@QuentinMounier

.Quentin.

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whynxt’s Profile PhotoDouce Violence
Tu m'as gravé tes souvenirs au compas dans mon cerveau. Ton sourire, tes mots, tes lèvres, ton regard. J'ai l'impression de les sentir tatoués dans mon crâne quand je passe ma main dans mes cheveux. Un peu comme si j'avais tous mes sentiments pour toi écrits en braille sur ma peau.
J'ai l'air de quoi moi maintenant, quand je te vois l'embrasser, c'te personne pour qui tu m'as préféré ?
Un vulgaire morceau de bois balloté par les flots et les remous de mon passé, de notre passé.
Tu mas gravé tes souvenirs au compas dans mon cerveau Ton sourire tes mots

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Décris toi en quelque mots

Ne sachant plus si il devait aimer au risque de souffrir, ou souffrir au risque d'aimer, il se laissa dériver. Incapable de croire au bonheur, il se perdit sur des océans sans rivages, c'était devenu un être sans visage.
Il se construisit une prison de fer à l'intérieur de son crâne, pour y étouffer ses émotions. Il posa son cœur dans un écrin et l’enterra au plus profond de son âme, pour ne plus subir ses pulsations.
Il était terne, morne et fade. Comme un dessin qui aurait décoloré au soleil.
Décris toi en quelque mots

Tiret improvisé.

Poussiereuh’s Profile PhotoMel
"- Pourquoi tu me regardes comme ça, les yeux dans les yeux ?
- Y parait que c'est le miroir de l’âme. J'sais pas qui a dit ça. Un philosophe grecque, une précieuse dans l’alcôve de Madeleine De Scudéry, ou un poète contemporain. Et pour tout te dire, je m'en fous. Laisse moi vérifier ça. Tu m'intrigues.
- Comme tu veux. Mais si jamais tu me trouves au passage, dans mes yeux, dis le moi. Ça fait plusieurs années que je me suis perdu moi même. Et j'arrive pas à me retrouver."
Tiret improvisé

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Laurall98’s Profile PhotoLaura
C'est fou comment les sentiments qu'on pensaient avoir enterrés dans un cercueil blindé, au plus profond de notre cerveau, dans des endroits noirs et poussiéreux, peuvent vite se libérer. J'te jure, si ça se passait pas dans mon crâne j'y croirais pas. J'ai l'impression d’être dans un film de Tim Burton, avec les morts qui reviennent hanter les vivants. Parce qu'ils se sont libérés ces cons de sentiments. Ils sont revenus sur le devant de la scène de mes pensées, alors que je pensais les avoir expédiés en coulisse à jamais. Mais ils sont coriaces, pense-tu. Maintenant qu'ils savent comment je m'y suis pris pour les occulter la dernière fois, ils se sont adaptés. Comme un virus qui aurait muté pour résister à un vaccin. Ces conneries que je voulais oublier, elles ont mutées pour échapper au contrôle de mes pensées. Et depuis, c'est l'épidémie dans mes neurones. Dès que j'pense avoir réussi à tous les avoir attrapés, pour pouvoir les remettre au fond de leur cercueil, y a un foyer qui se déclare à l'autre bout de mon crâne. C'est une lutte sans fin. Et pourtant faut que j'endigue cette révolution. Pas envie de perdre ct'amitié putain. Faut que j'trouve une solution.

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Cest fou comment les sentiments quon pensaient avoir enterrés dans un cercueil

@ douce soirée

"- Qu'est ce qu'il y a Quentin ? T'as l'air tendu ? Dis moi."
Rien. Rien ne va depuis quelques temps. J'oscille entre des moments de déprime et d'autres un peu plus macabres. Un triste ciel d'automne Londonien hésitant entre pluie et brouillard. L'ascenseur émotionnel comme on dit. Sauf que je me rapproche plus de la cave que du 6ème étage. Je n'ai jamais été aussi fatigué moralement et physiquement. Mes cernes me noircissent les yeux, et je me brûle les mains à me rattraper sur le sol rugueux.
Mais tu sais, ya aussi tous les trucs que je t'avais dit, avant-hier soir. A propos de toutes ces choses mal assumées sur lesquelles j'te demande juste de pas trop appuyer, et encore moins de t'en moquer. Et puis ma sensibilité exacerbée en ce moment. Puis ce besoin viscéral de me trouver quelqu'un sur qui poser mes lèvres. J'carbure à l'amour. Et je suis en bout de course. Un peu comme un réservoir d’essence vide, comme un tas de feuilles qu'on éparpillerait au vent.
Puis toute la pression que j'ai accumulée sur mes épaules depuis quelques temps... Et mes nombreux démons qui me tournent autour, comme des épées de Damoclès, prêts à fondre sur moi au moindre faux pas.
J'suis un funambule à béquilles qui vacille sur le fil de ma santé mentale.
"-Rien. Tout va bien. Tout va bien je te dis. Je suis juste un peu fatigué. Mais tout va bien."

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douce soirée

jolis écrits, jolies images, joli ask

Laurall98’s Profile PhotoLaura
"Pour un flirt avec toi, je ferais n'importe quoi.
Pour un flirt avec toi, je serais prêt à tout.
Pour un simple rendez-vous, pour un flirt avec toi."
A ma nouvelle amie de noir vêtue.
A celle qui finira tous par nous prendre dans ses bras pour éteindre notre dernière étincelle d’humanité.
jolis écrits jolies images joli ask

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aidancro’s Profile PhotoAidan
A trop vouloir faire passer les autres avant ce que tu ressent, tu finis toujours par te reprendre ta prévenance en pleine gueule
un putain de retour de boomerang que t'as toi même lancé en voulant faire ce qui te semblais le mieux pour lui et pas pour toi
c'est bien, ça fais de toi le mec cool qui fait passer les autres avant toi
le mec cool mais cool tout seul , alone, le bon pote, l'ami
mais jamais celui qu’on envisage comme plus
incisure chirurgicale dans mon estime
A trop vouloir faire passer les autres avant ce que tu ressent tu finis

Qui sommes nous pour décider du droit de vie ou de morts sur nos semblables ? Arrêtez de croire que votre façon de voir la vie, de se représenter l'amour est la bonne, et que toute personne s'en écartant est déviante.
J'vais pas faire l'hypocrite, je la connaissais juste de nom avant ça. Mais bordel ça m’empêche pas d’être écœuré.
Hande Kader.
Qui sommes nous pour décider du droit de vie ou de morts sur nos semblables

J'étais prêt à vendre mon humanité pour toi.
Faut croire que j'ai pas assez écouté les contes de mon enfance. En particulier celui de la Petite Sirène. Mais pas la version Disney, niaise à souhait. Non, la vraie version d'Andersen. Celle où, à la fin, le Prince en épouse une autre, condamnant Ariel à la mort, elle qui avait tout abandonné pour lui, qui était allée jusqu’à renier sa vraie nature. C'est triste, et bien loin du Happy End "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Mais c'est la réalité des choses. Et dire que j'ai faillit me transformer en une stupide Ariel transie d'amour.
Jétais prêt à vendre mon humanité pour toi
Faut croire que jai pas assez

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