Il est dix neuf heures. Cela fait huit ans. Et je pense à toi. Ou plutôt à absence. De ta putain de mort. Je devrais pas pourtant. Je ne devrais plus. Çà devait être fini. Passé. Effacé. Je veux vivre. Laisse moi vivre. Va-t-en. Je ne veux plus de toi dans ma vie. Je ne veux plus de cette peur. Plus de cette souffrance. J'ai mal. J'ai mal putain. Je ne serais jamais sauvée. Jamais guérit. Aujourd'hui cela semble certain. Ma vie est plutôt belle. Je suis bien entourée et du monde sur qui compter. Et je trouve le moyen de penser à toi. De faire des putains de cauchemars. C'est ne sera finit n'est ce pas ? C'est foutu.
On est jeunes. On se teste. On s'entraîne dans nos différentes conneries. On s'acharne à vouloir désobéir à ses parents. On boit, on fume, on se drogue pour paraître "cool" et fermer les yeux sur les problèmes que la vie nous impose. On joue avec les sentiments, on s'attache à des personnes puis on termine par les détester quelqu'en soit la raison. On se moque de notre futur. On profite de la vie. C'est pas d'ici vingt ans qu'on pourra le faire, on aura un travail, une famille à s'occuper. On sera sur un chemin déjà tracé. On ne pourra plus sortir le soir, fumer un joint avec les potes du quartier, on ne pourra plus mentir pour obtenir un peu plus de liberté. Non. On ne pourra plus rien faire de tout ça. Alors nous sommes jeunes et nous vivons le jour le jour sans s’inquiéter de ce qui peut nous advenir.
"Arrête. Arrête de déprimer, fais moi un sourire s'il te plait. Non un vrai. T'es pas la seule à être tombée, à avoir ouvert les yeux trop tard sans voir que déjà tu glissais. T'es pas la seule à avoir connue un chagrin d'amour, à avoir sentie ton cœur battre comme un tambour. On est tous passé un jour par la, on est tous un jour descendu au plus bas. Moi aussi, je croyais plus en rien, je croyais plus aux miens. J'envoyais tout valdinguer , affaires, vêtements, cahiers. Tout volaient sans que jamais l'espoir ne revienne. Et je pleurais, je criais, j'errais sans prendre garde que ma peine me bouffait, me tuait. Et c'est à ce moment qu'il est arrivé dans ma vie. Moi aussi je disais que jamais je ne l'oublierais, que c'était lui pour la vie, mais l'amour m'as retrouvé. Je lui ai redonné une chance, le laissant s’infiltrer en moi, joué avec mes nerfs comme la première fois. Sauf que cette amour était bien plus puissant, bien plus grand. Alors crois y je 't’en prie. Et arrête. Arrête de déprimer. "
Puis d'un coup elle m'a balancer toutes les choses qu'elles pensaient mais qu'elle ne disait jamais, j'ai eu l'impression que sa lui faisait du bien. Elle m'a dit, tu sais avec un regard noir, vide, de paumée, a moitié bourrée, on voyait bien qu'elle avait réfléchie au sujet une dizaines de fois. Et elle te balance ça a la gueule, comme un coup de vent, une claque, pour elle s'était peut être rien, parce qu'au fond elle se foutait de tout, mais pour moi putains, ça a tout changé.
On va tous mourir un jour, peut-être dans la seconde qui suit, dans dix minutes, demain ou dans quarante ans. On ne sait pas, on ne sait jamais rien. Alors, une bêtise ou une erreur de plus ou de moins, nous ne sommes plus à ça de prés.
Tu m'as demandé de t'oublier. Je l'ai fait. Tu m'as demandé de ne plus t'aimer. Je l'ai fait. Tu m'as demandé de t'ignorer. Je l'ai fait. Eet aujourd'hui, tu reviens en oubliant le passé. Tu reviens comme si rien était. Tu me demandes pourquoi je ne suis plus comme avant. La jeune fille qui souriait tout le temps, cette jeune fille avec un regard etincelant permanent. Je suis devenue cette jeune fille froide, qui ne sourit plus, que le passé à détruit sans pitié. Et tu fais partie de mon passé tout sa c'est à cause de toi. Tu sais quand tu m'as demandé de t'effacer de ma vie, je n'ai pas cesser de pleurer. Je ne vivais que dans le passé, je me remémorait tout ces moments magnifiques passée avec toi., tu te rappelles cette soirée devant la télé tout les deux? En réalité je n'ai jamais cessé de t'aimais, enfin je veux dire dire je pensais avoir réussi... J'avais tourné la page, difficilement mais je l'avais fait. J'étais tellement fière de moi tu sais. Puis tu reviens... Je vais te supplier une chose, ne me demande plus jamais de me rattacher, tu m'as tellement détruite que c'est devenu impossible pour moi de te faire confiance. Tu m'as fait souffrir comme jamais personne ne l'avait fait. Fin je sais pas, j'pensais que t'avais un minimum de respect envers moi. Que je n'étais pas qu'une petite amie de passage. Que tout tes sentiments étaient bien réel. Que pour une fois on ne me prenait pas pour une idiote. Refléchis à ce que tu m'as fais, vas y remets toi en question, retourne toi le cerveau si tu le souhaite, souffre autant que j'ai souffert, crève à petit feu, détruit toi autant que tu veux. Mais dis toi que tout ça, c'est seulement de te faute et juste de la tienne. Que pour une fois, dans cette histoire je n'y suis pour rien. Que 'est seulement toi, seulement toi qui c'est comporté comme un connard...
Je vais mal. J'avais pas compris avant. Avant que ça fasse mal. Avant que ça saigne. Puis un jour il y a eu ces longues lignes sombres et profondes sur mes bras. J'les ai regardé sans comprendre ce qu'elles foutaient la. Ces entailles traversant mon frêle poignet. Sans comprendre pourquoi j'avais fais ça. Sans réaliser même ce que j'avais fais. Je vais mal. Depuis si longtemps. J'supporte plus ma faiblesse. Ma haine. L'abandon. Tout simplement mon existence. Et il a fallut des années. Des années pour cesser de mentir. Des années pour me regarder dans le miroir et comprendre que je vais mal. Et tout ça depuis le debut.
"- Toute la violence que cela engendre, c'est une descente aux enfers. - Une descente aux enfers? Pourtant j'ai jamais été aussi près du paradis de toute ma vie." DUELS
Aujourd'hui tout est fini, aujourd'hui j'ai été détruit. Nous étions deux, nous étions beaux. Et pourtant depuis combien de temps tu me menais en bateau? Cet après midi, les papillons dorés volaient, les oiseaux chantaient. Une magnifique mélodie planait. Mais rien n'y faisait, j'étais la plantée devant toi, ou plutôt figée. Tu continuais à me regarder avec un regard de désolé. Ce regard que j'aimais tant auparavant. Je ne pouvais plus bouger, je tremblais et toi tu continuais à m'observer comme si tu attendais une réponse à tes paroles qui m'avaient transpercé le cœurs, à tes paroles qui m'avaient remplis de rancoeur.
T'as réussi à tourner la page, alors que moi je manque de courage. J'ai foutu notre amitié en l'air. Je pensais pourtant bien faire, je pensais que je pouvais t'aider. Et maintenant je passe mon temps à ressasser le passé, comme si on pouvait le modifier.
Voilà, j'te laisse poster ta phrase et ton image !
"C'est beau de voir à quel point ils s'aimaient, mais ça faisait peur de voir comment ils se détruisaient. Dans l'amour et dans la haine, ils excellaient."
Ce soir, Another vous demande un service. Détendez là avec un peu de lecture s'il vous plait. De tout comme de rien. Juste, écrivez. Agréable soirée à vous.
Aujourd'hui je craque, seule dans ma chambre j'éclate. Je cris, je pleure, j'exprime mon malheur. Je peux pas m'imaginer pouvoir t'oublier parce que je sais que j'en serais incapable. Je sais, attendre quelqu'un qui ne reviendra jamais est tellement pitoyable. Mais je ne veux pas abandonner, car tu m'as tant donné, tu m'as fait rêver. Alors oui je ne baisserais pas les bras, parce que si je le fait je ne tiendrais sûrement pas. Ce sont tout ses souvenirs qui me permettent de vivre, j'ai besoin de toi pour continuais ce livre. Ce livre qui est en réalité pour moi un échappatoire, toute une histoire. Notre histoire, celle que tu souhaite oublier et moi celle que je veux continuais. Alors je t'en supplie permet moi de continuer notre histoire, fais le pour moi s'il te plait, ne croit pas que tout sa est dérisoire car ce n'est pas le cas.
Que de noirs propos sur notre belle politique à ce que je vois. Humhum.. Pourquoi tant de haine envers elle ? Elle n'est pas si mauvaise, du moins ne l'étais pas. Peux-tu m'expliquer ? Moi j'ai mes raisons de vouloir faire une révolution, qu'elles sont les tiennes ?
"belle politique" ahahaha. Plus sérieusement, pour moi la politique est seulement une chose de plus qui sert seulement à être médiatiser, pour faire plus d'argent. Ils sont censés faire ce qu'il y a de mieux pour notre pays et pourtant ils font tout le contraire. On est dans une démocratie, et pourtant le peuple n'est pas celui qui à le choix. Il y a seulement les hauts rangs qui choisissent les lois, le peuple lui tout le monde s'en fout, il se tait un point c'est tout. En plus de ça ces politiciens passent leurs temps à mentir, tous leurs discours sont faux, rien à jamais était fait. Après la je parle seulement de la France. Mais y'a plusieurs pays où ils se passent la même chose, franchement autant repartir dans une monarchie, ça ne changerai pas grand chose tout compte fait.
Mes très chers diables, j'aimerai un écris, un simple écris de vous ou non, qui exprime quelque chose de fort, quelque chose qui se ressent dans les mots. Bonne soirée à vous~
Voilà un ans que l'on se connait, un an que l'on se dispute pour se réconcilier, un an qu'on se sépare pour se retrouver. Un an qu'on agit comme des gamins à pas savoir ce que veux l'autre, à se chercher, à se laisser tomber, à s'enfoncer puis se relever. Ce que je veux dire c'est que malgré nos hauts et nos bas jamais je ne pourrais te laisser entièrement tomber parce que tu es tout simplement une partie de moi et que je ne pourrais t'oublier sans sombrer.
Jolie papier parfumé, Stylo à l'encre empoisonnée, Poignet épuisé mais déterminé. Elle verse sa douleur et sa rancœur sur une simple page usant son courage. Elle décrit sans hésitation, sans explication, une souffrance sans nom. Avec précision martèle les mots, provoquant le chaos. Comme si chaque parcelles d'elle n'était destinées qu'à souffrir, jusqu'à en mourir.
Je me sens perdue, je ne sais plus ou j'en suis ni qui je suis. Je suis là, seule, je marche sans trop savoir ou je vais. Je me déplace doucement, je slalome autour de ces grands arbres sombres et continue de m'enfoncer dans cette forêt noir. J'entends du bruit plutôt flippant mais j m'en fous. De puis que tu es partit, je suis perdu, j'arrive plus à avancer, j'enchaîne conneries sur conneries. J'me détruit la santé, j'ai envie de crever. Si tu savais, je voudrais tellement te rejoindre et le plus vite sera le mieux, la haut dans les cieux.
Une pirogue voguant sur les eaux de Venise. Deux amoureux traversant la ville, traversant le monde. Deux amoureux ne pensant jamais être séparés.Deux amoureux ne pensant jamais être séparé. Pourtant le cœur abandonné, il déambulait dans les rues de Venise.Dans les rues de Venise, le grand carnaval réunissait des milliers de personnes de milles et une couleur dans la joie et le bonheur.Dans la joie et le bonheur, les lumières s’étteignirent, le laissant seul dans son malheur.
L'homme est une erreur. "Humains, je m'adresse à vous aujourd'hui. Je veux vous parler de notre pitoyable société remplie de préjugés. Nous vivons dans un monde incroyablement beau et splendide, ou la vie est grouillante autour de nous. Et pourtant, nous sommes les plus dangereux ennemis de notre propre Terre. Nous nous considérons comme l'espèce la plus intelligente sur notre planète. Cependant,nous sommes les pires. Nous détruisons, nous massacrons, nous anéantissons. Nous sommes tous coupables, parce que nous participons à ce génocide ou du moins nous fermons les yeux sur ces actes terribles. J'en suis arrivée à me questionner sur le but de notre présence dans se monde. Parce que, on nous a confié une mission, protéger notre planète, mais nous avons prolongé sa destruction. Nous nous considérons comme propriétaire de notre planète, mais nous avons simplement le devoir de la protéger de tout danger. Nous sommes la seule espèce qui agresse,détruit,contamine et anéanti dans l'unique but de vivre mieux. Nous ne sommes que des égoïstes, incapables de réagir avant qu'ils ne soient trop tard. Le monde est votre, est notre. il est pour nous tous. Cependant, souvenez vous que c'est également leurs monde et nous devons savoir qu'ils feront n'importe quoi pour sauver leurs vies , pour sauver leur planète. " Une partie d'un magnifique écrit d'une amie.
Tais toi. Tais toi s'il te plait. Arrête tout. Arrête de parler, arrête de respirer, arrête de te lamenter. Ecoute moi, ecoute tout le désespoir qui est en moi. Dis toi que tu n'es pas le seul qui souffre de toute cette histoire. Arrête de penser qu'il n'y a que toi. Que tu as le droit de remballer les gens comme tu veux puis revenir les chercher quand tu le souhaites. Les aimer, les jeter puis revenir les chercher en sortant des excuses bidons comme toutes tes promesses en carton.
En cette triste soirée, j'aimerai une musique. La musique la plus belle que vous connaissiez. Que ce soit dans ces paroles ou sa mélodie. Je veux entendre de belle chose ce soir. Bonne soirée à vous, le monstre ne passera pas cette nuit.