"Être fort" que cela signifie pour vous ? #Qg
être fort c'est assumer qui on est.
Ask @JulietteZaouis
L'amour rend fou -
Je hais l'amour. C'est simple, je hais ce sentiment. Il m'as rongée, torturée, il a faillit me tuer, et je pourrai très facilement y repasser. J'envie ces personnes qui n'ont encore jamais connu l'amour et qui le vivront comme une incroyable révélation. J'envie ces gens qui aiment ce sentiment. J'envie ces gens qui n'ont pas besoin de le ressentir. J'envie ceux qui le vivent. J'envie ceux qui baisent avec ce sentiment plus fort que du simple désir. Mais je ne fais partie d'aucun de ces gens-là. Moi je suis de ceux qui ont le coeur brisé, incinéré. De ceux qui ont un coeur qui ne leur servent simplement qu'à exister. De ceux qui sont constamment dans le manque et dans une alternative bizarre d'espoir et de désespoir. De ceux qui pensent être maudis. De ceux qui ont l'impression d'avoir déjà tous les bons souvenirs de leur vie. De ceux qui se donnent la mort parce qu'ils ressentent comme moi ces sentiments impurs. L'amour m'a rendue folle, dans le côté le plus obscur.
Écris.
Je veux à nouveau ouvrir mon putain de coeur, le sentir battre et exploser pour quelqu'un, pour quelque chose, juste le sentir, sentir que je vis et que je peux tout reconstruire..
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Depuis que je ne suis plus en conflit avec moi-même, je commence à me dire que je ne veux plus être en conflit avec personne. Parce que c'est pesant, et j'en ai finit avec ces broutilles d'enfant. Si mentalement je vivrai indéfiniment dans une illusion, je veux influencer ceux qui m'entourent pour ne plus voir de cons. J'aimerai détester moins de monde, surtout que la plupart du temps ce n'est que pas préjugés, je réalise que c'est immonde. J'aimerai que ça change, arriver à aimer à nouveau après lui, ce blondinet à la gueule d'ange. J'aimerai qu'on me pardonne de me conduire comme une conne, parce que parfois les souvenirs remontent et c'est douloureux, je me renferme dans ce brouillard aveuglant et brumeux. Je ne veux plus que tout soit comme avant, au contraire, je veux avancer le regard droit devant, vers l'avenir, le regarder pour une fois avec confiance et désir. Et le bonheur, combien de fois je l'ai appelé malgré toute la rancœur, au fond bien plus que la mort et la maigreur, mais j'ai compris qu'il ne fallait pas le faire chier, qu'il venait quand bon lui semblait. Qu'avec lui c'est "Fuis-moi je te suis". On ne parlera pas de l'amour, c'est à lui de faire le premier pas maintenant, car je pense mériter au moins la moitié de ce que j'ai pu ressentir, ce qui était si puissant et destructif, plus un martyre qu'un plaisir. Alors maintenant, je vais de l'avant, en essayant de ne rien raccrocher au passé, car il est mort et enterré comme celle que j'étais, mais malheureusement, les morts vivants existent.
Qu'as-tu à dire à la vie ?
C'est pas la mort, et elle peut être jolie.
Parlez moi. De tout, ou de rien. Mais parlez moi. Dites moi ce que vous voulez. Ce à quoi vous pensez.
Je pense, j'suis même sûre que j'aurai pu en crever de cet amour maladif, empoisonné, mais aujourd'hui c'est cet amour qui est mort, et moi qui suit encore là, j'aurai dû penser que cette situation finale aurait été logique et évidente, dès le début. J'aurai dû, mais pendant 2 ans j'ai rien comme il fallait, j'me faisait des films, une illusion du monde, qui n'étaient ni réels ni envisageables, j'étais innocente, et finalement même si j'voudrai rester dans l'monde des gamins jusqu'à la fin, c'est cool de franchir quelques étapes et d'être à moitié adulte, et j'dis jamais ça normalement mais dans la vie y a vraiment des fils de pute.
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Putain mais dites-moi quand est-ce que ça va s'arrêter...
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Nouvelles fêlures d'un nouvel amour. Amour est bien grand mot, mais là j'en vois pas d'autres, alors je l'emploie malgré que ce soit sans y croire. De toute manière, je n'en ai pas envie. J'ai aucune envie d'aimer, verbe qui est devenu pour moi synonyme de mourir. Je l'aimait à en crever et ça me détruisait à petits feux. Avec ce nouveau gars j'avais l'impression d'être une nouvelle fille, d'être spéciale. C'était une trop grande importance qu'il me donnai, même si pour lui ça devait sûrement pas être grand chose, mais pour moi c'était beaucoup, mais pas trop, enfin je crois. Je ne suis pas amoureuse, je ne l'aime pas, mais je l'apprécie. Ça par contre c'est déjà trop, mais rien que ça ça va me prendre du temps d'arrêter. J'ai l'impression d'avoir rêvé, imaginé, inventé ces jolis moments à deux et ces sentiments foireux, parce qu'aujourd'hui je réalise que c'était bien trop beau, c'est d'ailleurs bien pour ça que. Merde, les mots me manquent tout à coup.
#QG On a tous une personne qui nous ai chère. Quelle est la votre ? Pourquoi ? Image, texte... Tout est la bienvenue.
Parce que. E est un véritable trésor que j'ai trouvé au coin de ma vie. C'est une pianiste chantant du lyrique, et elle m'a composé ça.
"Juliette"
"Si les vents emportent le temps
Que le ciel de mille nuages
A nos joies fait bouclier
A nos peines fait rempart,
Alors sache en quelle pureté
Mon cœur serein t'a aimée.
Et si le monde ne nous veut plus
Que nos rondes le font souffrir,
Soyons l'égoïsme-même,
A nous deux nous serons Reines
De la lune pleine
Et du doux soleil.
Je sais le monde dur
Comme je te sais forte
Je sais la vie peu sûre
Mais sois cette lionne féroce
Faisant tomber les murs.
Et si tes craintes se confirment,
Que la vie t'assassine
Oublie ta peur, oublie ta peine
Et pense à ceux qui t'aiment.
Mais t'en fais pas Juliette,
T'en fais pas Juliette, t'en fais pas Juliette...
Et si ta peur est de l'avenir
Du présent pouvant te détruire
Réveille-toi, réveille-moi
Je serai à jamais là pour toi.
Tu es l'ange de ma vie,
Le pansement de mes mélancolies.
Et la vie vaut le coup d'être vécue
Lorsque ton rire a été entendu.
Et ni la misère, ni la guerre,
Ni l'avenir, ni la colère
N'auront raison de nous...
...Car tu es mon tout.
Juliette, Juliette
Tu m'embêtes
Quand ton sourire s'évanouit
Reste auprès de moi jusqu'à l'infini,
Je t'offrirai ma joie,
Tout cela est à toi.
Et si tes craintes se confirment,
Que la vie t'assassine
Oublie ta peur, oublie ta peine
Et pense à ceux qui t'aiment.
Mais t'en fais pas Juliette,
T'en fais pas Juliette, t'en fais pas Juliette...
Juliette, sans toi je me décharne
Juliette, sans toi je me désarme
Ne verse plus de larmes..."
E, sam6fev.
"Juliette"
"Si les vents emportent le temps
Que le ciel de mille nuages
A nos joies fait bouclier
A nos peines fait rempart,
Alors sache en quelle pureté
Mon cœur serein t'a aimée.
Et si le monde ne nous veut plus
Que nos rondes le font souffrir,
Soyons l'égoïsme-même,
A nous deux nous serons Reines
De la lune pleine
Et du doux soleil.
Je sais le monde dur
Comme je te sais forte
Je sais la vie peu sûre
Mais sois cette lionne féroce
Faisant tomber les murs.
Et si tes craintes se confirment,
Que la vie t'assassine
Oublie ta peur, oublie ta peine
Et pense à ceux qui t'aiment.
Mais t'en fais pas Juliette,
T'en fais pas Juliette, t'en fais pas Juliette...
Et si ta peur est de l'avenir
Du présent pouvant te détruire
Réveille-toi, réveille-moi
Je serai à jamais là pour toi.
Tu es l'ange de ma vie,
Le pansement de mes mélancolies.
Et la vie vaut le coup d'être vécue
Lorsque ton rire a été entendu.
Et ni la misère, ni la guerre,
Ni l'avenir, ni la colère
N'auront raison de nous...
...Car tu es mon tout.
Juliette, Juliette
Tu m'embêtes
Quand ton sourire s'évanouit
Reste auprès de moi jusqu'à l'infini,
Je t'offrirai ma joie,
Tout cela est à toi.
Et si tes craintes se confirment,
Que la vie t'assassine
Oublie ta peur, oublie ta peine
Et pense à ceux qui t'aiment.
Mais t'en fais pas Juliette,
T'en fais pas Juliette, t'en fais pas Juliette...
Juliette, sans toi je me décharne
Juliette, sans toi je me désarme
Ne verse plus de larmes..."
E, sam6fev.
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"Le désirer fait-il de moi une criminelle?"
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J'suis la p'tite conne, la p'tite saloperie comme ils disent. La fille pas net, la grande tige, la grande Juliette. C'est les adultes qui m'appellent comme ça, plus précisemment ma famille, avant, mais pas plus tard qu'hier une très vieille amie de ma mère. Affectueusement ça aurait été Juju, mais eux non, de cette manière ils ne me voyent plus. Ils me placent dans le cliché typique de l'adolescent. La fénéante, la rebelle qui s'en branle de tout et de tout le monde, celle qui joue les dépressives et qui s'abrutit toute la journée avec des ondes. Bordel, j'veux bien accepter qu'ils aient vu, entendu, vécu les mêmes choses et d'autres encore avant moi, mais c'est pas une raison pour se prendre pour des rois, la vie est semblable mais bien différente pour chacun, j'aimerai qu'ils arrêtent de me traiter comme une moins que rien. J'fais de mon mieux pour aller mieux, et ils veulent encore tout gâcher. Un jour L m'a dit "Pourquoi faut toujours que les adultes rendent tout compliqué?", et elle avait raison la p'tite. C'est pour ça que j'veux pas grandir, je suis terrifiée par le fait de grandir, c'est pas comme ça que j'veux devenir. De toute façon je n'ai jamais réussis à bien me tenir, j'partirai forcément bien plus encore en vrille dans 5 ans, alors laissez-moi me construire, occupez-vous du temps qu'il vous reste à vivre.
Parlez-moi de ce que vous ressentez.
Mon âme avait quitté mon corps un moment. C'était un corps présent, qui bougeait, avait l'air de vivre, mais ce n'était rien d'autre qu'un cadavre animé.C'est fou à quel point rien que le fait d'être humain rend les choses réalistes, mais le plus important ce n'est pas l'extérieur, j'suis sûre que mêmes ces pimbêches que je déteste le soir elles aussi elles ont peur, et qu'elles chialent de douleur. Ce qui est important à l'extérieur c'est les cicatrices, les cernes, ces marques si descriptives et significatives, mais sourire tout le monde est capable de le faire. C'que je ressens maintenant, maintenant que mon âme, cette lâche, a finit par se repointer avec ma raison et ma dignité, c'est tout en même temps, c'est puissant, violent, mais ça fait se sentir vivant, même plus que vivant, t'es un survivant, et même si parfois c'est douloureux, que ça empêche d'être heureux, ça te prouve que t'es là pour de bon, et que t'as encore le temps de faire de nouvelles choses maintenant que t'es moins con. J'suis ni bien ni mal, ni sauvée ni foutue, encore étourdie et un peu perdue, mais j'suis, je suis, tout simplement, c'est déjà beaucoup, j'ai réalisé que peut-être ça en valait finalement le coup. Dis-toi bien que ça ne tient qu'à toi, fais de toi ce que tu veux, y a aucune règle pour ça, ni de loi. Choisis de mourir ou de vivre, mais toujours dignement, tu finiras bien par atteindre le firmament.
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"En fait j'sais pas si c'est moi qui suit trop exigeante ou si c'est les autres. Je sais plus si c'est eux ou moi le problème.
-Exigeante c'est-à-dire?
-Ils attendent trop de moi, ils voudraient que je leur donne tout ce que j'ai, dans le ventre, dans la tête, dans le coeur. Mais j'ai déjà donné, et beaucoup trop, même bien plus que ce que j'avais, et ça m'a vraiment crevée.
-T'avais comme l'impression que les autres absorbaient tout ce qu'il y avait en toi?
-C'est ça, et quand on reçoit rien en retour, ça fatigue. Je leur ai donné tout ce que j'avais de bon, alors il ne me restait que le mauvais, ce qui m'a détruite, et aujourd'hui, j'saurai pas vous dire ou dire à qui que ce soit que j'vais bien, mais pas non plus que j'vais mal. En fait j'en sais rien de comment j'vais. C'est comme un grand vide. Dans ma tête c'était que j'méritais pas l'bonheur et ce fichu amour, c'était que ça, et ça l'est encore, alors j'sais pas, j'sais plus s'il faut garder espoir, y croire, alors j'essaie de ne pas y penser. Certes ça reste toujours vide, mais au moins pour le moment c'est calme et silencieux là-dedans, alors j'profite, c'est pas si fréquent.. "
Moi et une certaine personne, 05/12, 12h30.
-Exigeante c'est-à-dire?
-Ils attendent trop de moi, ils voudraient que je leur donne tout ce que j'ai, dans le ventre, dans la tête, dans le coeur. Mais j'ai déjà donné, et beaucoup trop, même bien plus que ce que j'avais, et ça m'a vraiment crevée.
-T'avais comme l'impression que les autres absorbaient tout ce qu'il y avait en toi?
-C'est ça, et quand on reçoit rien en retour, ça fatigue. Je leur ai donné tout ce que j'avais de bon, alors il ne me restait que le mauvais, ce qui m'a détruite, et aujourd'hui, j'saurai pas vous dire ou dire à qui que ce soit que j'vais bien, mais pas non plus que j'vais mal. En fait j'en sais rien de comment j'vais. C'est comme un grand vide. Dans ma tête c'était que j'méritais pas l'bonheur et ce fichu amour, c'était que ça, et ça l'est encore, alors j'sais pas, j'sais plus s'il faut garder espoir, y croire, alors j'essaie de ne pas y penser. Certes ça reste toujours vide, mais au moins pour le moment c'est calme et silencieux là-dedans, alors j'profite, c'est pas si fréquent.. "
Moi et une certaine personne, 05/12, 12h30.
Écris-moi quelques lignes pour pourraient m'apaiser...
Ju était si mignonne avec son regard ahuri plongé dans le mien, sa tête étonnée où là-dedans elle devait se poser pleins de questions. J'ai aimé qu'on soit là pour moi, qu'on m'aide, et qu'on me dise que non, je n'suis pas une merde. J'sais pas c'que je ferai, où je serai, sans ceux qui m'ont conduite jusqu'ici, qui m'ont donné d'une manière ou d'une autre des leçons de vie, qui m'ont permis d'avancer tant bien que mal dans ce brouillard et ces journées noires, qui elles m'ont donné un visage pâle, des yeux fatigués et l'esprit légèrement embrouillé et confus au quotidien. Des fois j'aime balancer n'importe quoi, tout c'que j'vois, tout ce qui se passe dans ma tête, balancer des trucs incohérents, mais juste parce que c'est con mais un peu marrant, et c'est ce qui me correspond. Imprévisible ou presque, un peu conne mais avec des limites, ou presque. Non, on enlève les limites, c'est chiant, y a pas de limites si on veut s'amuser, profiter pleinement, et c'est c'que j'veux, comme ça que j'veux vivre, parce que j'veux vivre, parce que j'suis en vie, et c'est pas finit, rien ni personne, pas même ce bordel qui a dans ma tête de conne ne pourra me descendre et réduire mon corps et mon âme en cendres. Désormais je sais que je ne suis plus seule, et vous avez pas finit de voir ma gueule.
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Je vous en pris, expliquez-moi pourquoi tout semble si triste pour tout le monde? Pourquoi nous sommes une jeunesse qui voit, pour la plus part, plus de noir que de rose? Pourquoi avons-nous, maintenant, tant de misère à être heureux? Expliquez-moi avec un texte ce qui cloche dans nos vies.
Ma mère dit que c'est le propre de l'adolescence, nous on dit qu'à cet âge-là on a perdu notre insouciance. Mais le vrai problème il est là. On se soucie de tout, on se bouffe les doigts pour un petit je-ne-sais-quoi, on change d'humeur d'un coup, on n'est que nostalgiques et parfois on s'inquiète tellement qu'on en devient névrotiques. On fait des choses dépourvues de sens et on répond avec nonchalance, on est toujours fatigués, les traits tirés et le coeur brisé. Mais au fond, tout ce bordel, c'est juste pour nous faire évoluer et nous faire voir la vie plus belle. Les premières années sont forcément rudes puisqu'on a pas l'habitude, et la clé c'est pas de se demander où est le bonheur, car il n'est pas caché. Il est à nos pieds, et si vous continuez à vous faire la guerre, vous allez lui marcher dessus, et il va finir sous terre, et vous devrez creuser pour aller le chercher. C'est encore plus chiant mais c'est pas foutu. C'est pas facile d'être heureux, mais faut y arriver si on veut mourir vieux.
Comment perçois-tu la vie à l'heure d'aujourd'hui ?
Les gens me délaissent parce qu'ils sont heureux, et ça me blesse. De toute façon le bonheur, c'est pour les prétentieux. Moi j'les tiens pas en laisse, j'vais pas leur courir après, à être sans arrêt derrière leurs fesses. S'ils veulent partir, ils partent, de toute façon il en vaut mieux ainsi pour moi étant donné que c'est ce qui se produit depuis des mois et des mois. Je ne vis plus pour personne, ça sert à rien, parce que c'est pas l'un d'entre eux qui est ton ange gardien, et ils ne seront pas forcément là quand t'auras plus rien demain. Puisqu'ils réagissent comme ça, va pas te casser la gueule et finir étouffé par tes merdes parce que t'auras décidé de te préoccuper des leurs et d'ignorer les tiennes. On ne peut pas encore posséder quelqu'un quand on est vivant, alors y a que toi qui peut faire marcher un peu ton cerveau et aller de l'avant.
Et si on allait danser?
Allons-y, ma beauté.
Allons danser.
Exprimons-nous, à la limite de la folie, je n'ai plus envie de me taire.
Après tout qu'est-ce qu'on a d'autre à faire?
Avec toi je suis bien, les envieux peuvent aller s'faire foutre.
Avec toi j'me sens mieux, mes problèmes de mes deux j'en ai plus rien à foutre.
Ils se noient dans ton sourire.
Ils n'arrivent plus à me faire souffrir.
Avec toi tout est tellement plus simple.
Toutes les mauvaises choses se dissipent et les fous rires se défilent.
Avec toi, j'me rend compte de ce qu'est la vraie vie, la vraie amitié.
Avec toi, c'est comme un p'tit comte de fée.
J'men branle d'être un peu niaise dans ce poème.
J'avais juste envie de t'faire comprendre que j'taime.
P'tite merdeuse.
C'est nous-là dessous, les deux chieuses.
Allons danser.
Exprimons-nous, à la limite de la folie, je n'ai plus envie de me taire.
Après tout qu'est-ce qu'on a d'autre à faire?
Avec toi je suis bien, les envieux peuvent aller s'faire foutre.
Avec toi j'me sens mieux, mes problèmes de mes deux j'en ai plus rien à foutre.
Ils se noient dans ton sourire.
Ils n'arrivent plus à me faire souffrir.
Avec toi tout est tellement plus simple.
Toutes les mauvaises choses se dissipent et les fous rires se défilent.
Avec toi, j'me rend compte de ce qu'est la vraie vie, la vraie amitié.
Avec toi, c'est comme un p'tit comte de fée.
J'men branle d'être un peu niaise dans ce poème.
J'avais juste envie de t'faire comprendre que j'taime.
P'tite merdeuse.
C'est nous-là dessous, les deux chieuses.
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"-Mais qu'est-ce qui t'arrives, t'as bu ou quoi?
-Ouais, je bois tes paroles, et ça me saoule si tu savais."
-Ouais, je bois tes paroles, et ça me saoule si tu savais."
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Mes sentiments sont confus, mes idées et mes pensées s'entretuent, je n'y arrive plus. Mon coeur s'écorche comme de l'écorce. C'est pas que j'ai envie, c'est pas que j'ai la force, mais j'me force. C'est trop embrouillé là-dedans, c'est trop flou, y a trop de brouillard on arrive plus à voir à travers, j'sais plus où donner de la tête, j'sais plus ce que j'dois faire. J'sais que j'ai nulle part où aller alors j'continue sur ma lancée, mon destin et mon avenir sont là et pas ailleurs, mais y a quelque chose que j'ressens, quelque chose qui m'fait peur. C'est tout au fond de moi, ça monte parfois, ça remonte à la surface, c'est là, limite à déborder, je suis prête à succomber. Mais j'me tais, même si ça m'effraie. À suivre..
Parle-moi de toi, avec des mots plus ou moins bien agencés... T'es-tu déjà posé la question : Qui suis-je, au fond ?
Je n'suis qu'une illusion. Pardonnes-moi de faire ma philosophe à la con. J'suis que d'passage, tout n'est que de passage, même la Terre, alors à quoi bon?
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Be your everything.
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Risibles amours.
IDJ/QG: Bonsoir, et pardonnez moi de mon absence encore une fois. Ce soir j'aimerais voir une partie triste de vous, que vous vous devoiliez joliment. Bonne nuit à tous 🌌
Pourquoi est-ce encore si dur de tout reconstruire, alors que j'ai fais partir tous ceux qui arrivaient sournoisement à me nuire? J'me suis rendue compte de plein de choses, que l'amitié c'est pas toujours comme on le croit, pas toujours tout beau tout rose, mais plus tout confus tout faux-cul. J'invente des expressions d'merde parfois, j'sais, j'avais juste envie de trouver un truc qui pourrait bien sonner. J'me revois arpenter les rues de ma ville, pendant toute une nuit en fuyant les gens pas cleans, j'pouvais plus rentrer chez moi. J'me revois à moitié morte et gelée sur un banc en pierre, au bord d'un ruisseau, avec le vent glacial et mes affaires qui étaient tombées dans l'eau, toute une nuit encore, j'pouvais encore moins rentrer chez moi. J'me revois me tailler de chez moi en douce, à minuit, attendre le bus et entre-temps me faire siffler par des cassos de mon quartier, j'flippais mais j'étais en même temps tellement heureuse, j'suis allée le retrouver mais tout ça pour finir à m'effondrer comme une couille en m'roulant par terre et en m'mettant en position foetale dans le coin d'un immeuble. J'me rend compte que j'prends des risques, et que ça a toujours été l'occupation qui m'amusait le plus. Dans ma période timide, kikoo et tête de turc, j'voulais faire ça, m'rebeller m'affirmer, montrer que j'avais un truc. Après tout, on a tous ce truc, à nous, qui nous différencie de chacun. C'est quoi le tiens? Le vôtre? J'sais pas pour vous, mais moi j'crois l'avoir trouvé, pourtant, j'arriverai pas à te l'expliquer, à te dire ce que c'est. Mais bon, je l'ai.
(c'est moi là-dessous).
(c'est moi là-dessous).
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Toujours le même fond d'écran.
Toujours les mêmes âmes d'enfants.
Toujours la même musique.
Toujours des moments fantastiques.
Toujours les mêmes sourires.
Toujours les mêmes fous rires.
Toujours tes belles phrases.
Toujours de mauvaises impasses.
Rien ne change, et ça me va.
Notre amitié je l'aime comme ça.
"Toujours en cercle serré, toujours debout".
Toujours nous, pour toujours.
Toujours les mêmes âmes d'enfants.
Toujours la même musique.
Toujours des moments fantastiques.
Toujours les mêmes sourires.
Toujours les mêmes fous rires.
Toujours tes belles phrases.
Toujours de mauvaises impasses.
Rien ne change, et ça me va.
Notre amitié je l'aime comme ça.
"Toujours en cercle serré, toujours debout".
Toujours nous, pour toujours.
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J'voudrais voyager, partir, comme pour m'enfuir, me sentir bien et enfin libre.
J'voudrais arriver à faire le point, à m'dire où j'en suis aujourd'hui, si je suis bien comme ça, savoir ce qui est saint pour moi, savoir si j'ai fais les bons choix.
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J'voudrais arriver à faire le point, à m'dire où j'en suis aujourd'hui, si je suis bien comme ça, savoir ce qui est saint pour moi, savoir si j'ai fais les bons choix.
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[QG] Que ressentez-vous ces temps-ci? Parlez-moi de vos sentiments.
J'voulais ressentir un truc tu vois! Quelque chose de puissant, quelque chose de fort, quelque chose de vivant, j'voulais sentir qu'à l'intérieur tout n'est pas mort, qu'il y a du mouvement! J'voulais ressentir quelque chose qui aurait pu me faire bondir, frissonner, frémir, tout. J'voulais tout à la fois, comme un électrochoc tu vois? Quelque chose qui me ramènerait sur Terre, face à la vie, tout en m'emmenant carrément dans un autre monde, dans un autre univers, une autre dimension. J'voulais autre chose, quelque chose de mieux, quelque chose de vrai, j'voulais un truc réel qui se passe dans la vie de n'importe quelle autre fille. J'voulais aimer, mais aimer quelqu'un qui m'aurai donné envie d'aimer tu vois, qui m'le fasse pas payer.
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J'me sens plus forte, et j'veux le montrer. J'veux plus être faible, mais à quel prix?
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