Ask @QuentinMounier
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Tu es gay?
with love
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"Les premières peines de cœur, premier rencart un peu foiré. Ce sera un peu l'moment de toutes les grandes premières fois ; les premières cuites, les premières nuits qu'on ne nous racontera pas."
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Je suis touchée par la force de tes mots Quentin
Les garçons pleurent le soir sur leurs amours perdus. Les filles n'ont pas à être fines et à se conformer un idéal de beauté cadavérique. Les garçons peuvent être sensibles et s'essayer à la prose poétique. Les filles sont belles avec les cheveux courts ou tondus. Les garçons peuvent aimer le rose dans toutes ses nuances. Les filles n'ont pas à être superficielles et dénuées de sens. Les garçons ont peur des araignées. Un fille peut rêver de poser ses lèvres sur celles d'une belle inconnue. Un garçon peut s'imaginer entrelaçant ses jambes autour de celles de ce beau blond qui vient de tourner à l'angle de la rue.
Émerveille ton Ask avec un sourire Quentin, un sourire qui perce un trou de lumière dans cette sombre tristesse.
"Je voudrais m’éloigner un peu du bord des larmes."
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6 février 2016.
Ce matin, c'est un véritable chaos de pleurs, de sourires amers et de regards éplorés qui résonne dans ma tête, qui hurle dans mon corps et qui se fracasse contre mes os. Je n'aurais jamais cru pouvoir être capable d'encaisser une telle charge émotionnelle. Et j'n'ai pas pu. Et pourtant j'ai essayé. Retenir mes larmes, endiguer ce sentiment qui part des tripes, qui se propage dans chaque veine, qui se déverse, flot ravageur, dans mon crâne, qui prend à la gorge, qui fait frissonner le grain de la peau. J'ai essayé, pour eux, pour elle, pour lui. Mais j'suis faible, si faible vis à vis de moi même. Impuissance. Alors j'ai craqué, mes barrières ont explosées et j'ai pleuré. Mais c'était si bouleversant. Tous ces gens, ici, témoignant de leurs sentiments. S'en était presque indécent de déférence, de respect solennel envers votre magnificence.
Neurasthénie de mon âme, anagramme de la vie. Elle était si belle cette petite mélodie, "A ton étoile".
Hurlement de mon cœur affligé, comme un loup solitaire esseulé, puisqu'on finira tous par y passer.
C'était injuste, personne ne méritait ça, encore moins vous. J'en deviendrai presque vulgaire, connerie de cancer. Mais je garderai toujours un souvenir de vous, oriflamme de vaillance, vous étiez l'incarnation du sourire et de la joie. Si la grandeur devait avoir une couleur, c'est sans doute votre blason qu'elle arborerait fièrement. Dignement.
A mon enseignante d'Histoire Géographie. A ce souffle immuable et imprévisible qu'est la vie. "A la mélancolie".
Ce matin, c'est un véritable chaos de pleurs, de sourires amers et de regards éplorés qui résonne dans ma tête, qui hurle dans mon corps et qui se fracasse contre mes os. Je n'aurais jamais cru pouvoir être capable d'encaisser une telle charge émotionnelle. Et j'n'ai pas pu. Et pourtant j'ai essayé. Retenir mes larmes, endiguer ce sentiment qui part des tripes, qui se propage dans chaque veine, qui se déverse, flot ravageur, dans mon crâne, qui prend à la gorge, qui fait frissonner le grain de la peau. J'ai essayé, pour eux, pour elle, pour lui. Mais j'suis faible, si faible vis à vis de moi même. Impuissance. Alors j'ai craqué, mes barrières ont explosées et j'ai pleuré. Mais c'était si bouleversant. Tous ces gens, ici, témoignant de leurs sentiments. S'en était presque indécent de déférence, de respect solennel envers votre magnificence.
Neurasthénie de mon âme, anagramme de la vie. Elle était si belle cette petite mélodie, "A ton étoile".
Hurlement de mon cœur affligé, comme un loup solitaire esseulé, puisqu'on finira tous par y passer.
C'était injuste, personne ne méritait ça, encore moins vous. J'en deviendrai presque vulgaire, connerie de cancer. Mais je garderai toujours un souvenir de vous, oriflamme de vaillance, vous étiez l'incarnation du sourire et de la joie. Si la grandeur devait avoir une couleur, c'est sans doute votre blason qu'elle arborerait fièrement. Dignement.
A mon enseignante d'Histoire Géographie. A ce souffle immuable et imprévisible qu'est la vie. "A la mélancolie".
Écrivez un message, pour quelqu'un sans dire qui.
T'as fait vriller mon cerveau.
T'as balayé mes sentiments comme de vulgaires émotions, sans mon assentiment.
J'arrive même plus a distinguer le vrai du faux.
Jamais tu lira ça, et de toute façon, j'connais même pas ton nom.
Alors je peut le répéter autant de fois que je le veux, je peux le hurler sur tous les toits, je peux le crier à cette foule qui n'entend pas.
Je crois... Que je suis entrain de tomber amoureux de tes yeux, de ta voix, de toi.
T'as balayé mes sentiments comme de vulgaires émotions, sans mon assentiment.
J'arrive même plus a distinguer le vrai du faux.
Jamais tu lira ça, et de toute façon, j'connais même pas ton nom.
Alors je peut le répéter autant de fois que je le veux, je peux le hurler sur tous les toits, je peux le crier à cette foule qui n'entend pas.
Je crois... Que je suis entrain de tomber amoureux de tes yeux, de ta voix, de toi.
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Je manque cruellement d'emprise sur la réalité ; à commencer par ma vie que j'regarde se foutre en l'air sans réagir
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Toute la difficulté de ce jeu de séduction virtuel, au fond, c'est de passer d'une conversation sur messenger à une étreinte charnelle.
Et bordel, c'est pas la première fois que je me retrouve dans cette impasse, dos au mur, pieds et mains liés. Incapable d'établir des relations humaines avec des personnes envers qui on ressent un début de quelque chose. C'est quand même triste de finir comme ça.
Et bordel, c'est pas la première fois que je me retrouve dans cette impasse, dos au mur, pieds et mains liés. Incapable d'établir des relations humaines avec des personnes envers qui on ressent un début de quelque chose. C'est quand même triste de finir comme ça.
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T'aimes ça me faire attendre, me faire languir sur répondeur émotionnel. Me laisser, perdu, essayer de démêler le vrai du faux, tandis que tu laisses ma voix sonner dans le vide. Tu te délectes de ce plaisir malsain de me voir m’évertuer à te comprendre, à m'accrocher dans ton service après vente de tes amours brisés. Tonalité d'attente pour personnalité absente.
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Oh Lord, please don't let me be misunderstood
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Envoyé à 17h15.
Ouvert à 20h50.
00h09 ça fait mal. Surtout quand je me remémore ce que tu m'avais dit "t'inquiète Quentin, ça changera rien à notre relation, on restera toujours pote". Tu parles, je le savais. T'as pas le premier à me dire ça. Ça tiens jamais ces trucs la.
Ouvert à 20h50.
00h09 ça fait mal. Surtout quand je me remémore ce que tu m'avais dit "t'inquiète Quentin, ça changera rien à notre relation, on restera toujours pote". Tu parles, je le savais. T'as pas le premier à me dire ça. Ça tiens jamais ces trucs la.
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J'ai faillit rechuter et te renvoyer un message. En soi c'est pas grand chose. Une dizaine de mots tapés sur un clavier, puis envoyés. Mais en vérité c'est bien plus grave. C'est comme si je me remettais à creuser ma tombe. Celle ou tu m'avais laissé pour mort il y a plusieurs mois.
émotionnellement instable?
Je pensais que la vie était injuste avec moi. Jusqu'à ce que je comprenne. La vie est juste. Juste, car elle est injuste avec tout le monde.
✴
Rester assis, là, au bord d'une fenêtre, parmi les débris de verre,
A regarder sa vie cramer, brûler, partir en fumée.
Contempler tout ce qu'on a raté, ce qu'on a jamais fait, et ce qui appartient au passé.
Émerveillement suicidaire face à l’inexistence de notre passage sur terre.
A regarder sa vie cramer, brûler, partir en fumée.
Contempler tout ce qu'on a raté, ce qu'on a jamais fait, et ce qui appartient au passé.
Émerveillement suicidaire face à l’inexistence de notre passage sur terre.
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"Déjà du temps de mes amours vagues, j'étais sourd au fracas de leurs écumes."
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Démence.
Émotion qui a tendance à se croire chez elle dans mon cerveau. Surtout quand ton visage se peint sur mon écran mental.
T'es une putain de drogue psychédélique. Mon hallucinogène des jours pluvieux.
Émotion qui a tendance à se croire chez elle dans mon cerveau. Surtout quand ton visage se peint sur mon écran mental.
T'es une putain de drogue psychédélique. Mon hallucinogène des jours pluvieux.
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Je suis capable de tout !
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L'étranger, l'immigré, la femme, l'homme amoureux d'un autre homme, la femme amoureuse d'une autre femme. Toutes ces personnes qu'on l'on porte chacun en nous. Toutes ces facettes qui nous représentent, s'exprimant à différents niveaux, de différentes façons, parfois même de façon quasi invisible. Nous. Quoi qu'on en dise, on a tous une petite parcelle de ça en nous. Alors pourquoi ? Pourquoi, socialement parlant, se planter soi même un couteau dans le crâne ? J'comprends pas. Ce penchant à la destruction des égalités acquises au prix de luttes, des droits fondamentaux, et des libertés.
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Parfois, une petite chose peut avoir des répercussions incontrôlables dans notre tête, jusqu’à devenir complètement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la situation.
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Methoxetamine
Yato
Place vacante.
3006
Sylver
Nath
Cécé
Hématome
Elfe
Coeur sombre.
L'endroit le plus insolite où tu as fait l'amour ?
Dans ma tête. J'en rougirais presque tellement c'était bon. Un torrent de sensations. Ça résonnait dans chaque parcelle de mon squelette. Et c'était avec toi.
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"Émoticône. Le nom est aussi vulgaire que la chose. Je hais ces trucs de feignants. Au lieu d'exprimer un sentiment, on l'expédie. On appuie sur une touche et tous les sourires du monde sont pareils. Les joies, les doutes, le chagrin, la colère, tout a la même gueule. Tous les élans du cœur se retrouvent réduits à cinq ronds hideux.
Putain, quel progrès…"
Anna G.
Putain, quel progrès…"
Anna G.
Tiret. Je ne me lasse pas de tes textes Quentin.
J'suis pas déprimé.
J'ai juste un cancer des sentiments, une anémie chronique de joie de vivre, une tuberculose du sourire, un déficit en espoir, une schizophrénie mal assumée et un infarctus de mon petit cœur.
Et je préfère ça au risque de tomber amoureux de tes beaux yeux.
Alors laisse moi tout seul, dans ma chambre.
J'ai juste un cancer des sentiments, une anémie chronique de joie de vivre, une tuberculose du sourire, un déficit en espoir, une schizophrénie mal assumée et un infarctus de mon petit cœur.
Et je préfère ça au risque de tomber amoureux de tes beaux yeux.
Alors laisse moi tout seul, dans ma chambre.
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Il l'a aimé à s'en noircir le cœur de fumée, à s'en pourrir les poumons de goudron concassé, à s'en faire rougir les poignets.
Il l'a aimé comme j'aurai voulu t'aimer.
Il l'a aimé comme j'aurai voulu t'aimer.
- Sourire.
Il est 23h34. J'me suis jamais senti aussi seul de toute ma vie. A m'imaginer ton visage pendant que la pluie déferle sur mon velux. J'ai froid. Mon lit me parait bien grand pour moi seul. Si seulement t'étais là.
23h36. Les minutes s’égrainent comme mon espoir. J'vais devenir stérile des sentiments, comme ces champs sur lesquels on a trop fait pousser de fleurs et qui ne sont plus fonctionnels. "Non fonctionnel", ça sonne bien non ? Pour caractériser un handicapé émotionnel, un boiteux amoureux. J'suis une machine défaillante. Une télé à remplacer.
23h39. Tu viendras pas. En même temps je t'avais pas invité. Mais c'est beau de s'imaginer que tu aurais pu arriver.
23h40. Les rêves me paraissent plus attrayants que la réalité, j'vais aller les rejoindre. Lâcher prise, débrancher les câbles du cerveau et se laisser porter par les sons, les images, les couleurs. 23h44.
23h36. Les minutes s’égrainent comme mon espoir. J'vais devenir stérile des sentiments, comme ces champs sur lesquels on a trop fait pousser de fleurs et qui ne sont plus fonctionnels. "Non fonctionnel", ça sonne bien non ? Pour caractériser un handicapé émotionnel, un boiteux amoureux. J'suis une machine défaillante. Une télé à remplacer.
23h39. Tu viendras pas. En même temps je t'avais pas invité. Mais c'est beau de s'imaginer que tu aurais pu arriver.
23h40. Les rêves me paraissent plus attrayants que la réalité, j'vais aller les rejoindre. Lâcher prise, débrancher les câbles du cerveau et se laisser porter par les sons, les images, les couleurs. 23h44.
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