@QuentinMounier

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J'crois que je viens de comprendre pourquoi j'ai toujours détesté la géométrie. Des figures imposées, aucune liberté, une rigueur qui frôle l'absurdité . Un cercle ne pourra jamais se confondre avec un carré. Deux lignes sécantes ne se reverront jamais.
Tu penses qu'on a été tracé ainsi ? Que quelqu'un a prit nos vies, et que d'un trait de fusain sur un beau papier à grain, nous a fait nous rencontrer une unique fois, en un certain point ?
Alors laisse moi faire. Laisse moi me saisir d'une gomme, effacer notre passé pour tout recommencer et nous redessiner. Toi, moi, deux lignes entremêlées, courbes, bancales, mal dessinées. Toi, moi, unis pour l'éternité.
Jcrois que je viens de comprendre pourquoi jai toujours détesté la géométrie

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TheFreedomWritter’s Profile PhotoHøρε
Parce que ça t'amuse de me remettre la tête sous l'eau à chaque fois que je pense avoir évité la noyade émotionnelle ? De me confronter à ce monde froid, humide et oppressant qui hante mes nuits ?
Forcement toi tu connais pas ça hein. Beau cul, belle gueule, il suffit que tu claques des doigts pour qu'on vienne te sortir de l'eau.
C'est ça, fait celui qui comprends pas.
Tu m’écœures à être autant superficiel.
Parce que ça tamuse de me remettre la tête sous leau à chaque fois que je

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Vagabondedesnuages’s Profile PhotoVagabonde des nuages.
"- Et je suis censée dire quoi à ma petite fille de 6ans qui voit ces horreurs ?
- Qu'elle a la chance de vivre dans un pays où l'amour est autorisé Madame. Qu'elle aura la chance d'aimer qui elle veut, et que personne ne viendra lui gâcher sa vie. Enfin personne, c'était sans conter sur vous. J’espère que vous comprendrez un jour. Maintenant excusez moi, je dois y aller, bonne journée à vous."
Et je suis censée dire quoi à ma petite fille de 6ans qui voit ces horreurs

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CrazyDollAlex’s Profile PhotoAlexia
En sueur, nu, enlacé contre moi. Draps souillés ou pas. C'est comme ça que je te veux. Là. Tes doigts. Ma main dans tes cheveux. Ton souffle au creux de mon cou. Exactement comme tu étais au creux de mes reins, il y a à peine quelques halètements. Extase sans tabou. C'était pas le 7ème ciel, mais je m'en fou, c'était toi, c'était nous, c'était dément.
En sueur nu enlacé contre moi Draps souillés ou pas Cest comme ça que je te

Voltaire disait : "L'écriture est la peinture de la voix", Ice Queen aimerait que vous lui peigniez le joli tableau de votre âme.. ~ baisers glacés ~

TheIceQueenInAFlameCastle’s Profile Photo❄️ The Ice Queen ❄️
Noir tristesse. Gris détresse. Une légère nuance de blanc espoir qui s’entremêle avec une délicate courbure d'orange, bien trop ostentatoire dans ce paysage purgatoire. Le coin gauche de la toile, corné, témoignant de l'usure de cette toile pourtant récente. Des dégradés de couleurs sombres semblent danser en arrière plan, folie démente. Au milieu, un petit garçon. Le regard baissé sur le sol couleur béton. Les contours sont flous, mal dessinés. Comme si la peinture avait coulé. On arrive tout de même à déceler, sur le visage cadavérique, deux bavures bleu azur au niveau des yeux. Larmes ? Ou juste précipitation de l'artiste ? Qui sait. La peinture a déjà trop séchée ; de toute part de fines particules s'effritent, se détachent. Un triste tableau, perdu, à la dérive, sans attaches. Malgré cela, on distingue un repentir évident. La main du petit garçon, au bout de son bras ballant. Elle tenait quelque chose. Mais quoi ? Seul l’artiste le sait. Il devait avoir une bonne raison de priver ce petit garçon de cette chose qu'il tenait.

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Voltaire disait  Lécriture est la peinture de la voix Ice Queen aimerait que

Bonsoir. Jeune homme, les mensonges vous consumerons et vous tuerons. Jeune homme ne vous noyer pas dans un mutisme permanent et silencieux. Parler jeune homme, parler avant d'être tuer par cette voix qui vous dira de tout abandonner. Prenez soins de vous jeune homme. Vous êtes important.

23h54.
Je libère mes larmes de 15h37. Celles qui ont failli couler sur ma fiche de cours. Sans que je sache pourquoi. Dis, tu crois que c'est grave d'avoir envie de pleurer pour rien ? Laisse tomber, ça fait tapette. Aller, je vais me taire, pour pas prendre le risque que ma voix se brise sur les écueils de mon vague à l’âme. Après tout, ça suffit. Rigoler, sourire et se taire. On m'en demande pas plus. Avec ma tendance mélancolique. Ça en deviendrait presque chiant de se lamenter sur mon sort. Mais le pire, c'est que si je pouvais être plus joyeux, je le serai. Mais je peux pas me débarrasser de ma tenue brodée de regards vides et de soupirs éteints.
23h59.
Ça fait mal. Les mots.
Bonsoir Jeune homme les mensonges vous consumerons et vous tuerons Jeune homme

- Le désir

TheFreedomWritter’s Profile PhotoHøρε
Désir charnel, puissant, violent, pour t'aimer jusqu'à ce que nos deux corps entrent en symbiose.
Désir de me tuer, dans ma tête, pour pouvoir revivre, faire taire ses voix et renaitre, grandiose.
Désir de mourir, d'enchainer les plaquettes de doliprane pour découvrir ce qu'il se cache sous la jupe de la mort et de ses corbeaux.
Désir de te briser le cœur à coup de reins, pour graver en toi mes sentiments qui ne peuvent se contenter d’être transposés en mots.
Désir de vivre encore, de courir, loin de tout, avec toi, pour se construire un petit bout du monde, là bas en Alaska.
Désir d'oublier, de jeter au feu mes souvenirs, pour oublier toute la souffrance qui se lit dans mes yeux quand je te vois à son bras.
Le désir

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Dsvn222’s Profile Photoxo
Dis, je crois que je suis entrain de voir le bout du tunnel, avec toutes ces étoiles qui brillent la haut dans le ciel, comme si elles m'appelaient. Tu sais, je crois que je suis entrain de t'oublier. Toi qui m'a tant fait souffrir, toi qui ne m'adressait pas même un regard. Je voulais juste que tu saches que j'ai su surmonter tout ce que tu avais détruit en moi. J'en suis pas sur mais je pense que j'ai trouvé la bonne personne. J'te dis pas ça a titre de revanche personnelle ou comme gage de ma jalousie mal placée. Non. Je crois que je sais pourquoi ça n'aurait pas pu marcher entre nous. Merci. Grâce a toi je suis libre d'aller de l'avant. Et j'ai envie d'y croire.
Dis je crois que je suis entrain de voir le bout du tunnel avec toutes ces

✴✨

J'suis repassé là ou on s'était quitté la dernière fois. A coté de cette benne à verre, des rails du train, et de ce petit trottoir. Et je t'ai revu me dire au revoir. Et je me suis revu me retenir de t'attraper le bras, pour te demander tout bas "dis, est ce que tu m'attendras ?" J'aurai du. Ça m'aurait évité tellement de questionnements intérieur, et de contemplations de lune ; regard hagard tourné vers cette lumière crue. J'te jure, heureusement que tu lis pas ça, tu m'prendrai pour un putain de fragile sentimental.
Jsuis repassé là ou on sétait quitté la dernière fois A coté de cette benne à

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OceaneTrpn’s Profile PhotoNiquez vous.
Plus les jours avancent, moins je me dis que c’est une bonne idée.
Plus j'y repense, moins j'arrive à m'imaginer un dénouement un tant soit peu sensé.
Plus j'en prends conscience, moins je me dis que tu pourras m'aimer.
Mais j'suis obligé. Obligé de passer par là. Pour plus avoir de regrets tu vois. Pour plus avoir ton visage qui s'impose dès que je pense à quelqu’un d'autre. Merde quoi. A quel moment j'me suis laissé entrainé aussi bas ? A quel moment j'me suis laissé devenir aussi faible ? Tout ça pour tes beaux yeux. J'te jure. On est vraiment con quand on est jeune.
Plus les jours avancent moins je me dis que cest une bonne idée 
Plus jy

Ce soir, mes anges, devenez poète.

EternellementSienne’s Profile PhotoAnge déchue.
"Hop hop hop tu fais quoi là Quentin ?
Arrête tes conneries.
On avait pourtant dit qu'on retomberait pas sous le charme de quelqu'un avant longtemps.
Explique moi pourquoi tu attends désespérément un mot de sa part ? Pourquoi tu cherches son regard, en espérant que vos pupilles s'effleurent ? Pourquoi tu rentres dans son jeu de provocation ? Tu le sais bien pourtant que c'est "pour rire". Que les petits trucs qui brassent en toi quand tu les entends rigoler sur ta gaucherie, ils en ont pas conscience. Mais toi tu les sens, les multiples petites fissures, les fines coupures et les déchirures qui se réouvrent, doucement, sans se presser. T'es vraiment con putain. Tu sais pourtant comment ça va se finir. Tu sais que tu t'es encore imaginé des choses, que t'as tiré des plans sur la comète, que c'est pas envisageable entre vous, et qu'il y a aucune chose sérieuse derrière leurs blagues.
Mais t'es faible. Et tu vas continuer à rester dans ce petit jeu qui te fais plus de mal que de bien. Parce que t'es comme ça de toute façon. Pas capable de t’exprimer, de communiquer sur ce que tu ressens. Mais t'as l'habitude de passer pour un tétraplégique émotionnel. Alors change rien, reste comme ça, à te faire saigner pour rien. Puis ça finira bien par passer. Un jour ou l'autre. Si c'est pas toi qui trépasse. Qui sait..."

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Ce soir mes anges devenez poète

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