@QuentinMounier

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Mais quelle beauté... D'ailleurs, j'ignore si c'est de la beauté à proprement parler, mais ce qui émane de tes mots, de ton phrasé, la puissance avec laquelle tu exprimes les choses, même les plus anodines... C'est incroyable. Et je te parle sincèrement, Quentin.

Merci beaucoup. Vraiment, je ne sais pas quoi te dire d'autre à part merci. Et encore, ça me parait faible par rapport à la beauté de ton message. Alors merci à toi, infiniment.
Mais tu sais je n'en mérite pas tant.

Aujourd'hui j'ai fais la découverte de "J'ai le droit aussi" de Calogero, et comme à chaque fois je succombe au charme des belles paroles qu'il chante. Et vous, avez-vous un artiste dont les paroles vous touchent beaucoup?

Les paroles de Fauve, Saez et Yodelice me touchent beaucoup.
Et je te remercie de m'avoir fait découvrir "J'ai le droit aussi" de Calogero. je ne la conaissais pas... Et ouah... Merci.

-🌸

Ca m'avait manqué, d'écrire. De mettre un fond de Lana, puis de regarder dans le vide pendant 5, 10, 30minutes. Attendre, réfléchir, s'égarer pour mieux se recentrer. Puiser en soi ce qu'on veut extérioriser, ce qui nous blesse, ce qu'on veut plus, nos peurs, nos échecs, nos sentiments malmenés. Mais aussi se souvenir de nos sourires et de nos moments d’allégresse, qu'on veut coucher sur le papier pour pouvoir les revivre à l'infini. Une véritable catharsis à l'aide de petits caractères noirs en arial taille 10.
Ca mavait manqué décrire De mettre un fond de Lana puis de regarder dans le

De l'homme dont tu ne cesses de parler, tu l'aime?

Je ne sais pas vraiment ce que c'est que d'aimer pour être honnête avec toi. Et puis en plus de cela c'est peut être un peu tôt pour parler de sentiments aussi puissants. Enfin oui y a quelque chose de fort qui me donne envie, mais je pourrais pas te mettre de mot dessus.Puis ya pleins d'autres facteurs qui entrent en compte : lui, comment il voit les choses, moi, ce que je veux, ce que je pense, ce qu'il pense, ce qu'il veut, mes peurs, ses réactions. Mais j'méloigne de ta question. Enfin comme tu peux le voir c'est le bordel quand j'essaye de m'exprimer sur lui, j'suis un peu perdu. Pardon.

Je ne sais pas qui tu es, on ne se connait pas mais je viens de lire ta précédente réponse, celle ou l'anonyme a signé #petitange. Il a raison, il suffit juste que tu t'en convains toi même. Si il te fais souffrir il n'est pas pour toi. Tu trouveras le bonheur, je te le promet.

OceaneTrpn’s Profile PhotoNiquez vous.
Merci beaucoup. Non on ne se connait pas, et je te remercie pour cela, d'avoir osé décocher l'anonyme et de m'avoir écrit ça. Ça me touche beaucoup, beaucoup plus que ces simples mots le laisse penser. Les limites de l'écriture certainement. Merci à toi.

-

J'ai vraiment cru que j'allais finir pas craquer, la cacophonie des alcools mélangés à mon hémoglobine, une sorte de bombe à retardement de cicutine.
Rejoindre Socrate et contempler mes stigmates rouges écarlates.
Rictus dément, oripeau inutile et faux.
Mélancolie qui colle à la peau.
Tremblements des joues.
Regard dans le vague, comme une sirène de proue.
Battements de cils nerveux.
Passage de mains dans les cheveux.
Serait-ce ce qu'on appelle plus communément "avoir l'alcool triste" ?
Tu sais, c'est un peu comme cette phrase d'ado philosophe dépressif,
"Boire pour oublier; méfies toi les chagrins savent nager".
Quand les écorchures au fond de moi prenne le pas sur mes tentatives intérieurs de joie et de bonne humeur lugubre.
Gout amer d'enterrement sur mes lèvres asséchées par l'alcool à bruler.
Lapidation de mes neurones à coup de pensées libidineusement insalubres.
Érosion des sens à l'agonie devant ce vide à combler.

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Jai vraiment cru que jallais finir pas craquer la cacophonie des alcools

Tiret.

ChatonLaveur’s Profile PhotoNath
J'aurai pas du retourner là bas X, j'aurai pas du. Tu sais, quand j'ai compris que je risquais de te revoir, j'te jure, toutes les résistances que je m'était mises dans mon cerveau elles ont pétées comme un barrage. Et j'me me suis fait submerger par mes émotions. Tête qui tourne, respiration haletante, pulsation en long silence, rictus déformé par le malaise, enfin le bordel dans ma tête.
Heureusement que je t'ai évité, que j't'ai pas croisé. J'aurai pas été capable de soutenir ton regard, et je me serais laisser tomber sur le carrelage froid, comme la dernière fois, la tête sous le lavabo.
Tiret

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