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Question libre : postez ce que vous voulez.

Tout chez toi m'attire. Que ce soit ta bouche quand elle sourit, que ce soit tes yeux qui me cherchent, tes mains sur mes courbes, ton rire quand tu oses, tes cheveux qui bouclent sous mes doigts. Je n'arrive pas à me passer de toi, de cette essence que tu es pour moi. Tout est si beau lorsque je suis à coter de toi, tout ces problèmes semblent si loin, tout va tellement bien. Tu es celui dont j'ai besoin. Tu es celui qui n'est plus là.

[QG] Thème : Faux espoirs.

Pourquoi m'avoir fait tant croire ? Moi qui ne comptais pas t'accorder ma confiance. Tu me l'auras arrachée si facilement. J'ai été bête, je l'admets. J'ai cru en toi plus qu'en n'importe quoi. À qui la faute, en même temps ? Je ne te blâmerai pas. Après tout, tu n'y es pour rien. Mais la prochaine fois, je t'en prie, explique-moi la raison du pourquoi. Tu m'as obligée à espérer pour pouvoir mieux me laisser. Te souviens-tu seulement ? J'avais beau crier ton nom, t'hurler de m'expliquer ... C'était trop tard. Ma voix ne te parvenait pas.

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Angel.
"
Vous avez un regard singulier et charmant ;
Comme la lune au fond du lac qui la reflète,
Votre prunelle, où brille une humide paillette,
Au coin de vos doux yeux roule languissamment ;
Ils semblent avoir pris ses feux au diamant ;
Ils sont de plus belle eau qu'une perle parfaite,
Et vos grands cils émus, de leur aile inquiète,
Ne voilent qu'à demi leur vif rayonnement.
Mille petits amours, à leur miroir de flamme,
Se viennent regarder et s'y trouvent plus beaux,
Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux.
Ils sont si transparents, qu'ils laissent voir votre âme,
Comme une fleur céleste au calice idéal
Que l'on apercevrait à travers un cristal."

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feelings.
Je ne te l'avouerai probablement jamais, mais tu me manques atrocement. Je ne peux pas mentir sur ce fait, j'ai un besoin irrémédiable de toi. Inconcevable. Je n'arrive pas à tirer un simple trait, je devrai, mais j'arrive pas. Je pense à toi tous les jours, toutes les heures. Ça m'en arrache le cœur. Et j'ai besoin de l'écrire, de faire autre chose que le ressentir mais je ne peux vraiment pas te le dire. Je suis tellement désolée pour ce que j'ai fait, ce que j'ai dis. J'ai été égoïste. Pardonne-moi, mon ange. Mais je ne reviendrai pas malgré ce manque qui me prend à la gorge.
Liked by: Mylène feelings.

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ettolrahC
Janvier.
Après avoir passé deux années entières à se tourner l'un autour de l'autre, ce petit jeu est terminé. Tu me manques déjà. Nos deux semaines passées à tenter tant bien que mal de nous rapprocher, de nous comporter comme nous l'avons toujours rêvé, font parties du passé.
Malgré notre rupture il y a de cela un an, nous n'avons pas cessé de nous séduire. À un moment, ça s'est terminé, pour immédiatement recommencer. Au nouvel an, nous avons perdu chacun de notre côté. Il avait suffit que tu m'embrasses pour m'électriser et que je sois à ta merci. Je ne m'en suis même pas voulu, tu sais. Tout ce que je me disais, c'était "Enfin je le retrouve". J'avais attendu un an pour te sentir à nouveau tout contre moi.
Nous avons recommencé. Une seconde fois. Ou peut-être une troisième ? Je ne sais plus compter. Je me sentais tellement bien, mon amour. Je voulais tout de toi. Je te voulais entier. Nous nous sommes embrassés, comme jamais nous ne nous étions embrassés. C'était un baiser plein de bonheur de retrouvailles et de peur d'une nouvelle séparation.
Nous sommes passés outre ces amères sentiments qui se mélangeaient en une douce sensation d'extase. Qu'aurions-nous fait, si nous avions su que ce baiser était un message du passé ? Ce passé qui nous poursuivait sans se soucier de nous faire replonger.
Oh, mon ange, tu me manques tellement. Pourquoi a-t-il fallu que ça se passe comme ça ? Il te suffisait de me dire ces mots que j'attendais depuis une année... Mais tu n'y es pas arrivé.
Je voulais plus. Je veux toujours plus, toujours trop. J'en suis désolée. Tu devais repartir, mon amour. Je n'avais pas d'autre choix que te conforter dans ton idée de partir sans me regretter... Alors je t'ai dit qu'il fallait que ce soit fini. Tu m'as écouté, avec tes yeux qui trahissaient ta détresse et ton désir, comme lors de la dernière fois. Tu te souviens ? Lorsque tu m'as embrassée pour la première fois.
Tu m'as écouté. Tu alternais entre ma bouche et mes yeux, ne sachant pas quoi écouter. Les mots qui sortaient de ma bouche, ou les mots que te transféraient mes yeux ? Tu n'as jamais su. Tu t'es contenté d'hocher la tête et de te retourner. Je t'ai suivi des yeux jusqu'au bout. Tu ne m'auras pas lancé un seul dernier regard. C'était bel et bien terminé.
Janvier. Un mois que je saurai à présent appréhender.

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Liked by: ettolrahC

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"À présent que tout est clair, à présent que la réalité s'est frayée un chemin en moi, à présent que je le sais, à présent, je comprend.
Tous ces rêves, mes rêves, avec ta présence dans chacun d'eux, ces moments que je passe à tes cotés, aimée, de courte durée mais intensément, immensémement. Avec toi, mon amour.
Le jour, face à toi, j'ai beau te sourire et te dire que je vais bien, que c'en est fini, que je ne pense plus à toi... Tous nos souvenirs hantent mes nuits, ma vie. Ta bouche contre la mienne, ton corps contre le mien, oh, si tu savais tout ce que je ferais pour te sentir réellement, là, maintenant.
À présent, je comprends.
J'ai le besoin irrépressible de te ressentir.
À présent que je comprends, je me rends compte que vivre sans toi m'est impossible.
Alors laisse-moi me réfugier dans tes bras, je t'en prie.
Donne vie à mes nuits."

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Kenza
"Vous avez un regard singulier et charmant ;
Comme la lune au fond du lac qui la reflète,
Votre prunelle, où brille une humide paillette,
Au coin de vos doux yeux roule languissamment ;
Ils semblent avoir pris ses feux au diamant ;
Ils sont de plus belle eau qu’une perle parfaite,
Et vos grands cils émus, de leur aile inquiète,
Ne voilent qu’à demi leur vif rayonnement.
Mille petits amours, à leur miroir de flamme,
Se viennent regarder et s’y trouvent plus beaux,
Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux.
Ils sont si transparents, qu’ils laissent voir votre âme,
Comme une fleur céleste au calice idéal
Que l’on apercevrait à travers un cristal."

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"Au pays parfumé que le soleil caresse,
J’ai connu, sous un dais d’arbres tout empourprés
Et de palmiers d’où pleut sur les yeux la paresse,
Une dame créole aux charmes ignorés.
Son teint est pâle et chaud; la brune enchanteresse
A dans le cou des airs noblement maniérés;
Grande et svelte en marchant comme une chasseresse,
Son sourire est tranquille et ses yeux assurés.
Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire,
Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire,
Belle digne d’orner les antiques manoirs,
Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraites
Germer mille sonnets dans le coeur des poètes,
Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs."

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Hallway.
"La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu
C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d’une couvée d’aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l’innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards."

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"Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
(...)
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
(...)
L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini.
(...)
Que ferais-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !"

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"Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire."

Écris ce que tu veux ici.

"Elle était pourtant belle la vie quand t'étais pas partis. J'comprends vraiment pas c'qui t'as pris, pourquoi t'as voulu partir ainsi ? J'me sentais bien, moi. Mais sûr'ment qu'c'était pas ton cas à toi.. Bébé, t'étais toute ma p'tain d'vie. Aujourd'hui, y a plus qu'la nostalgie. Elle me hante jour et nuit, c'est plus possible. Et cette mélancolie, elle aussi ! Pourtant, j'ai pas arrêté d'toucher du bois. C'était maladroit, j'sais bien. Mais putain, mon amour, j'étais tellement bien."

[QG] - Qu'est ce que les ténèbres pour vous ? Je vous demande de m'exposer votre pensée en un texte un minimum structuré ( Musiques, photos, etc peuvent être utilisées si elles appuient et illustrent bien votre texte.) Bonne soirée <3

Chocorow’s Profile PhotoOrion
"-T'es là d'puis combien d'temps ?
-J'sais pas, j'compte plus.
-Mais pourquoi tu restes dans ce noir ? Je n'te vois même pas.
-J'aime bien. J'aime bien rester dans le noir des jours entiers, à ruminer ma rage, à attendre que la tristesse me submerge, à ne pas être obligée de regarder le monde tomber. J'suis bien, dans mes ténèbres. J'pense, j'réfléchis, j'oublie. Ça m'permet d'm'évader l'temps d'un p'tit instant. Et puis comme ça, quand j'sors d'ces ténèbres, j'profite encore plus de la p'tain d'vie. 'Fin, j'essaye. J'fais tout pour. Allez, laisse-moi. Toute façon t'y comprends rien, toi."

[QG] Pour ma part je suis très renfermée sur moi même en ce qui concerne mes sentiments, je ne supporte pas de les montrer c'est pourquoi je les garde toujours au fond de moi. Et toi, es-tu plutôt du genre à exprimer tes sentiments ou à les garder pour toi? Et pourquoi agis-tu de cette façon?

"-Attends! Attends, j'te dis!
-Non.
-Ça va pas ?
-Pourquoi ça n'irait pas ?
-Tu réponds pas à ma question, comme toujours.
-J'veux pas t'répondre.
-Pourquoi ça va pas ?
-J'ai jamais dis qu'ça allait pas.
-Certes, mais t'as pas b'soin d'répondre, t'sais. J'sais très bien qu'tu vas pas bien, j'te connais. C'est quand tu te refermes sur toi-même sans prévenir personne que ça va pas. Depuis l'temps, j't'ai appris. Alors, dis moi c'que t'as.
-Ça avancerait à quoi que j'te l'dise ? C'est pas en te l'disant qu'mes problèmes vont s'envoler d'un coup, c'est pas comme ça que j'me délivrerai d'mes angoisses. J'ai pas b'soin d'te l'dire, si j'le fais tu t'sentiras mal et t'auras pitié pour moi, et j'veux pas ça. J'aime pas quand les gens t'regardent avec ce p'tit regard, ce p'tain d'regard qui te fait aller encore plus mal. J'veux pas t'dire, j'peux pas. Tu risquerais d'partir, te sentant inutil, alors qu'tu l'es pas.
-T'es admirable, t'sais. À garder tous tes sentiments au plus profond d'toi même, j't'admire. Mais j't'en prie, juste une fois dans ta vie, crache ta peine. Vomis moi ta haine, hurle ta peur. J'serai là, j'serai toujours là, j't'en fais la promesse. Et j't'aiderai, quoi qu'il arrive."

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[QG] J'ai envie d'en savoir encore plus sur toi c'est pourquoi j'aimerai que tu me racontes en détails une seule et unique journée de ta vie qui t'a marqué. Qu'elle ait été positive ou non, peut importe. Ajoute une image qui correspond à ta réponse s'il te plait. Des bisous!

"Tu t'rappelles ?
Avant que tu ne disparaisses, tu t'rappelles de notre journée riche en caresse ?
Moi, j'm'en souviens. C'était un lundi 20, une journée froide et tourmentée.
Octobre.
T'es venu chez moi après les cours, tu souffrais d'mon absence.
Tu t'es pointé sans m'prévenir, tu m'as vu et tu t'es mis à rire.
Un rire étranglé, un rire qui chassait tes larmes qui menaçaient de couler.
Je t'ai amené dans ma chambre et tu m'as tirée. Impuissante, j'suis tombée dans tes bras et tu m'as plaquée sur ton torse.
-Me laisse plus, ai-je chuchoté.
-Plus jamais.
Mes jambes se sont dérobées et j'suis tombée, mais tu m'as rattrapée.
Tu m'as déposée sur le lit et tu m'as caressée, le bras, le dos, le ventre, les ch'veux, les joues, le cou, la cuisse.
J'avais le souffle court, tu faisais tout pour.
Mais, pas une seule fois, tu m'auras embrassée. Et pourtant, Dieu sait à quel point j'en avais envie.
Final'ment, tu as embrassé mon front et tu t'es levé.
J'voulais te prendre la main et plaquer mes lèvres sur les tiennes, mais j'ai pas pu. J't'ai juste regardé me regarder avec ton regard plein d'désir d'détresse.
Et t'es partis. Encore."

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{Thème du jour} Froid,Nuit,Sombre,Hiver.

Marina
"La lune parvenait pas à éclairer ton visage mon amour, j'étais déstabilisée sans les traits d'ton visage sous mes yeux.
J'avais l'impression de parler dans l'vide, mais ptêtre que c'était ça, au fond.
Je parlais, j'arrêtais pas, j'te crachai à la gueule tous mes maux, tous mes maux qui sont apparus en même temps que toi.
M'écoutais-tu seulement ?
Je m'arrachai les ch'veux, je m'efforçai de t'faire comprendre que c'était plus possible, qu'c'était fini.
Mais tout c'que j'voyais c'était cette buée qui sortait de ta bouche à chaque expiration, seul signe de ta p'tain d'présence.
Et puis t'as fais ce pas, t'es passé sous ce p'tit rayon de lune et j't'ai vu.
J'en ai eu le souffle coupé, j'pouvais plus rien dire.
Tes yeux, mon ange... tes yeux paraissaient si résignés, si las, mais si désireux.
-Pourquoi tu m'fais endurer c'te merde? me demandas-tu.
-J'sais pas moi-même. J'sais plus. J'suis paumée, tout c'que j'vois c'est mon putain d'amour que j'ai pour toi et ça m'ronge de l'intérieur, j'sature. Comprends-moi steuplait, m'fais pas éterniser ces adieux.
-Mais j'peux pas, bébé. J'peux pas t'laisser partir. J'suis innocent dans ton bagne, un ange dans ton enfer. Tu peux pas m'rejeter juste parce que t'es effrayée, t'as pas l'droit. J'veux pas qu'tu t'en ailles pour ça, j't'en prie. Reste, t'es indispensable dans ma vie, t'es mon héroïne, j't'ai dans mes veines j'peux pas renoncer à toi.
-Mais p'tain tu peux pas m'dire ça, j'te crois pas! J'te crois pas, tais-toi, part..
-Mais j't'aime à en crever!
-C'est ça, le problème! C'est qu'moi aussi, j't'aime à m'en arracher la peau. J't'aime trop pour continuer à vivre. J'en crève, moi aussi.. Vois le mal qu'ça nous fais, vois les loques qu'on est d'venus. C'plus possible, rends toi à l'évidence mon coeur..
J'suis partie. J'ai couru. L'air fouettant mes joues mouillées, j'courrais comme une force née. J'me suis retournée et j't'ai vu, dos à moi, les bras ballants sur les cotés d'ton corps.
Tu t'es écroulé au sol et t'as enfoncé ta tête dans tes mains.
Un cri inhumain est sortit de ta bouche, un cri d'détresse pure.
J'ai fais un pas en arrière, les lèvres tellements serrées qu'elles en étaient blanches.
Alors qu'tu frappais le sol de ton poingt, j'me suis tirée. J'suis lâche.
Une larme s'insinua dans ma bouche, elles dévalaient sur mes joues.
"La douleur a le goût de sel", pensai-je.
J'suis désolée, ma vie. Mais c'est fini."

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