Quelle est ton passe-temps préféré?
Ask @EmeryckM
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L'été touche à sa fin! Qu'as-tu préféré faire cet été?
•Mes vacances dans le sud
•La voir (c'était le cas, ne pas le dire ce serait mentir)
•Mes lectures
•Les différentes sorties avec mes amis
•Les nouvelles partitions que j'ai déchiffrées. (Il faudrait d'ailleurs peut-être que je range mon piano..)
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bara
Hannibalement votre.
Trounormand
Masha
Hana
Mc Solaar est une très bonne référence tout de même aha.
Sans doute, j'aime assez ses textes : je les trouve assez travaillés tant sur le plan rythmique que sur les références : il fait référence au "monstre aux yeux verts" (la jalousie) de Shakespeare, une fois, il me semble.
People you may like
Quand on vous dit rap, vous pensez a qui ? A quoi ?
Mc Solaar, mais vu mes piètres connaissances dans le domaine, ce n'est pas vraiment à moi qu'il faut demander ça, ahah.
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Masha
Cendrier plein et stylo vide.
Montrez moi un message qui vous a fait plaisir.
Je ne partagerai pas les messages que je reçois car je n'aime pas étaler ma vie "privée" sur ask : je vais donc simplement me contenter de partager une vidéo que j'aime beaucoup : celle où René Char lit quelques de ses "feuillets d'Hypnos" ; je dois dire que son accent du sud m'a plutôt étonné, au début.
https://www.youtube.com/watch?v=Fdi7dGgVd8w
https://www.youtube.com/watch?v=Fdi7dGgVd8w
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waltz for venus
[QG] Bonsoir... Aujourd'hui « Hauteur sourde ». Coeur sur vous.
Bonsoir,
Aujourd'hui, je vous propose un morceau de Iannis Xenakis : il s'agit de Metastasis. Xenakis (élève dans la classe de composition d'Olivier Messiaen) va développer une musique de masse - ou stochastique - qui s'oppose au sérialisme de l'époque : c'est une musique qui fonctionne par "blocs" de son ; c'est pourquoi j'ai trouvé que ça correspondait au thème "hauteur (de note, ici) sourde".
https://www.youtube.com/watch?v=SZazYFchLRI
J'y joins un texte tiré d'un recueil intitulé "Entrevoir" de Paul de Roux :
"Le matin frémit à peine derrière les murs
ce sont des robinets qu'on ouvre, un pas dans l'escalier
ah ! que suis-je maintenant à cette table ?
et que serai-je demain ? Comme l'esprit est lent à s'animer !
Inventer un esprit tout neuf, dit la pensée.
Inventer, inventer ! et je n'entends qu'un train
le même tous les jours, qui ne va qu'en banlieue.
Et crier me dégoûte."
Aujourd'hui, je vous propose un morceau de Iannis Xenakis : il s'agit de Metastasis. Xenakis (élève dans la classe de composition d'Olivier Messiaen) va développer une musique de masse - ou stochastique - qui s'oppose au sérialisme de l'époque : c'est une musique qui fonctionne par "blocs" de son ; c'est pourquoi j'ai trouvé que ça correspondait au thème "hauteur (de note, ici) sourde".
https://www.youtube.com/watch?v=SZazYFchLRI
J'y joins un texte tiré d'un recueil intitulé "Entrevoir" de Paul de Roux :
"Le matin frémit à peine derrière les murs
ce sont des robinets qu'on ouvre, un pas dans l'escalier
ah ! que suis-je maintenant à cette table ?
et que serai-je demain ? Comme l'esprit est lent à s'animer !
Inventer un esprit tout neuf, dit la pensée.
Inventer, inventer ! et je n'entends qu'un train
le même tous les jours, qui ne va qu'en banlieue.
Et crier me dégoûte."
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Nellyce
Aujourd'hui, cinq écrivains non-français que vous admirez.
Bien :
•Fiodor Dostoïevski
•Samuel Beckett (l'innommable, c'est juste extraordinaire !!)
•François Cheng
•Federico Garcia Lorca
•Rainer Maria Rilke
•Fiodor Dostoïevski
•Samuel Beckett (l'innommable, c'est juste extraordinaire !!)
•François Cheng
•Federico Garcia Lorca
•Rainer Maria Rilke
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waltz for venus
Psyché
Une question technique : http://www.festival-avignon.com/fr/spectacles/2015/fugue ; comment en effet accepter une inharmonie nécessaire, par l'inaccomplissement du cycle des quintes ?
C'est vrai que c'est assez incroyable : notre système tempéré est en réalité basé sur des approximations ; et, lorsqu'on se dit ça, ça fait bizarre.
C'est un sujet très intéressant !
C'est un sujet très intéressant !
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En descendant les Fleuves impa
Et les cahiers de gammes/études jaunis et en état de décomposition <3
Avec les doigtés en énorme ! Le fameux Hanon et les études de Czerny.. Mon dieu... ^^
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En descendant les Fleuves impa
אלאוֹס
Je comprends. Pour ma part, je suis mal à l'aise avec les partitions vierges, j'ai la sensation que la musique a plus vécu quand il y a plein de gribouillis partout... Je suis bizarre, je sais !
Non non, je comprends totalement, mais à force, ça devient vraiment illisible ! Ma prof m'avait prêté sa partition de la septième sonate de Prokofiev, on ne voyait plus grand chose tant il y avait d'annotations de ses professeurs !
C'est drôle, je parcourais les photos des partitions que tu as postées et je me demandais : tu n'aimes pas annoter ?
Cela dépend des partitions : les partitions que je déchiffre brièvement, je ne les annote quasiment pas ; en revanche, ma partition des «Jeux d'eau» ou des «Feux d'artifice» sont pas mal annotées, avec pas mal de doigtés et quelques conseils.
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T-Rex
Ce soir, j'aimerais que vous me donniez sept grands écrivains français que vous admirez.
- René Char
- Marcel Proust
- Jacques Dupin
- Yves Bonnefoy
- Pierre Reverdy
- Albert Camus
- Stéphane Mallarmé
C'est vraiment pas évident de ne retenir que sept noms !
- Marcel Proust
- Jacques Dupin
- Yves Bonnefoy
- Pierre Reverdy
- Albert Camus
- Stéphane Mallarmé
C'est vraiment pas évident de ne retenir que sept noms !
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Risibles amours.
Vagabonde des nuages.
Octopode
אלאוֹס
Qu'est-ce que la musique classique t'inspire ?
Énormément de choses : elle est si riche.
Rien qu'en se restreignant à un auteur, ça m'inspire plusieurs choses. Prenons Mozart : dans sa seizième sonate pour piano, on ressent toute la candeur, l'innocence qu'on retrouve assez souvent chez Mozart mais il existe cependant des œuvres assez tragiques comme le quatuor avec piano en sol mineur ou certains moments de la 25ème symphonie.
C'est pareil chez Beethoven : entre le brio du cinquième concerto pour piano, le bouillonnement de la dernière sonate pour piano ou l'intimité, le recueillement du quatorzième quatuor à cordes.
Debussy m'inspire le vide, les grands espaces ; Chostakovitch, l'expression tragique de l'existence ; Scriabine, le mysticisme ; Dutilleux, le flamboiement...
Je pourrais continuer comme ça longtemps.
Rien qu'en se restreignant à un auteur, ça m'inspire plusieurs choses. Prenons Mozart : dans sa seizième sonate pour piano, on ressent toute la candeur, l'innocence qu'on retrouve assez souvent chez Mozart mais il existe cependant des œuvres assez tragiques comme le quatuor avec piano en sol mineur ou certains moments de la 25ème symphonie.
C'est pareil chez Beethoven : entre le brio du cinquième concerto pour piano, le bouillonnement de la dernière sonate pour piano ou l'intimité, le recueillement du quatorzième quatuor à cordes.
Debussy m'inspire le vide, les grands espaces ; Chostakovitch, l'expression tragique de l'existence ; Scriabine, le mysticisme ; Dutilleux, le flamboiement...
Je pourrais continuer comme ça longtemps.
-
Ce livre est vraiment fabuleux, dommage qu'il ne soit pas autant connu que «L'étranger» ou «La Peste».
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אלאוֹס
Ama.
Monochrome Boat.
Douce Violence
C'est la journée de la relaxation. Comment en profiteras-tu?
On ne change pas les bonnes habitudes ! Vraiment fabuleuse et bluffante, cette sonate de Liszt !
[QG] Bonsoir... Aujourd'hui « Fétide remors ». Cœur sur vous.
Bonsoir,
Aujourd'hui, je vous propose le troisième mouvement de la troisième symphonie de Brahms, c'est une pièce très connue, mais que j'aime assez.
https://www.youtube.com/watch?v=ixOdOMfgMLw
J'y joins un poème d'Yves Bonnefoy tiré des "Planches Courbes" :
"Je m'éveillai, c'était la maison natale,
Il faisait nuit, des arbres se pressaient
De toutes parts autour de notre porte,
J'étais le seul sur le seuil dans le vent froid,
Mais non, nullement seul, car deux grands êtres
Se parlaient au-dessus de moi, à travers moi.
L'un, derrière, une vieille femme, courbe, mauvaise,
L'autre debout dehors comme une lampe,
Belle, tenant la coupe qu'on lui offrait,
Buvant avidement de toutes sa soif.
Ai-je voulu me moquer, certes non,
Plutôt ai-je poussé un cri d'amour
Mais avec la bizarrerie du désespoir,
Et le poison fut partout dans mes membres,
Cérès moquée brisa qui l'avait aimée.
Ainsi parle aujourd'hui la vie murée dans la vie."
Aujourd'hui, je vous propose le troisième mouvement de la troisième symphonie de Brahms, c'est une pièce très connue, mais que j'aime assez.
https://www.youtube.com/watch?v=ixOdOMfgMLw
J'y joins un poème d'Yves Bonnefoy tiré des "Planches Courbes" :
"Je m'éveillai, c'était la maison natale,
Il faisait nuit, des arbres se pressaient
De toutes parts autour de notre porte,
J'étais le seul sur le seuil dans le vent froid,
Mais non, nullement seul, car deux grands êtres
Se parlaient au-dessus de moi, à travers moi.
L'un, derrière, une vieille femme, courbe, mauvaise,
L'autre debout dehors comme une lampe,
Belle, tenant la coupe qu'on lui offrait,
Buvant avidement de toutes sa soif.
Ai-je voulu me moquer, certes non,
Plutôt ai-je poussé un cri d'amour
Mais avec la bizarrerie du désespoir,
Et le poison fut partout dans mes membres,
Cérès moquée brisa qui l'avait aimée.
Ainsi parle aujourd'hui la vie murée dans la vie."
Joues-tu d'un instrument?
Oui, du piano, c'est un instrument avec une palette de couleurs tellement incroyable ! Des aigus ruisselants comme dans les "Jeux d'eau" de Ravel aux basses profondes du début de la "Fantaisie" opus 49 de Chopin, on peut tout faire au piano - enfin, presque...
Question, question... VOILA. Pour vous, c'est quoi le/la prof parfait(e) ? Quelle qualité doit-il/elle avoir ? (Oui, ça peut même être des gros nichons ou des abdos saillants mais pas les deux en même temps quand même.)
Pour moi un prof parfait doit :
- Être patient.
- Être vraiment clair et concis dans ses explications.
- Être passionné par ce qu'il fait et le montrer.
- Se faire respecter tout en instaurant une relation de confiance avec ses élèves.
- Être à l'écoute de ses élèves.
- Être sympathique et agréable même si ça tombe sous le sens.
- Ne pas hésiter à prendre le temps de discuter avec ses élèves après le cours, c'est vraiment important, je trouve.
- Connaître vraiment bien son sujet et être à l'aise avec.
Je pense que ça me semble suffisant.
- Être patient.
- Être vraiment clair et concis dans ses explications.
- Être passionné par ce qu'il fait et le montrer.
- Se faire respecter tout en instaurant une relation de confiance avec ses élèves.
- Être à l'écoute de ses élèves.
- Être sympathique et agréable même si ça tombe sous le sens.
- Ne pas hésiter à prendre le temps de discuter avec ses élèves après le cours, c'est vraiment important, je trouve.
- Connaître vraiment bien son sujet et être à l'aise avec.
Je pense que ça me semble suffisant.
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Lou Russier
Ama.
Monochrome Boat.
R.
Contraposée
Masha
TornReader
Sammy
Nadir
Quel livre nous conseillerais-tu ?
Un seul livre, oh, ce serait trop compliqué. Je vais faire une petite liste :
•Marcel Proust: À la recherche du temps perdu
•Eugène Ionesco: La cantatrice chauve - la leçon
•Samuel Beckett: L'innommable
•René Char: Fureur et Mystère
•Emmanuel Levinas: Altérité et transcendance
J'ai mis du théâtre, de la philo, du roman et de la poésie pour la diversité.
•Marcel Proust: À la recherche du temps perdu
•Eugène Ionesco: La cantatrice chauve - la leçon
•Samuel Beckett: L'innommable
•René Char: Fureur et Mystère
•Emmanuel Levinas: Altérité et transcendance
J'ai mis du théâtre, de la philo, du roman et de la poésie pour la diversité.
Tu as un avis sur G. Crumb ?
Je connais mal mais le peu que je connais ( Vox Balenæ, Black Angels, Macrokosmos ) m'a assez plu. Il faudrait que je réécoute car cela fait assez longtemps.
[QG] Bonsoir... Aujourd'hui « Flammèches de lin ». Coeur sur vous.
Bonjour,
Je vous propose aujourd'hui une pièce d'un compositeur dont je n'ai encore - je crois - jamais parlé : il s'agit de Béla Bartόk. Je vous partage une série de pièces courtes, contrastées : les études opus dix-huit. La première est typiquement dans le style de Bartok avec ses accents irréguliers (0'32-0'34) puis tout ce grondement s'élève dans une fureur incroyable pour aboutir sur des accord stridents et passer dans l'aigu.
La deuxième est beaucoup plus paisible : arpèges ruisselants, chant évoqué très simplement à la main gauche, puis le propos commence à prendre de l'ampleur et va explorer les différentes tessitures du piano, ça s'agite et puis Bartόk explore les possibilités sonores du piano avec des "vagues" de quintes, tierces et autres intervalles (aux alentours de quatre minutes) qui rendent vraiment une sonorité envoûtante.
La troisième : élans de délire et rythmes irréguliers si chers à Bartόk. Cette troisième étude se finit assez étrangement, d'ailleurs : Bartόk semble y poser une sorte de question avec ce thème si nu, présenté en octaves ; ce sol (première note de la dernière mesure) très interrogatif. Par les cinq notes finales, Bartόk va nous pondre une sorte de "je ne sais pas." avec ces intervalles de septième majeure, dissonants mais si colorés et cela ne se résout pas, la question reste en suspens.
- C'est mon interprétation donc c'est totalement subjectif. -
https://www.youtube.com/watch?v=G2E058Ep99Y
Pour accompagner ces études, je joins un poème de Jacques Dupin - poète ô combien génial. Il est tiré du "Corps Clairvoyant" et intitulé "Le cœur par défaut"
"Une fleur de givre entre deux rafales
Ne l'arrête pas.
Ô cendre éprise sous la langue,
Brèche dans l'horizon !
Entre ce roc bondé d'étoiles et son sosie le gouffre
L'édifice du souffle est une seconde prison.
À la place du cœur
Tu ne heurteras, mon amour, que le luisant d'un soc
Et la nuit grandissante..."
Je vous propose aujourd'hui une pièce d'un compositeur dont je n'ai encore - je crois - jamais parlé : il s'agit de Béla Bartόk. Je vous partage une série de pièces courtes, contrastées : les études opus dix-huit. La première est typiquement dans le style de Bartok avec ses accents irréguliers (0'32-0'34) puis tout ce grondement s'élève dans une fureur incroyable pour aboutir sur des accord stridents et passer dans l'aigu.
La deuxième est beaucoup plus paisible : arpèges ruisselants, chant évoqué très simplement à la main gauche, puis le propos commence à prendre de l'ampleur et va explorer les différentes tessitures du piano, ça s'agite et puis Bartόk explore les possibilités sonores du piano avec des "vagues" de quintes, tierces et autres intervalles (aux alentours de quatre minutes) qui rendent vraiment une sonorité envoûtante.
La troisième : élans de délire et rythmes irréguliers si chers à Bartόk. Cette troisième étude se finit assez étrangement, d'ailleurs : Bartόk semble y poser une sorte de question avec ce thème si nu, présenté en octaves ; ce sol (première note de la dernière mesure) très interrogatif. Par les cinq notes finales, Bartόk va nous pondre une sorte de "je ne sais pas." avec ces intervalles de septième majeure, dissonants mais si colorés et cela ne se résout pas, la question reste en suspens.
- C'est mon interprétation donc c'est totalement subjectif. -
https://www.youtube.com/watch?v=G2E058Ep99Y
Pour accompagner ces études, je joins un poème de Jacques Dupin - poète ô combien génial. Il est tiré du "Corps Clairvoyant" et intitulé "Le cœur par défaut"
"Une fleur de givre entre deux rafales
Ne l'arrête pas.
Ô cendre éprise sous la langue,
Brèche dans l'horizon !
Entre ce roc bondé d'étoiles et son sosie le gouffre
L'édifice du souffle est une seconde prison.
À la place du cœur
Tu ne heurteras, mon amour, que le luisant d'un soc
Et la nuit grandissante..."
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Nellyce
Aaaah génial ! Merci pour toutes ces références. Je viens de les noter. Je te dirai ce que j'en pense, bien sûr ! Tu m'inities à un monde inconnu, c'est trop bien.
D'accord, génial !
Ahah, ravi que ça te plaise autant ; c'est si vaste, y'a tellement de choses différentes qui se font : il y en a pour tous les goûts, vraiment. Bon après, y'a des choses plus "radicales".
En tout cas, bonne soirée (nuit ?) à toi. Si tu veux venir parler, n'hésite pas, tu as l'air d'être quelqu'un d'intéressant, au vu de ton ask, du moins. :)
Ahah, ravi que ça te plaise autant ; c'est si vaste, y'a tellement de choses différentes qui se font : il y en a pour tous les goûts, vraiment. Bon après, y'a des choses plus "radicales".
En tout cas, bonne soirée (nuit ?) à toi. Si tu veux venir parler, n'hésite pas, tu as l'air d'être quelqu'un d'intéressant, au vu de ton ask, du moins. :)
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Masha
D'ailleurs, tu as l'air d'avoir de sacrées connaissances en matière musicale. Tu es musicien ? Tu étudies la musique ?
Je joue du piano et écris de la musique, oui.
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Afélis.
T-Rex
Goran Laptovsky
Masha
Tu m'as fait découvrir plus en profondeur Boulez, que je ne connaissais et n'écoutais que trop peu - grâce à Connes notamment, le mathématicien. J'ai pris note des noms dont tu fais mention. Ils m'intéressent. Merci beaucoup du partage, dans tous les cas.
Ah oui, ils ont fait une conférence sur les mathématiques et la musique, ensemble, non ? Boulez, c'est un génie, compositeur très méticuleux (il va parfois jusqu'à réviser plus de cinq fois ses œuvres), un génie de l'orchestration.
Si tu veux découvrir davantage Boulez, tu peux écouter le "Livre pour cordes" qui est la transcription de trois parties de son "Livre pour quatuor" ; tu verras, c'est fascinant, de la très belle matière orchestrale. Tu peux également écouter "Sur Incises" : une pièce vraiment dynamique (du moins, dans sa première partie). Tu peux éventuellement essayer "Dérive I" mais ses sonates pour piano sont assez difficiles d'accès, ç'a été écrit durant les années 40-50, c'est sériel à souhait - mais une fois qu'on les a domptées, c'est génial !
Si tu veux quelques noms pour la musique contemporaine, je te conseille :
- Pascal Dusapin : Aufgang (géant !!), Quatuor à cordes n°3, Galim
- Henri Dutilleux: Ainsi la nuit, Symphonie n°2, Sonatine pour flûte et piano, Métaboles
- Guillaume Connesson (beaucoup plus tonal): Les chants de l'Agartha, Supernova, Sextuor (éventuellement.)
- Philippe Manoury: Sound and Fury, Passacaille pour Tokyo
- Kaija Saariaho: L'aile du songe
- Philippe Hurel: Pour l'image, Leçon de choses
- Hugues Dufourt: Le Cyprès Blanc, Lucifer d'après Pollock, Surgir
- Tristan Murail: Le lac, Treize Couleurs du soleil couchant, Vues aériennes, Gondwana
- Franco Donatoni: Spiri, Flag
Bon, ça fait déjà pas mal !
Oh, de rien, c'est normal ! Je serais intéressé de connaître ton avis une fois les morceaux écoutés.
Si tu veux découvrir davantage Boulez, tu peux écouter le "Livre pour cordes" qui est la transcription de trois parties de son "Livre pour quatuor" ; tu verras, c'est fascinant, de la très belle matière orchestrale. Tu peux également écouter "Sur Incises" : une pièce vraiment dynamique (du moins, dans sa première partie). Tu peux éventuellement essayer "Dérive I" mais ses sonates pour piano sont assez difficiles d'accès, ç'a été écrit durant les années 40-50, c'est sériel à souhait - mais une fois qu'on les a domptées, c'est génial !
Si tu veux quelques noms pour la musique contemporaine, je te conseille :
- Pascal Dusapin : Aufgang (géant !!), Quatuor à cordes n°3, Galim
- Henri Dutilleux: Ainsi la nuit, Symphonie n°2, Sonatine pour flûte et piano, Métaboles
- Guillaume Connesson (beaucoup plus tonal): Les chants de l'Agartha, Supernova, Sextuor (éventuellement.)
- Philippe Manoury: Sound and Fury, Passacaille pour Tokyo
- Kaija Saariaho: L'aile du songe
- Philippe Hurel: Pour l'image, Leçon de choses
- Hugues Dufourt: Le Cyprès Blanc, Lucifer d'après Pollock, Surgir
- Tristan Murail: Le lac, Treize Couleurs du soleil couchant, Vues aériennes, Gondwana
- Franco Donatoni: Spiri, Flag
Bon, ça fait déjà pas mal !
Oh, de rien, c'est normal ! Je serais intéressé de connaître ton avis une fois les morceaux écoutés.
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En descendant les Fleuves impa
T-Rex
Masha
Tu déchires niveau goût en musique ! J'aime beaucoup tes recommandations.
Oh, c'est très gentil. Ce n'est pas toujours de la musique facile à écouter, pourtant. Quand il s'agit de Beethoven, Chopin, Liszt, Debussy, ça va mais lorsqu'on passe à des choses plus éloignées de la tonalité comme Boulez, Murail, Dufourt, etc. c'est vite "dissonant" (dit-on) et ça peut rebuter.
En tout cas, je suis content que mes recommandations te plaisent !
En tout cas, je suis content que mes recommandations te plaisent !
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