t gay
1h38. Ton visage est le plus puissant des anti-somnifères imaginable.
Ask @QuentinMounier
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les cœurs se frôlent
les corps s’enrôlent
tes mains demandant l'obole
ivresse des effluves d’éthanol
toi sur moi
moi sur toi
érotisme de tes doigts
les corps s’enrôlent
tes mains demandant l'obole
ivresse des effluves d’éthanol
toi sur moi
moi sur toi
érotisme de tes doigts
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"Tu venais d'ici, de là-bas et t'allais nulle part
T'avais de grands yeux bleus, mais cernés de noir"
T'avais de grands yeux bleus, mais cernés de noir"
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"Il a dit
embrasse moi ici
sous le ciel de cette nuit"
embrasse moi ici
sous le ciel de cette nuit"
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"A se croire morts, et faire l'amour encore."
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"J'ai lu ton futur. Il était écrit au passé."
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Elfe
nek
Nomie
Alice..
444nuits
nuits diaboliques.
Cam'
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"Mais dans leurs visages au fond,
Je n’ai rien fait que te chercher"
Je n’ai rien fait que te chercher"
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Cécé
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~Lucas Dreams~
bonheur artificiel
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Il était dans un état de choc émotionnel avancé. Quand je lui ai demandé de me décrire ce qu'il ressentait, il m'a expliqué d'une voix éteinte :
"C'est comme voir un mur en face de soi. Voir un mur et savoir qu'on fonce droit dessus. Tenter de freiner, de s'arrêter. Mais c'est peine perdue. On est comme emporté par son élan, emporté par l'cours du temps. Alors on compte les secondes qu'il nous reste avant l'impact."
Puis il m'a regardé, fixant ses yeux azurs dans les miens, et j'ai pu lire en ses pupilles tout ce qu'il n'arrivait pas à me dire. Le reste. Les choses qu'on ressent au plus profond de nous, réminiscences animales et pulsions bestiales. Ça m'a foutu un mal de ventre, j'ai cru que j'allais vomir sur le coup. Comment faisait il pour supporter cela quotidiennement ? J'ai tenté de lui sourire, pour lui montrer que je comprenais un petit peu. Il m'a rendu un regard qui me fit comprendre qu'il savait. Il savait qu'il était foutu et que c'était pas moi qui y changerai quoi que ce soit. Alors je lui ai attrapé l'épaule, comme pour lui transmettre du courage, de la force. Puis je me suis senti con, il était indéfiniment plus fort que moi pour endurer ça.
"C'est comme voir un mur en face de soi. Voir un mur et savoir qu'on fonce droit dessus. Tenter de freiner, de s'arrêter. Mais c'est peine perdue. On est comme emporté par son élan, emporté par l'cours du temps. Alors on compte les secondes qu'il nous reste avant l'impact."
Puis il m'a regardé, fixant ses yeux azurs dans les miens, et j'ai pu lire en ses pupilles tout ce qu'il n'arrivait pas à me dire. Le reste. Les choses qu'on ressent au plus profond de nous, réminiscences animales et pulsions bestiales. Ça m'a foutu un mal de ventre, j'ai cru que j'allais vomir sur le coup. Comment faisait il pour supporter cela quotidiennement ? J'ai tenté de lui sourire, pour lui montrer que je comprenais un petit peu. Il m'a rendu un regard qui me fit comprendre qu'il savait. Il savait qu'il était foutu et que c'était pas moi qui y changerai quoi que ce soit. Alors je lui ai attrapé l'épaule, comme pour lui transmettre du courage, de la force. Puis je me suis senti con, il était indéfiniment plus fort que moi pour endurer ça.
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Effleure moi dans tes rêves. A défaut de mieux. Ca m'suffit pour l'instant, de t'imaginer haletant avec mon nom sur tes lèvres.
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Et en mon cœur les mots chantent à m'en briser les artères, tandis ce que dans ma gorge, mes cordes vocales obstruent toute manifestation de sentiment possible.
Aphone d'émotions.
Aphone d'émotions.
Tu es bi ou gay ? (:
Quelque chose qui se situe entre humain et amoureux. Si ça peut t'aider.
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Iamnotcyrian
Jessica
L.
Une Philosophie.
nokomis
HÉRA
S
Coeur sombre.
Soul.ier ~
Elfe
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Mon cœur à moi, il rate pas des battements quand il te voit. Non, le mien il est plutôt du genre à rater les marches d’escaliers pour aller s'écraser sur la porte de l'ascenseur fermée. C'est moins romantique. Mais c'est la seule explication possible à tous les bleus que j'ai.
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Je ne te demande pas de remettre en question ta conception de l'amour, de la famille, de tes attirances, des normes sociales, de ce que tes parents t'ont appris, du sexe.
Non, rien de tout cela.
Je te demande juste d’être à moi.
Non, rien de tout cela.
Je te demande juste d’être à moi.
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Etait-il beau ?
Avait-il bu ?
Quel est ce dos, suis-je encore nu ?
Je suis en équilibre sur la tranche, pourvu que, ma mémoire flanche...
Je suis en repérage entre les hanches, pardon mais mémoire penche...
Comment, t'appelles-tu ce matin ?
Et si j'osais le nom d'emprunt ?
Plus rien en moi ne s'en souviens...
Comment s'appellera demain ?
Etait-ce une femme ?
Serait-ce un drame, si c'est en somme, un autre homme ?
Comment sera le prochain ?
Comment...
Avait-il bu ?
Quel est ce dos, suis-je encore nu ?
Je suis en équilibre sur la tranche, pourvu que, ma mémoire flanche...
Je suis en repérage entre les hanches, pardon mais mémoire penche...
Comment, t'appelles-tu ce matin ?
Et si j'osais le nom d'emprunt ?
Plus rien en moi ne s'en souviens...
Comment s'appellera demain ?
Etait-ce une femme ?
Serait-ce un drame, si c'est en somme, un autre homme ?
Comment sera le prochain ?
Comment...
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Des nébuleuses dans nos têtes explosent.
As-tu goûté à la dernière nouveauté que la mort propose ?
As-tu goûté à la dernière nouveauté que la mort propose ?
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"Mais Juliette et Roméo changent l’histoire et se tirent,
A croire qu’ils s’aiment plus à la vie qu’à la mort.
Pas de fiole de cyanure, n’en déplaise à Shakespeare
Car l’amour a ses horizons que les poisons ignorent."
A croire qu’ils s’aiment plus à la vie qu’à la mort.
Pas de fiole de cyanure, n’en déplaise à Shakespeare
Car l’amour a ses horizons que les poisons ignorent."
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If we met at midnight
In the hanging tree.
In the hanging tree.
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Aidan
Adventears
Aliénor.
Charles.
Emizz
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Ml
Inexistante.
Marie
Ecxrlxte.
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je crois avoir découvert ce qu'était le charme. mais pas le charme vulgaire qui colle à la peau des filles de joies. non. le charme naturel, presque animal, brut, le diamant non taillé, la crinière ocre du fauve qui rugit, la beauté dans les imperfections, la sincérité dans le regard.
s'en était intimidant, vraiment.
s'en était intimidant, vraiment.
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23h58.
J'me tourne dans mon lit, j'balance mon oreiller par terre, je tente de m'endormir, une jambe par dessus ma couette jetée négligemment sur mon corps.
Mais j'peux pas.
J'ai des relents de solitude. Enfin pas la solitude d’un enfant qui trouverait personne avec qui jouer dans une cour de récré.
Non.
Moi c'est la Solitude la vraie, la grande, la terrible. Le blues, le cafard, la déprime, le noir, le puits sans fond, la mélancolie, la colère, le dégout de soi, les "pourquoi" sans réponses, les veines qui pulsent sur les tempes et toutes ces autres conneries qui se faufilent dans son sillage.
Alors je me retrouve là, éclairé par la lueur blafarde de mon écran, à taper ces quelques mots pour essayer de trouver le sommeil. Putain de merde j'en aurai presque envie de chialer tellement c'est pathétique. Foutu catharsis. Purgation des passions hein. Faudrait me purger de tout mon être pour que j’arrête d’être aussi cancéreux des sentiments.
00h13.
Arrête d’écrire de la merde et vas te coucher.
J'me tourne dans mon lit, j'balance mon oreiller par terre, je tente de m'endormir, une jambe par dessus ma couette jetée négligemment sur mon corps.
Mais j'peux pas.
J'ai des relents de solitude. Enfin pas la solitude d’un enfant qui trouverait personne avec qui jouer dans une cour de récré.
Non.
Moi c'est la Solitude la vraie, la grande, la terrible. Le blues, le cafard, la déprime, le noir, le puits sans fond, la mélancolie, la colère, le dégout de soi, les "pourquoi" sans réponses, les veines qui pulsent sur les tempes et toutes ces autres conneries qui se faufilent dans son sillage.
Alors je me retrouve là, éclairé par la lueur blafarde de mon écran, à taper ces quelques mots pour essayer de trouver le sommeil. Putain de merde j'en aurai presque envie de chialer tellement c'est pathétique. Foutu catharsis. Purgation des passions hein. Faudrait me purger de tout mon être pour que j’arrête d’être aussi cancéreux des sentiments.
00h13.
Arrête d’écrire de la merde et vas te coucher.
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Tu sais, j'ai jamais vraiment été chanceux niveau sentiments. Pour être honnête, les rares sentiments que j'ai eu, j'les ai toujours refoulés au plus profond d'moi, comme si ils n'avaient jamais existé. J'étais à moitié mort, ou à demi-vivant, comme tu préfères.
Mais j'en ai marre. Marre de faire semblant, marre de faire comme si rien ne m'atteignait, marre d’être obligé d’extérioriser mes sentiments sur ce putain de site, pour éviter que je fasse une overdose de mélancolie. J'ai envie d'aller de l'avant, d'me libérer de sa prescience insidieuse qui s'impose à moi, de relâcher la pression, de plus me prendre la tête. J'ai envie de commencer quelque chose, de reprendre le contrôle sur ma vie, de penser que tout est possible, de réaliser mes rêves, d'aimer.
Mais j'y arriverai pas seul.
J’espère que tu sera la bonne personne.
J’espère...
Mais j'en ai marre. Marre de faire semblant, marre de faire comme si rien ne m'atteignait, marre d’être obligé d’extérioriser mes sentiments sur ce putain de site, pour éviter que je fasse une overdose de mélancolie. J'ai envie d'aller de l'avant, d'me libérer de sa prescience insidieuse qui s'impose à moi, de relâcher la pression, de plus me prendre la tête. J'ai envie de commencer quelque chose, de reprendre le contrôle sur ma vie, de penser que tout est possible, de réaliser mes rêves, d'aimer.
Mais j'y arriverai pas seul.
J’espère que tu sera la bonne personne.
J’espère...
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Je crois pas en l'amour éternel. Tu sais, tous ces gens qui se font des promesses d'éternité à répétition. Moi j'y arrive pas. J'arrive pas à me dire qu'on va tomber amoureux, toi et moi. Puis que quand on commencera à prendre l'eau, que notre histoire heurtera un récif, on se séparera. On tirera un trait sur ce putain de passé, et on recommencera avec une autre personne, une autre histoire, dans un autre bateau qui finira inexorablement par couler à son tour.
Moi, je suis pas assez fort pour ça, pas assez optimiste pour pouvoir tirer un trait sur toi, pour pouvoir imaginer faire comme si tu n'avais jamais existé. Alors je me protège, je me barricade dans mon p'tit radeau et j'me la joue solo, en attendant d’être emporté par les flots.
Moi, je suis pas assez fort pour ça, pas assez optimiste pour pouvoir tirer un trait sur toi, pour pouvoir imaginer faire comme si tu n'avais jamais existé. Alors je me protège, je me barricade dans mon p'tit radeau et j'me la joue solo, en attendant d’être emporté par les flots.
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"L'amour est parti, on ne fait pas semblant,
Tout n'est que nostalgie, je t'aime en noir et blanc."
#GcM
Tout n'est que nostalgie, je t'aime en noir et blanc."
#GcM
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L.
Imbécile heureuse
Be your everything.
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En tes yeux sont morts mes mots
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De nos jours, on fait plus vraiment attention à c'qu'on dit. "tapette", "conasse", "sale pute", "pd", "enculé" sont devenus des moyens usuels de s'exprimer, des pseudos moyens d'afficher notre amitié envers nos milles et une connaissances réelles et virtuelles. Des insultes. Dans notre vie courante. Réveillez vous bordel. Comment voulez vous annihiler les différences hommes-femmes quand des gosses de 13ans associent le sexe féminin à quelque chose d'inférieur, inconsciemment ? Comment voulez vous que deux hommes s'embrassent dans la rue sans crainte, à l'heure ou le premier commentaire d'une photo facebook est " sale gay mdr". Comment voulez vous qu'on arrive à quelque chose en se rabaissant constamment ? J'voudrais juste qu'on y réfléchisse un peu. A tous ses mots qu'on à érigé au rang de banaux, alors que bordel, ils font mal ces mots. Ils nous font du mal, à nous tous.
Bonsoir ce soir parlons mythologie met une photo d'une créature ou d'un dieu s'il te plait
Seul Dieu peut avoir 4 visages aussi parfaits.
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