Va y avoir de quoi parler lundi ouais Sinon y a un dm de math n22 a), n23 et n27 p127 sur feuille, de l'anglais p58/59 "dear diary" + une feuille qu'elle nous a donné le tout à rendre, la critique de film elle est pour mardi et j'ai des contrôles à toi.
Bah moi, fanny (logique), alice. Alice l'a su parce que ta soeur est venu me voir pour donner des nouvelles, elle était derière. Après jsp pas à qui fanny l'a dit, sarah je crois, et alice à claire et sarah. Quand j'l'ai su j'suis toute allée les voir pour leur dire de la fermer. J'crois que c'est tout.
Mais de rien, et merci. "Tu es la seule personne qui me fasse me sentir comme ça, j'ai tellement envie de te laisser là par terre dans ton canniveau pourri et remplis de salissures, le corps jonché de cadavres de bouteilles et de mégots encore fumant. J'ai aimé te connaître, d'apprendre, te faire rire, te consoler et maintenant j'aimerais ne jamais avoir connu toute ces choses, j'aimerais me lever le matin et t'avoir oublié, je hais ce que tu es devenue. Mais c'est ma faute, j'ai pas eu le courage de te le dire clairement, je me suis contentée de jouer le garde fou, jusqu'au jour ou c'est allé trop loin. J'ai essayé de t'ouvrir les yeux, de limiter la casse mais toi tu veux tout continuer. Moi je veux mourir pour ne pas avoir réussis à te protéger toi que je considerais comme ma petite soeur, chacun son truc.. Maintenant vite et bref, ou alors me défoncer en fumant un joint moi je veux juste oublié que je te parle les yeux embués de larmes, que je vois même pas ce que j'écris, je veux juste qu'on me laisse oublier. Qu'on me laisse partir à la dérive les yeux explosé et rouge à force de tirer sur cette roulée ou alors d'avoir trop pleuré une personne qui ne reviendra jamais. Laissez moi crever dans mon trou ! J'en sors plus de toute façon, j'en peux vraiment plus je suis au bout du bout. Physiquement et moralement laissez moi là allongée sur cette route ou sur ces rails, un p'tit spliff et j'm'envole. Finis la peur, finis les larmes, le courage abruti prend le dessus de j'me fous enfin en l'air. Ma vie pour la tienne, ma promesse muette qui meurt sur le bout de mes lèvres froides et bleues, j'aurai tout fait, jusqu'au bout."
"J'aimerais de haïr du plus profond de mon être mais j'ai beau essayer tant et si bien que je finis toujours par voir le bon en toi. Te haïr serais comme dire que le ciel n'est pas bleu, que le feu ne brûle pas et que l'eau ne mouille pas : se serai absurde. J'essaye de me convaincre que l'absurde est toujours mieux que voir ta tête de con, ton petit sourire en coin signe de ta victoire; j'essaye seulement de protéger mon coeur. Du moins ce qu'il en reste, après l'avoir laissé dans les mains des mauvaises personnes je sauvegarde le peu qui marche encore, tu sais cette par d'innocence, d'enfance ? Celle là même qui permet aux sentiments les plus pures exister, qui permet d'aimer sans condition, sans concession, celle que j'ai peur de voir disparaître si je laisse filer une seconde d'inattention. Parce que même si je joue la grande sûre d'elle, sans peur, il en reste une bien cachée dans les recoins sombre de mon esprit tortueux : la peur de grandir. J'ai encore besoin de croire à la petite souris, de demander si il n'y a pas un monstre dans mon armoire ou sous mon lit, j'ai encore besoin de mon innocence de gosse pour être heureuse. Si tu comptes me la voler, alors oui je te déteste."
[QG] Pensez-vous qu'un coup de foudre peut durer toute une vie ? •• Vous pouvez passer sur mon ask me poser un tiret ou une question si vous en avez envie ! Bonne journée
"Je t'aime, sans te connaître, sans te voir, sans t'entendre. Je t'aime sans t'aimer. Derrière mes paupières closes j'imagine quelqu'un, tout le monde, n'importe qui; je rêve la rencontre de nos corps, voluptueuse danse charmelle au mille promesses inavouées. Je frémis extatique dans l'espoir de recevoir cette caresse, de la rendre, l'amplifier jusqu'à toucher les nuages. Par de là les plaisirs corporels mon esprit se languit du tien, divin poète qui met en émois chacune de mes pensées, bouscule la moindre certitudes, éveil mes sens. De l'imaginaire tu es la plus belle chimères, du réel la plus insignifiante perception. Tu n'existes pas et pourtant tu es partout et tout le monde à la fois, tu es précieux à mon âme je te garde jalousement dans ma mémoire. J'ai gravé chaque courbes, chaque galbes, chaque petit détails dans les méandres de mon humble cerveau. Je t'aime d'un amour immortel et pourtant immatériel, sauras tu percer les barrières de fer blanc qui entoure mon coeur sanguinolent et sanglotant, afin de t'établir en maître dans la cage doré que forme la complexitude de mes sentiments. Je t'espère, je t'attends, je t'aime pour deux, jusqu'à ce que tu arrives."
[QG] suite à l'attentat contre Charlie Hebdo, je vous pose la question suivante : la liberté d'expression est-elle vraiment sans limites ? Y'a-t-il des choses qu'il vaut mieux garder pour sois ?