Enfin une question intéressante putain.
Je mets tout mon amour sur ma pizza.
Et aprĂšs je la mange tendrement.
Je marchais tranquillement en ville et je suis tombé là -dessus, je crois qui en a un qui n'a pas géré son bac.
Elle avait ce genre de sourire qui transperce l'Ăąme, tu sais celui capable de te faire oublier tout, mĂȘme le pire des blĂąmes.
Une envie meurtriĂšre mĂȘlĂ©e a une vie des plus Ă©phĂ©mĂšres, suivis d'un sourire narquois masquant malicieusement un des sentiments les plus froids.
Nous sommes les instigateurs de notre propre perte.
Ă croire que pour vivre, aujourd'hui, il ne faut penser qu'Ă soi
que les sentiments n'ont plus leurs places dans ce monde sans foi ni loi.
Finalement, je pense que je m'y suis bien intégré
et qu'une absence de certaines émotions futiles est aujourd'hui un gage de force et de témérité.
Mais Ă force, la lassitude de la vie prend le dessus,
Représentée par un manque constant de surprise et d'imprévu.
Peut-ĂȘtre arrivera-t-il quelque chose d'inĂ©dit
qui viendra ainsi briser cette monotonie.
Que se passera-t-il quand l'ĂȘtre humain ne pourra subsister, quand il se rendra compte de sa lĂąchetĂ© face Ă l'adversitĂ©, regrettera-t-il toutes ses erreurs passĂ©es? Non, il se mettra sĂ»rement Ă injurier cette sociĂ©tĂ© qu'il aura lui-mĂȘme crĂ©Ă©e, celle la mĂȘme dont il a assurĂ© la pĂ©rennitĂ©.
Une envie soudaine de vouloir t'enlacer, cachant pourtant une seule peine celle de ne pas t'avoir à mes cÎtés.
On nous ment jours aprĂšs jours,
De belles promesses cachant les plus noirs desseins
Ne représentant qu'une humanité au bord du déclin.
Et il y a moi, perdu dans ce bordel sans nom
Qui pourtant ne cherche que des solutions.
J'ai une furieuse envie de croquer ces lĂšvres.