujourd'hui, et je repense aux bons moments qu'on a eu, mais c'est trop tard à présent. Je dois juste faire face aux difficultés et arrêter d'avoir peur. Je ne serais plus comme ça à présent, je m'en fais la promesse. Je ferais face aux problèmes mais comme je viens de dire c'est déjà trop tard.

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Voilà tout petit(e) anonyme.
Je vous conseilles juste, d'être vous mêmes.

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J'ai voulu t'éloigner de moi, je voulais que tu me détestes même plus que tu me haïsses. Je voulais être à tes yeux un salop. Un gars sans cœur. Je ne voulais pas m'attacher! C'était ma priorité. Je ne voulais pas avoir mal une seconde fois. T'es apparu comme ça du jour au lendemain comme une claque qu'on se prend. T'as marqué ma vie, et je ne savais plus ce que je voulais réellement. Bientôt je ne serais plus là à tes côtés. Et le pire c'est que je m'imagine une vie avec toi, pathétique venant d'un gars sur le point de partir? Je m'imagine une vie de bonheur avec toi. Pouvoir se marier, avoir des enfants, passer ma vie à tes côtés et se rappeler dans 60 ans les chapitres de notre vie ensemble. Cette vie avec toi, je la désire de tout mon cœur mais c'est impossible dans mon cas. J'ai plus envie de partir, je ne veux plus me diriger vers ce chemin inconnu, je veux rester auprès de toi pour toujours mais malheureusement le « toujours » n'est plus associé à « nous » vu que tu dis ne pas m'aimé. J'ai si mal de devoir te laisser ainsi, pardonne moi de ne pas être la personne qui comblera toute ta vie. Mais aujourd'hui, tu viens de me prouver que je devais fermer ma bouche et me renfermé encore plus. Ce qui s'en suit c'est, un mal être constant, sans aucun répit même dans mes cauchemars ma douleur s'immisce.
Cette douleur vive qui ne cesse de me rappeler à qu'elle point je suis fou de toi. Fou de ton sourire, fou de tes manières, fou de la personne que tu es.
J'ai cherché mes mots, mes phrases, en essayant de t'exprimer ma douleur, je cherche les mots les plus juste, pour que tu saches tout l'amour que je te porte, j'ai réfléchi longtemps à ça, je l'ai pensée, j'en ai des tas de brouillons, mais dès que je commence à écrire mes mots ne sortent plus dans le bon ordre, et puis je me dit que puis-je dire d'ailleurs de plus que mes mots, mes gestes, ma conduite, mes regards à ton égard, parfois même que mes silences ne t'aient dit avant moi?
Tu pars. Une énième fois, la dernière d'ailleurs. Derniers mots, derniers moments de bonheur. Cette fois, je te laisse t'en aller, puisque c'est ce que tu veux. Je suis sur le palier de notre histoire, et je te regarde disparaître discrètement, sans faire le moindre bruit. Partir pour la dernière fois sans vouloir te retenir avec ce goût inachevé sur les lèvres de cette amour que je croyais plus fort que tout, je cherche les mots qui pourraient sans nous trahir, nommer cette histoire et tout ces moments que je n'ai pas notés. Je regretterais peut-être de ne rien faire pour te retenir. Je t'aime et crois moi encore une fois je n'ai jamais avant toi, aimé de cette façon à en perdre la raison, je t'aime pour tout ce que tu as été avec moi et même ce que tu n'as pas été, je t'aime pour tout ce qu'on s'est dit et pour le reste..

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Je suis pas le gars qui réfléchis ou bien qui a des paroles censées comme tu peux le dire. Je m’exprime tout simplement, après chacun pense ce qu'il veut. Toi tu pense ceci d'autres personnes penses cela je ne vais pas m'abaissé a ton niveau.

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Tu as ask, j'ai ask. Tu réponds a des questions plus ou moins intéressantes tout comme moi. Critique, donne ton avis si ça te fais plaisir mais sache que je te l'ai jamais demandé donc je ne vois pas pourquoi tu ouvres ta bouche pour dire une chose aussi inutile que ça. Si je te fais de la peine, barre toi c'est aussi simple que ça.

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Maintenant je vais te faire le petit plaisir de te répondre juste pour que tu es un peut moins de complexe sur la petite personne que tu es. Comme ont dit : " Il vaut mieux être détesté pour ce que tu es plutôt qu'être aimé pour ce que tu n'es pas. "

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https://www.youtube.com/watch?v=UAWcs5H-qgQ

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Le suicide peut être un acte de lâcheté.
Mais quand une personne qui décide de mourir, cette personne qui souffre tellement chaque jour, à un tel point que l'on ne peut imaginer décide de commettre cet acte, on ne peut en aucun cas dire qu'elle était lâche.

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Parce que cette même personne, cette fille, qu'on peut voir chaque jour, chaque moment sans lui prêter attention. On peut la regarder dans les yeux et en voir les larmes qui coulent discrètement sur son visage, ces larmes qui crient au secours, ces larmes dépourvues d'espoir, qui montrent la souffrance qu'elle endure constamment. Mais on passe son chemin sans même lui lancer un regard. Parce qu'on a peur, on est lâche. On a peur de devenir comme elle, d'endurcir tout ce qu'elle vit.
Je peux vous dire qu'il n'y a pas de mot pour décrire ce qu'elle vit chaque jour, le mot « souffrance » est bien trop faible.

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Elle en a tellement marre. Tellement marre de ne plus être aimé de personne, tellement marre d'être dans la misère, tellement marre de souffrir, d'avoir froid, faim, d'avoir besoin d'amour, d'attention.
Mais au lieu de ça, elle reste et elle attend ; elle vit ce supplice jusqu'au moment où elle n'en peut plus, où elle a beaucoup trop supporté, où elle sent qu'elle ne peut plus continuer de vivre comme ça. Car elle pense trop souvent à cette phrase : qui la meurtri de plus en plus chaque jour : «à quoi ça sert de vivre pour souffrir?».
Elle sait que même si elle essaye d'arranger les choses, tout finira par retomber, elle en a fait l'expérience. Elle n'en peut plus, elle est à bout de forces. Elle a terriblement mal, elle pleure tous les jours de son sort ; car elle sait qu'elle ne s'en sortira jamais.
Jamais plus elle ne vivra ces moments heureux qu'elle a pu vivre avec ses proches ; elle les a tous perdu.
Et quand elle se rappelle de ces souvenirs qui lui restent, ancrés dans le fond de sa mémoire ; elle pleure : elle pleure du peu de bonheur qu'elle a vécu.
Et cette fille-là, a trop de souffrance en elle, elle ne peut plus vivre.
Elle espère et n'attend plus que ça à présent : la mort, son seul échappatoire.
Elle n'hésite plus comme avant ; maintenant, elle en est sûre.
Elle sait pertinemment que seul moyen de retrouver la joie qu'elle a vécu, c'est de mettre fin à ses jours.

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Un jour, elle commettra cet acte, irréparable. Et puis la plupart gens penseront qu'elle était folle, et donc l'oublieront puisqu'ils se diront que sans elle, ils seront mieux,soulagés.
Mais elle, elle aura retrouvé sa liberté, son bonheur ; car à présent, elle ne souffrira plus et c'était ce qu'elle souhaitait le plus au monde.
Oui, vous pouvez dire que le suicide c'est un acte de lâcheté, oui vous pouvez dire que le suicide c'est mal. Mais je peux vous dire que pour certaines personnes, c'est un véritable moyen de retrouver la paix, un véritable moyen d'arriver à mettre fin au malheur qui ne les lâche plus pour qu'ils soient enfin délivrés.

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