Bovarysme

Mes yeux sans bruit dessinent le cri
De mes colères enfouies sous terre
Je ferme la porte à clef je n'ai rien vu passer
Ni l'ombre de mon passé ni le trop du pas assez
Mon silence déborde sur ma silhouette en désordre
Et divulgue tout fort ce que j'ai mis sous coffre fort
Il parle de mon enfance il raconte mon cœur en transe
Il a trahi ma confiance et délivre ma dernière danse

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Quand naît l'envie d'écrire
L'envie de tout te dire
Je reste silencieuse
Je me fais les mains creuses
Quand naît l'envie d'écrire
L'envie de tout me dire
Je vaque dans la ville
Je file et me défile
Quand naît l'envie d'écrire L'envie de tout leur dire
Je promets au futur d'un présent qui perdure
Quand naît l'envie d'écrire
Oui l'envie de tout dire
J'ai le cœur épuisé l'encre s'est écoulée

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Quand mon cœur s'endort j'entends s'élever dehors
Le vent qui m'appelle encore entre deux ou trois feuilles mortes
Je m'éveille dans le froid de mes souvenirs d'autrefois
Je murmure tout bas que tout va bien ne t'en fais pas
Le rouge au loin ce rien ce n'est pas mon regard éteint
C'est une couleur au hasard dans la nuit noire
Ce n'est pas l'histoire que je sais dont je tais les moindres faits
Qui me demande à présent de libérer le fruit mourant

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Quand naît l'envie d'écrire
L'envie de tout te dire
Je reste silencieuse
Je me fais les mains creuses
Quand naît l'envie d'écrire
L'envie de tout me dire
Je vaque dans la ville
Je file et me défile
Quand naît l'envie d'écrire
L'envie de tout leurs dire
Je promets au futur d'un présent qui perdure
Qu'on est l'envie d'écrire
Oui l'envie de tout dire
J'ai le cœur épuisé l'encre s'est écoulée

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"- Alex' pourquoi t'as les yeux rouges ? Alex' pourquoi tu tiens plus debout ? Alex' pourquoi tes propos sont incohérents ? Alex' pourquoi tu parles plus ? Alex' pourquoi t'es pâle ? Alex' pourquoi les petites étoiles qui pétillaient dans des yeux sont mortes ? Pourquoi tu t'éteins peu à peu au profit d'un lourd silence lugubre ? Pourquoi dès que tu ouvres la bouche c'est pour crier et hurler des insanités aussi sales l'une que l'autre ? Pourquoi tu deviens aussi agressive ? Pourquoi la jeune fille en fleur que j'ai connu disparaît derrière ce chardon aigri et piquant ? Dis moi Alex' pourquoi ton coeur à t-il arrêté de battre ? Dis Alex' ton âme est elle si effrayée qu'elle ne sait plus où aller ?
Hé Alex' tu vas où ? Tu retournes te prostrer dans ta solitude froide et sombre ? Alex', j'ai peur que ce zombie pathétique aux répliques courtes et funèbres empruntées aux tragédies mythiques ne remplace la belle personne que tu m'avais laissée entrevoir derrière cette carapace de mensonge destinée à n'inquièter personne. Alex' tu te caches ? De quoi ? De moi ? De l'amitié ? De l'amour ? Alex' je crois que tu te perds en conjectures stériles te persuadant personnellement de l'inutilité du vide que tu représentes, mais ce vide je l'aime bien il comble celui qui m'habite. Alex' tu t'enterre dans un funeste cimetière, pourquoi tu me laisses tomber ? Alex' qu'est ce qui t'arrive ?
- Je ne saurai pas te le dire.
- Je vais te dire ce qu'il t'arrive : tu manques de sommeil, tu meurs doucement mais sûrement."

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Red, 27 février 2015.

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"- Dans combien de temps ce bip affreux va t-il cessé ? Il résonne dans ma tête et je ne comprends pas très bien pourquoi mais j'ai comme le pressentiment qu'il est annonciateur de mauvaises nouvelles. Il bourdonne à mes oreilles et n'en dément pas, son message est clair : quelque chose cloche. Alex' ? Hey Alex' tu es floue, tu trembles et... serait ce des rivières qui coulent de tes beaux yeux sombres ? Ma poitrine brûle, une gerbe de flammes bleues surgit et je ne les contrôlent plus Alex' écartent toi ! Tu es touchée ; ta peau est carbonisée, une odeur de sang brûlé flotte dans l'air, tes cendres s'envolent avec le vent bientôt il ne reste plus rien de toi que ton souvenir. Cette ambiance est malsaine, sortez moi de là ! Te voir ainsi me révolte : une sorte de résignation mêlée à de la tristesse brille dans le fond de ta pupille dilatée, clos t'es yeux et ferme le robinet de tes larmes. Je suis épuisée, encore est toujours ce même bip incessant, entêtant, affolant, répugnant. Dis moi, quand est ce que ma torture prends fin, quand est ce que ce bip s'arrête ?
- Eh bien quand je mourrais je dirais. Ce bip dont tu parles doit venir de l'électrocardiogramme, vraiment je suis désolée de t'infliger tout ça.
- Ca.. cardio.. quoi ? Les murs blancs, l'odeur aseptisé, ces foutus zombies affables avec leurs yeux révulsés qui me fixe en déambulant lentement dans les couloirs la grisaille de leurs peaux luisant sous un néon agressif, je...non...pas encore...tu... nous... nous sommes de retour à l'hôpital ?
- Oui Red, tu n'as qu'un mot à dire et tout cesse : le bruit, l'éclairage, les regards de zombies amorphes. Un seul mot et tout sera fini je te l'ai dit.
- Non. J'écouterai ce bip affreux, je soutiendrais leurs regards vides, j'habituerais mes yeux aux néons et je reviendrai, tout les jours s'il le faut mais toi ! Toi tu vas guérir et me revenir."

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"- C'est un appel aux secours j'vous dis. - Tu crois Red ? Et pourquoi ce serai pas un appel à la joie ? - Parce qu'il est pourri son sourire. J'le répète c'est un appel aux secours les gars. - Red. C'est ton appel aux secours ? - Ils sont revenus Alex', ils rampent, bavent, médisent et chuchotent en permanence. Les nuits sans lune ils sortent, ils m'entourent et ils crient. Ils sont foutu bizarrement tout tordu et biscornu et puis aussi ils sont étrangement semblable à l'humain, leurs yeux noirs me dévisagent et je vois, je vois tout : la peur, la haine, la violence, le désespoir. Avec leurs grandes mains ils m'attrapent et me tirent dans leur pays de misère, je veux pas y retourner mais j'ai plus la force. Ils sont revenus Alex'. J'les entends, j'les vois Alex' ! - Qui Red ? - Les monstres sous mon lit."

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"Message to A :
Si tu t'en fous dis le. M'fais pas espérer comme ça, c'est du sadisme à ce niveau là. Parce que tu vois moi j'aurais du mal à oublier, à faire avec, j'aurais du mal à m'dire que c'est finis. Finis, tu t'rends compte ? Finis, alors qu'on s'était promis l'éternité. Finis, ouais, finis comme le café du matin, la clope de midi, la bière de soirée. Terminé au bout de quoi ? Deux semaines ? Trois à tout casser, c'est triste comme la vie peut nous ramener sur terre en deux/deux. Moi j'avais envie d'y croire c'était bien partie et ça foire, encore, dis moi oui dis moi si j'ai fait quelque chose ? Parle moi putain, je tourne en rond j'ai l'impression de ressembler à ces chiens qui traînent dans la rue à guetter le moindre truc à grailler en rongeant une vieille semelle de pompes. Fais chier tu vois ça putain ? Tu vois ? Tu m'as attendrie, tu m'as charmée et maintenant j'l'ai dans le cul. Tu me rends dingue, j'en peux plus j'ai toujours envie de te voir, de te parler, d'entendre ta voix et puis merde à la fin. T'sais quoi c'est une bataille de merde que j'ai déjà perdu alors j'abandonne, c'était con de ma part t'es trop jeune fais ta vie mais dis moi au revoir correctement. Ou alors envoie moi me faire voir avec de la colère et des cris on oublie mieux, plus vite surtout parce que le truc c'est que j'étais en train de m'attacher à toi j'avais...non j'ai des sentiments mais ils me tuent je les supporte plus. Pitié fais taire tout ces bruits dans ma tête, fais taire mes sentiments, fais taire mon amour. Achève moi, si c'est pas toi qui le fait se sera moi, j'ai déjà la tête en vrac l'alcool battant le tempo dans mes tempes, les yeux éclaté et rouges j'y vois plus très clair la faute à cette roulé magique ou à mes larmes je sais plus. J'ai un problème ma tête marche plus bien je crois que je suis tombée amoureuse."

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"- À quoi ça sert ? À quoi ça sert d'aimer à s'en déchirer la poitrine ? D'aimer si fort que les étoiles en pâlissent, que les monts les plus hauts en tremblent, que la cime des grands séquoias en ploie. Dis moi Alex' à quoi ça sert ?
- À rien, strictement à rien. Tu vas souffrir, pleurer, en mourir parfois puis tu t'en relèvera et tu recommenceras. C'est un cercle vicieux : il te prend au corps et ne te lâche plus, il te tourmente jour et nuit sans relâche puis ; dans une ces nuit étrange sans étoiles ni lune tu te réveilleras à 2h du matin en larme, l'abandon comme seule arme face à ton désespoir. Tu vois Red je vais pas te raconter des salades : l'amour de notre époque est sale, perverti par les promesses creuses lancées au hasard, au petit bonheur la chance en espérant toucher au moins quelqu'un au risque de le faire souffrir mille peines. Mais moi je vais t'aimer, si fort que je balaierai les vents contraires qui te poussent dans les abysses du néant sentimental d'aujourd'hui. Je vais t'aimer à m'en saigner à blanc, écrire de mon sang ce que mon encre ne peut traduire, debout devant ta fenêtre crier à en perdre haleine, réveiller le voisinage et tes parents mon amour ne peut plus se taire : tu seras ma Juliette et moi ton Roméo. Je vais t'aimer en m'en faire exploser la cage thoracique. Mes bleus au coeur brûlent des tréfonds de mon corps, ils appellent ton être à me revenir ; tes baisers doux dans mon cou, le long de ma mâchoire carrée, tes mains dans mes cheveux accrochant férocement tirant et me rapprochant de tes douces lèvres ce divin délice, mes mains volatiles parcourant tes hanches, le creux de tes reins, te faire l'amour toute la nuit jusqu'aux premières lueurs du jour. Ça sert à ça l'amour, donner de l'espoir."

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"Parfois j'ai l'impression que tu me rapproches qui je suis, que dans ces mots que tu ne crois pas blessants tu me rapproches la vie que j'essaie de mener, dans ces regards en biais que tu juges mes actes. Tu ne vois pas les éclairs de tristesses dans mes yeux ? Tu ne ressens pas la douleur dans mes mots ? Tu ne comprends que j'essaie de renouer avec toi ? Ton indifférence me donne la nausée, fais naître mes larmes, engendre le mal qui me ronge. Mais bon sang tu ne vois pas la peine que tu me fais ? T'es aveugle ou quoi ? Tu le fais exprès. Dis moi que tu le fais exprès, pour me punir, me faire souffrir, dis moi que c'est ça. Dis moi que tu ne m'aimes plus, que pour toi la petite fille aux grandes billes sombres qui te suivais partout est morte, dis moi que je n'ai plus ma place à la même table que toi, dis moi que j'ai fauté, dis le moi.
Je me souviens d'un grand bonhomme aux épaules larges et trapus, un grand sourire sur le visage et de beaux yeux bleus aciers qui me portait à bout de bras à la découverte du monde, est ce que cet homme là aurait fait ça ? C'est drôle maintenant à part pour se crier dessus on ne se parle plus, on ne sait plus se parler. Je crois qu'on s'est déchiré pour la dernière fois, je l'ai vu dans tes yeux, je l'ai lu dans mes miens. J'ai cru perdre pied, là dans le reflet de cette flaque boueuse ils hurlaient ma résiliation, ma détresse et je ne pouvais rien y faire.
Dis moi est ce que mes appels au secours sont muets ? Ma voix c'est éteinte quand tu as détourné le regard, alors oui tout, tout est muet maintenant. Ton ombre au dessus de la tête pareil à l'épée de damocles j'ai peur, mes jours sont comptés. Mais tu sais je t'en veux pas, un jour tu comprendras en attendant je te dédis mes mots, mes larmes et je te dis au revoir.
Je t'aime."

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Ce n'était pas long juste le temps de quelques jours, le temps de se vider l'esprit, de décompresser. Une rencontre fortuite au détour d'un chemin sablonneux, un grand sourire et deux/trois mots. Puis c'est devenu plus que ces petits mots, c'était des fous rires, des chamailleries d'enfants, des sentiments doux et sucrés, c'était beaux.
Le temps n'étant pas infini ni même arrêtable il y avait forcément une fin, ça aurait pu finir en larmes, en effusion d'un sentimentalisme niais que je ne supporte pas, je ne voulais pas ça. Non moi je voulais que ça finisse en rires, ces doux sons résonnant à mes oreilles, pensant mes maux, alors je t'ai quitté ce matin là en te faisant rire.
C'était beaux parce que c'était éphémère. Mais si je te promets qu'on se reverra bientôt c'est qu'on se reverra, pour passer de nouveaux moments d'une beautés éphémères et parfaite.
Je te revois bientôt dans notre monde de bonheur éphémère.

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"Eh ouais petite, t'as essayée comme tous, et tu t'es brisée les os, comme tous. Tu voulais jouer les grande fille insensible, maintenant tu pleurs, de tes beaux yeux rien ne ressortira plus jamais embellit, plus d'amour, plus de joie, plus de haine, plus rien. Plus de vie dans se corps frêle et glauque baladé par l'orage, de gauche à droite ta tête dodeline, de haut en bas tes yeux miroitent une meilleure fin, plus abrupte, plus définitive, une fin à la hauteur de tes espérances déchues. T'as tout perdue, tu t'en mords les doigts n'est ce pas ? C'est dommage, t'avais tout pour plaire : une belle gueule, une petite voix qui ravissait chacun, un corps bien foutu et t'étais équilibrée toi mais t'as tout foutu en l'air comme à l'accoutumé. Tu fais n'importe quoi, le pire c'est que tu le cherches, tu cherches à atteindre tes limites celles du monde tu veux toujours tout repousser même la vie. Jusqu'au jour où c'est elle qui te repoussera dans les bras tendres de la mort, c'est elle que, désespérément tu veux rejoindre non ?
Eh gamine regarde par ici, vois toutes les choses que tu vas louper, se serai bête de se priver de la vie quand elle a encore tant à t'apporter ?
Eh gamine lève les yeux, perds les dans l'immensité de la nuit, noies les d'étoiles, tu sais que la plus part sont déjà mortes quand leurs lueurs nous parviennent ?
Eh gamine ouvre ta bouche, ta si jolie voix à tellement à raconter, plaints toi c'est ton heure ne les laisses pas gagner, comment te vengerai tu sinon ?
Eh gamine écoute moi, juste une dernière fois, l'ultime fois et après je taille la route, ouais tu vas vivre et tu sais pourquoi ? Parce que c'est le moment, celui que t'as toujours attendus, ouais celui là même qui fera battre ton coeur mort, celui qui va te faire aimer la vie, c'est le moment de déployer tes ailes et de te libérer.
T'as jamais suivis le même tempo que les autres, toujours décalée, c'était ta force face au vent bourru de la vie. T'es morte comme t'as vécu, dans la magnificence totale de ton être."

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"Dans le ciel étoilé je perds mes yeux, des éclairs zèbre le ciel par moment, enragé comme mes sentiments, ils se défoule violemment. C'est la magnificence de la haine. De ma haine, tu m'as brisée comme jamais personne ne l'a fait avant, brisé mon coeur, brisé mon esprit, brisé mon corps, brisé toute entière je dois me reconstruire. Tout ces mots, toutes ces promesses au final de belles paroles en l'air. Je dois fuir, je ne supporte plus cette souffrance. Me demandez plus d'aimer c'est impossible à présent, le simple fait de prononcer ces trois mots me rends nauséeuse. Love Story de P!nk à fond dans les oreilles, je n'ai jamais écris un texte d'amour qui ne finisse sans larmes. Je fuis, je ne sais et n'ai jamais su faire autre chose que ça. Alors aujourd'hui, ce soir et pour tous les jours à suivre je fuis encore ; je fuis toutes ces choses qu'il y a quelques semaines me rendais heureuse. J'ai été blessé, je le suis toujours à en crever c'est si douloureux de devoir dire adieu à la personne qu'on aime. Si douloureux que je ne veux pas me relever, pas tout de suite j'ai besoin d'être à terre le nez dans la poussière, respirer ce mélange explosif de peine et de rage, battre des points, laisser couler toutes ces maudites perles salées. J'ai besoin de faire mon deuil de ce bonheur révolu, rien n'y fait je n'arrive pas à l'enterrer, j'y tiens encore beaucoup trop. Je tiens encore beaucoup trop à toi, t'as voix joyeuse quand je te téléphonais, tes yeux brillant de mille et une étoiles, ta gentillesse, ton amour même feint j'y tiens toujours. Soit heureuse, toi la personne magnifique qui a fait de ma vie un paradie pendant un mois et treize jours, tu le mérites, sincèrement. Je ne peux peut être pas passer à autre chose pour l'instant après m'être battue si longtemps mais avec le temps ça viendra, mes espoirs de te voir revenir mourront et seulement à ce moment je saurai que c'est la fin de mon amour. J'aurai toujours une infinie tendresse pour toi, c'est comme ça je n'y peux rien alors va mais pense à moi quand même par moment. Car avant d'être cette part si immense de mon coeur, tu as été mon amie et tu le seras toujours. C'est la fin aujourd'hui et depuis une semaine de tout ça, mais le recommencement de notre amitié, je l'espère.
Adieu toi qui a su réchauffé mon coeur meurtri, tu m'as sortie de la flaque dans laquelle je pataugeais pour me balancer dans l'océan mais les malheurs savent nagés et deviennent de beaux souvenirs. Mes beaux souvenirs nostalgiques. Merci pour tout, je t'aimerai pour le reste de ma vie.
Coeur épris qui croyait prendre."

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