Si tu crois en ce que tu écris, tu n'as pas besoin de l'avis des autres, le tiens seul compte.
Es-tu une bonne ou une mauvaise personne? Pourquoi?
Je ne pourrais pas m'identifier à une bonne personne parce que je n'ai pas forcément fais de bonnes choses. Je ne pourrais pas non plus m'identifier à une mauvaise personne car je ne vais pas être mauvaise pour le plaisir.
J'aime bien, il y a deux style de fille. Il y a celle qui sont belle, qui sont intéressante, intelligente, qui plaisent à tout le monde, aux garçons comme aux filles. Ensuite il y a l'autre genre, moi, celle qui s'en fou de tout et qui plaisent à personne.J'vous souhaite d'être le premier style, on s'ennuie quand on est le second.
Depuis quelque temps j'ai l'impression de ne plus avoir de cœur, j'ai l'impression qu'il ne bat plus, je ne l'entend plus battre. Je ne suis ni heureuse, ni malheureuse. Enfaite, je croit que je deviens vide, je ne suis plus qu'une coquille vide.
"Je « ne lui dis jamais mon amour » en paroles; pourtant, si les regards ont un langage, la plus simple d'esprit aurait pu deviner que j'étais amoureux fou."-Les Hauts De Hurle-vent, Emily Brontë.
Moi j'tape contre un mur des mots qui te donne des coups de fouet. Jte fais des traits noir sur un mur blanc. J'me défoule sur ce putain de mur. Toute ma haine et la tristesse se sont plaquer contre ce mur maintenant devenue noir.
"C'est la première fois que je fais l'amour à quelqu'un, ce n'est plus de la baise comme à l'époque. Peut-être parce que c'est elle. Peut-être parce qu'elle est différente. Peut-être parce qu'on est fait l'un pour l'autre. Peut-être parce que je l'aime. Peut-être parce que tout mon être l'aime. Peut-être parce qu'elle est mon âme sœur. Nos bouches se mêlent, nos corps s'assemblent, nos doigts s'emmêlent. Elle m'attire, nous sommes désormais des amants.Je suis amoureux, putain qu'est-ce que je l'aime."
Parfois, après l'école je me pose et j'observe. J'observe les jeunes sortirent de leur bahu. J'observe la beauté des hommes et celle des femmes. J'observe toute ces personnes et le plus souvent je les envie. J'observe leurs comportement et j'essaie de les comprendre et assembler leurs humeurs, comme un puzzle.
- Céleste ? - Umm ? - Tu vas bien ? - Pourquoi serais-je bien ? - Je... Tu as raison, je n'aurais pas du revenir... Je suis désolé de te faire autant souffrir avec ma présence. - Tu ne me fais pas souffrir, tu me fais regretté.
Et quand je plongeais mes yeux dans les siens je ne voyais rien. Ses yeux étaient aussi vide que sons cœur. Ce garçon était complètement perdue. On aurait dit un fantôme, ouais, c'est ça, un putain de fantôme.