@Capa__

Ecrivain à temps perdu

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sarahmwa’s Profile PhotoS
L'amour ? Flemme. J'dois avoir un problème. Toutes les filles de mon âge rêve du prince charmant, moi c'que j'veux c'est juste d'l'argent. J'en ai rien à foutre de pas aimer, le plus dérangeant c'est surtout l'fait de pas pouvoir baiser. J'ai pas besooin qu'quelqu'un m'aime, de toute façon ça fini toujours par de la haine. À quoi bon donner d'son temps à un humain qui n'vaut rien ? À quoi bon donner son coeur si c'est pour le r'trouver en train d'gueuler d'douleur ? Aimer n'a plus grand intérêt, c'est qu'un sentiment éphémère bien trop vite oublié. Alors ouais, j'ai p'têtre un problème, mais moi au moins j'suis debout pendant qu'vous vous crevez d'peine.

<< Tiret >>

SQVK’s Profile PhotoMystery ?
Ça va, ça vient. Parfois ça fait du mal et parfois ça fait du bien. Un jour on s'lève en s'demandant pourquoi, on comprend qu'on n'est plus des enfants à c'moment là. Les amours viennent, puis les amours partent. Les amitiés tiennent, puis les amitiés jartes. On s'trouve une raison de t'nir, en s'disant qu'autre part c'est toujours pire. On s'compare aux autres pour se rassurer, cette putain d'hypocrisie qui réside dans la tetê. À prétendre pouvoir aimer, alors qu'la plupart n'sait pas c'que c'est. Y'a qu'mon texte qu'est vrai, regarde j'me prends même pour Orphée.

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Dites leur que je pars. Dites leur que c'est déjà trop tard. Dites leur que j'ai besoin de personne, que j'en ai marre d'être prise pour une conne.
Dites leur que j'me casse, que j'me casse mais avec classe. Dites leur que j'men fous de tout, que j'm'enfuis juste de ce trou.
Et pleurez de mon absence, vous savez c'que j'en pense. J'reviendrai pas j'ai pas assez d'essence, et j'ai pas l'temps d'baisser la cadence.
Criez mon nom, j'me retournerai pas j'ai mes raisons. Ici j'tourne en rond, j'me sens plus maitresse de ma propre maison.
Crachez sur mes valeurs, vous n'frait qu'laver mon or. De vous je n'ai pas peur, apprenez ça par coeur.
Mon chemin est long, j'dois encore bâtir des ponts. Le vent me poussera, le ciel m'epaulera.
J'pars à la tombée de la nuit, adieu mes chers amis.

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Hier soir j'ai couché avec un gars. Et à un moment j'ai pensé à toi, puis j'me suis mise à chialler. J'ai pas su me retenir. J'étais inconsolable, j'avais envie d'hurler tellement je souffrais. Il m'a regardé un petit moment, puis il s'est relevé sans chercher à savoir ce que j'avais ou à me consoler. Je pense qu'il a comprit. Ensuite il s'est rhabillé, et est parti sans un regard. J'men foutais. J'men foutais parce que j'avais l'impression d'crever d'chagrin.Jsuis restée longtemps étendue, nue, sur mon lit, à pleurer et à maudire tous ce qui m'entourait sans jamais te haire toi. A la base c'était à toi que je devais donner mon corps, c'était ton rôle de me combler de toutes les manières possible, que ce soit au lit comme dans la vraie vie. Pas à lui, pas qu'une nuit. Mais t'es parti. T'es parti et j'm'en remets pas, et j'respire plus non plus. Ton absence m'étouffe. J'pensais qu'en offrant mon corps ça irait mieux, que ça suffirait à t'oublier. Mais tu vois, j'me suis trompée. Alors voilà, j'voulais simplement te le dire.

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vxclla’s Profile Photovic
Et on s'accroche à la vie comme l'oiseau à son nid. On croit en l'amour, celui qui dure toujours. On se repose sur nos amis, on pleure, on rit. On étouffe la douleur sous les battements de notre coeur. Et chaque jour c'est pareil, on s'réveille, on va s'coucher en attendant la paye. On bouffe, on dort, on s'en fout, on est plus à l'heure. On s'emballe trop vite, on essaye de s'reconstruire par la suite. On est déçu mais on en parle pas, on préfère garder notre chute pour soit. D'facon c'était un connard comme disait Julie, pas envie d'entendre 'tu vois j'te l'avais dit!'. Demain l'reveille sonnera de nouveau, direction l'boulot et voir ces têtes de blaireaux. Leur voix qui nous insupporte et nous casse les oreilles, leurs allures ridicules et leurs cravates arc-en-ciel. Et ça continu, ça continu, ça n's'arrete plus. Parce qu'on s'accroche à la vie comme l'oiseau à son nid, et on croit de nouveau en l'amour, celui qui dure toujours.

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oftheangel’s Profile Photomcdo
Il était ma mélodie pendant mes nuits d'insomnies, mon ciel, ma merveille. Il était ma volonté lorsque j'avais envie d'abandonner, mon courage durant mes mauvais virages. Il était mon être maman, mon monde un peu violent, mon esprit désolant, mon coeur transparent. Il était mon oxygène pour que je puisse respirer, mon univers tout entier, ma vie sans aucun doute, la lumière sur ma route. Il était les battements de mon cœur maman, l'écoulement de mon sang, mon plus beau soleil levant, mon monde merveilleusement grand. Et la peine ne fait qu'augmentait, la douleur me fait pleurer. Maman j'me sens si mal, ma peau devient affreusement pâle. Maman je n'vais pas bien, depuis qu'il est parti je n'ai plus rien.

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Il est 3h27 du matin, et je n'ai pas sommeil. Dans ma tête c'est un trop plein de rien, mon cœur ne bat plus depuis la veille. Ton manque est permanent, je respire douloureusement. Je lutte en vain, mais ma volonté est loin. Et je marche en reculant, je regarde le monde aveuglement. Ton visage que je cherche ne reviendra pas, mes larmes sont là pour me le rappeler à chaque fois. Il est 3h28 du matin, et je n'ai pas sommeil. Mon cœur est rempli de chagrin, ma douleur est en éveille.

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C'est quand j'ai regardé ses lèvres que j'ai eu envie de l'embrasser. Je n'l'aimais pas et il n'était pas non plus très attirant. Mais lorsqu'il parlait il d'venait séduisant. Ses lèvres bougeaient de façon régulière, calmement, doucement. J'ai commencé à imaginer tout un scénario dans ma tête sur comment j'allais m'y prendre pour lui voler un baiser. Quand j'ai rouvert les yeux j'étais seule. Il avait disparu parmi toute cette foule qui dansait. J'le reverrais pas, j'le sais.

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HopeLifeless’s Profile PhotoLonely
Il est 11h.
Et y'a deux types de personnes :
Ceux qui ont eu cours toute la semaine et qui n'arrivent plus à dormir à cause de l'habitude des horaires du lycée/collège.
Et ceux qui vont dormir jusque 18h parce qu'ils sont plus en cours et qu'ils s'en battent les couilles de tout.
Perso j'suis dans la première catégorie.

"l'amour a ses prisons que la raison déshonore"

Tu ne vie que de belles paroles, mais ta voix résonne seule. Ton coeur à moitié déchiré cherche encore à aimer, la folie guette ton âme détraquée. Et tu as besoin de lui, de tes mains sur son corps si joli. Et tu as besoin de lui, de son amour qui te nourrit. C'est difficile de rire, toi qui veut tellement mourir. Respirer te semble pénible, le chagrin t'a pris pour cible. Son ignorance te fait peur, mais ça te va si c'est pour lui que tu pleure. Et tant pis su tu n'arrives plus à avancer, car il te faut ses pieds pour continuait de marchait.

Tes textes sont si parfait... t'es un poète caché? Le genre de couple qui se dispute tout les jours, qui n'arrive pas bien a se parler mais qui s'aime... tu peux essayer d'ecrire un truc dessus.

Je crois qu'on s'est trop aimé, durant les jours où nous nous promettions l'éternité. J'ignore ce qu'on devient, sûrement un semblant de rien. Pourtant l'amour est présent quelque fois un peu distant. Alors on se blesse, on se blesse à en oublier le reste. Puis on se tue, on se tue à en perdre la vue. Et qu'importe les routes qu'on prend, où les chemins mènent, ça fini toujours par une tempête de peine. Nous pleurons en chœur pour réveiller le bonheur, nous hurlons ensemble pour que nos larmes tremblent. Mais l'amour est trop fort, l'amour nous fait peur. Alors on se blesse, on se blesse à en oublier le reste. Puis on se tue, on se tue à en perdre la vu.

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Il ne souriait jamais, c'était le genre un peu discret. Son regard fixé sur son join, il se contentait d'un rien. Il semblait un peu paumé avec ses yeux complètement défoncés. Mais il ne faisait pas peur, quand on s'approchait de lui on pouvait entre son coeur. Quelques fois je l'écoutais crier lorsqu'il pensait être seul, au moment où il hurlait il perdait un peu d'son auréole. C'était poignant, ça sonnait comme un ouragan. Puis un jour, sans un mot, il s'est tiré, personne n'a jamais rien dit à ce sujet. Je pense qu'ils n'ont pas osés en parler, même si son absence les faisaient parfois pleurer.

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