Je ne pense pas, ma vie est bien trop remplie pour ça en ce moment.... Peut-être que je devrais prendre le temps d'écrire à nouveau, tout comme je devrais prendre le temps de lire, ou même encore (plus important pour ma santé) de faire du sport, mais j'ai du mal à réintégrer ces choses là dans mon quotidien bien rempli !
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C'est gentil, merci à toi, qui que tu sois ~
Je suis heureux que cela te plaise ~
Ne t'en fais pas, je vais bien, et j'ai beaucoup de raisons d'être heureux ! Disons juste que parfois certains souvenirs ressortent, et la solitude n'aide pas...
Mais il faut bien des bas pour qu'il y ait des hauts, non ?
« J'sais bien que c'est mort, alors pourquoi j'y penses encore ?
J'essaie de faire des efforts mais parfois je t'en veux à mort
Ça m'a détruit, mais comme on dit "c'est la vie"
Mais ça fait encore si mal de savoir que c'est fini
[...]
Maintenant je suis ni ton pote, ni ton amoureux
Je suis plus rien, juste un mec qui voulait être heureux
[...]
Quelle est la différence entre toi et moi ?
C'est que moi je compte encore les jours et toi je sais bien que tu les compte pas »
« Est-ce que ça va ?
Comment c'est ta vie ?
Est-ce que tu penses à moi quand t'es avec lui ?
De toi j'me sentais si proche
Ça fait comme un coup de pioche
Mais je te ferai aucun reproche »
- « Je n'aimerai plus jamais »
- « Je prie que ce ne soit pas vrai. Il y a... il y a un merveilleux monde qui t'attend. [...] Et ce monde te mérite. »
« Ma grand-mère a quelque chose, que les autres femmes n'ont pas
Ma grand-mère est une rose, d'un rose qui n'existe pas
[...]
C'est malheureux mais quand j'y pense, je ne peux pas,
Imaginer un jour la France, sans qu'elle soit là. »
Qu'importe le lieu où tu t'es rendue, Mémé,
J'espère sincèrement, du fond de mon âme peinée,
Que tu as retrouvé ceux qui nous ont quitté,
Ceux qui nous on permis d'exister, mes pépés.
Malgré le dur chemin que tu as parcouru,
J'espère avoir pu t'apporter un peu d'bonheur,
Et sache-le, je n'oublierai jamais ta douceur...
Merci pour ta générosité étendue.
Je regrette de ne pas avoir pu te revoir,
Je sais qu'un jour viendra où l'on se retrouvera,
En attendant j'essayerait de venir te voir,
Et de tout faire pour que tu puisses être fière de moi.
Tu sais ce qui me manque ? L'amour. Me sentir aimé, ressentir cette chaleur dans tes mots et tes messages, regarder tes yeux me dévorer, et tes mains glisser contre les miennes. Cela semble si lointain, et rien ne semble pouvoir l'empêcher. Je sais toujours pas si j'arriverai à tomber de nouveau amoureux un jour, et j'ai parfois l'impression que je dois vivre seul, pour l'éternité. Pourtant, au fond de moi, ces souvenirs subsistent, ces sentiments de bonheur intense persistent à vouloir revenir dans ma vie... Rien n'y fait, le seul réconfort reste celui de mes draps et de mon chat... C'est déjà ça.
Inévitablement, chaque pas nous rapproche de la fin, et je ne peux m'empêcher d'y penser. Sans cesse tiraillé entre l'envie de marquer ce monde, les centaines d'idées inachevées, et le sentiment de n'être qu'une pièce minuscule dans ce gigantesque échiquier...
Est-ce égoïste de ne pas vouloir s'en aller sans postérité ? Est-ce utopique de vouloir innover, révolutionner, percer ?
Comment faire, pour transformer toutes ces idées ?
Par où commencer, pour explorer ce monde immense sous nos pieds ?
Et ceux qui me sont cher, qui méritent tant à mes yeux, arriverai-je à le leur donner ?
J'ai l'impression qu'il me faudrait une dizaine de vies, pour profiter de ceux qui me sont chers, pour explorer l'infinité de l'art que l'on créé, pour visiter les merveilles de cet univers qui nous entoure...
Qu'importe le chemin, qu'importe la fin, je veux faire le maximum, aller au bout. Ne jamais m'arrêter, toujours me relever. Et au fond, peut-être surtout arriver à changer.
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Les années ont passé,
Et il a cessé de penser,
Laissant derrière lui ces êtres cher,
Avec, pour chacun, un goût amer.
Leurs rêves ne deviendront jamais réalité,
Même pas l'instant d'un court été.
Il a beau ne plus y penser, avancer,
Aucune certitude que ces plaies se soient refermées.
Ont suivi la solitude, les déceptions,
Modifiant nombre de ses ambitions.
Le jour tant rêvé est devenu anodin,
Et demain, il ne se passera rien.
Je crois que je serais éternellement fasciné par la facilité qu'à l'amour à devenir de la haine, et inversement.
Est-ce l'intensité de ces sentiments qui les rapprochent ? Est-ce qu'ils ne peuvent exister l'un sans l'autre ?
Souvent, il semblerait que tout les oppose, et pourtant ils semblent parfois mutuellement indispensables...
Nombreux sont ceux qui ont essayé de comprendre, de poser des mots dessus, mais qui peut affirmer détenir la vérité, et le prouver ?
Peut-être que la clé, c'est le temps...