"Dis, si les gens étaient des fleurs, je serais quoi à ton avis ? -Un pissenlit. -Un pissenlit ? -Oui, tu sais, ces pissenlits qui éclosent au printemps, et qui au moindre coup de vent s'éparpillent en dizaines de petites aigrettes fragiles. Et bah t'es pareil. Au moindre sentiment, tu pars en vrille, et on te retrouves plus."
"Il rejoignit alors les laissés-pour-compte ; les échoués des relations ; les éternels seconds choix ; les amputés émotionnels ; et tous ces mutilés des temps modernes qui perdent peu à peu confiance en eux au fur et à mesure que les désillusions s'enchaînent."
De celle qui fait chanter ta peau sur la mienne, qui fait s'entrechoquer violemment nos bassins, qui donne à ta voix ce souffle erratique qui me vrille les tympans d'extase. De celle qui te transcende, qui nous transcende, nous les amants éperdus dans nos draps. De celle qui n'est que luxure, débauche et égoïsme de te savoir rien qu'à moi. De celle qui surpasse et dépasse les normes de la société, celle qui me fait t'aimer par amour chaste et désir charnel à la fois. Ambiguïté de cette orientation, ambivalence de mes sentiments opposés, ce n'est pas une orientation que l'on peut classer. De celle qui me fait te bouffer tes lèvres comme si ma survie en dépendait. Hum. Orgasme de toi.
T'as désire le coup de foudre
T'as dit bonjour à la tempête.⚡️
Alors viens tempête, je n'ai pas peur de toi. Viens te briser à mon maelström de sentiment, te heurter à mon déluge d'émotions, te mesurer à ce cataclysme qui détruit mon corps, à ces tremblements qui s'emparent de mes mains, à cette rage qui reste bloquée au fond de ma gorge, à ce typhon que l'on devine dans mes pupilles. Viens tempête, fais danser tes vents dans mes cheveux, fais courir tes éclairs contre ma peau, balaye mes peurs comme un ouragan et aimons nous, enlaçons nous, jusqu'à la destruction.Jusqu'à que la tumulte de nos pensées se change en un voile éthéré. Je ne crains pas les éléments. Je ne crains pas les océans sans rivages. Je ne crains pas le temps. Je ne crains que ton visage.
J'savais bien que vous étiez pas loin mes p'tits nuages. Allez venez, reprenez votre place entre mon espoir, mon sourire et mes rêves. Vous m'auriez presque manqué. Presque.
Je crois que je suis entrain de perdre mon écriture. C'est frustrant. C'est comme si j'étais devenu aphone. Les mots ne viennent plus. C'est le grand vide, l'horizon à perte de vue, la mort des rêves.
Folie qui s'insinue sournoisement dans mon corps. Comme un serpent qui se faufile entre de mauvaises herbes. Comme un putain de médicament qu'on m'injecte en intraveineuse. J'suis sous perfusion de toi. Tu es dans mes veines. Sors de là.
T'es mon syndrome de Stockholm à moi. J'peux pas m'empêcher de te désirer. Comportement paradoxal et incompréhensible. Après le nombre de cicatrices émotionnelles que tu m'as laissé. Une sorte de lien agresseur - otage.
"J'ai eu un aller simple pour un endroit où tous les démons vont, Où les vents ne tournent pas, Et où rien au sol ne peut jamais grandir. Pas d'espoir, juste des mensonges. Et on vous apprend à pleurer dans votre oreiller. Mais je survivrai."
Fais moi déferler ton bonheur en pleine gueule, vas y, te prives pas. Montre moi comme t'es heureux sans moi. Comme elle est parfaite. Comme elle est douce avec toi. De toute façon mon cœur ressemble à un vieux pneu crevé, rafistolé par des dizaines de rustines qui tiennent pas, alors une déchirure de plus, ça changera rien. Bordel, si seulement j'avais su t'oublier. Pardon, t'y es pour rien. Mais essaye de comprendre. J'en ai marre des SOS écrits le soir sur mon clavier. J'en peux plus. T'aurais pu essayer. Juste essayer. Pas t'engager, confonds pas tout. Aller c'est r'parti je divague encore, comme si t'allais me répondre. Tais toi Quentin, ça vaut mieux.