Imagine une rencontre de vacance qui habite à l'opposé de chez toi et que tu ne verras sûrement jamais. Écris moi quelques phrases s'il te plaît.
Ce n'était pas long juste le temps de quelques jours, le temps de se vider l'esprit, de décompresser. Une rencontre fortuite au détour d'un chemin sablonneux, un grand sourire et deux/trois mots. Puis c'est devenu plus que ces petits mots, c'était des fous rires, des chamailleries d'enfants, des sentiments doux et sucrés, c'était beaux. Le temps n'étant pas infini ni même arrêtable il y avait forcément une fin, ça aurait pu finir en larmes, en effusion d'un sentimentalisme niais que je ne supporte pas, je ne voulais pas ça. Non moi je voulais que ça finisse en rires, ces doux sons résonnant à mes oreilles, pensant mes maux, alors je t'ai quitté ce matin là en te faisant rire. C'était beaux parce que c'était éphémère. Mais si je te promets qu'on se reverra bientôt c'est qu'on se reverra, pour passer de nouveaux moments d'une beautés éphémères et parfaite. Je te revois bientôt dans notre monde de bonheur éphémère.
"Eh ouais petite, t'as essayée comme tous, et tu t'es brisée les os, comme tous. Tu voulais jouer les grande fille insensible, maintenant tu pleurs, de tes beaux yeux rien ne ressortira plus jamais embellit, plus d'amour, plus de joie, plus de haine, plus rien. Plus de vie dans se corps frêle et glauque baladé par l'orage, de gauche à droite ta tête dodeline, de haut en bas tes yeux miroitent une meilleure fin, plus abrupte, plus définitive, une fin à la hauteur de tes espérances déchues. T'as tout perdue, tu t'en mords les doigts n'est ce pas ? C'est dommage, t'avais tout pour plaire : une belle gueule, une petite voix qui ravissait chacun, un corps bien foutu et t'étais équilibrée toi mais t'as tout foutu en l'air comme à l'accoutumé. Tu fais n'importe quoi, le pire c'est que tu le cherches, tu cherches à atteindre tes limites celles du monde tu veux toujours tout repousser même la vie. Jusqu'au jour où c'est elle qui te repoussera dans les bras tendres de la mort, c'est elle que, désespérément tu veux rejoindre non ? Eh gamine regarde par ici, vois toutes les choses que tu vas louper, se serai bête de se priver de la vie quand elle a encore tant à t'apporter ? Eh gamine lève les yeux, perds les dans l'immensité de la nuit, noies les d'étoiles, tu sais que la plus part sont déjà mortes quand leurs lueurs nous parviennent ? Eh gamine ouvre ta bouche, ta si jolie voix à tellement à raconter, plaints toi c'est ton heure ne les laisses pas gagner, comment te vengerai tu sinon ? Eh gamine écoute moi, juste une dernière fois, l'ultime fois et après je taille la route, ouais tu vas vivre et tu sais pourquoi ? Parce que c'est le moment, celui que t'as toujours attendus, ouais celui là même qui fera battre ton coeur mort, celui qui va te faire aimer la vie, c'est le moment de déployer tes ailes et de te libérer. T'as jamais suivis le même tempo que les autres, toujours décalée, c'était ta force face au vent bourru de la vie. T'es morte comme t'as vécu, dans la magnificence totale de ton être."