#aucun

Mon pauvre ami, c'est une des rares choses qui vaut la peine d'être vécue. Non croyez moi y a des gens qui ont bien fini leur vie célibataire sans avoir eu le besoin d' être amoureux de quelqu'un. C'est parce que ces personnes là ont eu beaucoup de projets pour une seule et même chose qui les intéressait. Les autres eux qui ont des rêves peuvent retrouver ce genre de choses dans leur vie à un moment donné. Si ça vous tombe dessus, vous ne pouvez l'éviter.
Vous pouvez décider d'aimer ou de ne pas aimer. Vous n'avez aucun pouvoir sur le sentiment amoureux. Personne ne vous y oblige ! C'est un sentiment en soit que nul se sait maitriser, même un Hermite au fond de sa grotte pourrait tomber amoureux. Amoureux d'un caillou, d'une fleur, du ciel, du soleil, d'une pensée, d'une idée, ou de lui même ( narcissisme ). Donc pas forcément d'une femme ou d'un homme ! Vous serez donc forcément un jour "en amour " 😏

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Je ramenais très rarement de mauvaises notes, ma mère me demandait simplement ce qu'il m'était arrivé (pas assez révisé ? Stressée ? Trop de charges de travail ? Absentéisme ? Flemme?)
En général j'étais assez honnête avec elle là-dessus donc elle fermait facilement les yeux car si je lui disais que j'avais pas eu la tête à travailler, elle aurait plutôt cherché à comprendre ce qui me tracassé et à m'encourager à travailler la prochaine fois.
C'est clairement la manière la plus saine de gérer la chose, je trouve.
Mon père était beaucoup plus dur et même avec une bonne note, demandait comparaison avec le reste de la classe : si trop de gens avaient une bonne note, ça voulait dire que c'était facile donc aucun mérite, si quelqu'un avait mieux que moi, ce n'était donc pas assez et il partait ensuite en monologue sur pourquoi LUI n'avait pas réussi à l'école (il était bête, pas assez doué etc) le truc hyper angoissant et culpabilisant en vrai, donc du coup j'avais un déséquilibre assez énorme à ce niveau là.

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Ta photo de profil assez peu conventionnelle, j'espère que tu me l'accordes avec lucidité, est, sans doute aucun, un bel exemple des raisons de tes "conflits sociaux".
+ tes histoires de non port de sous-vêtement.
+ tes questions type "devine je porte quoi sous un pantalon".
Tout ça pour, à tout prix, trouver le moyen de parler du fait que tu aimes ne pas en porter (des sous-vêtements), que tu aimes les camps naturistes, que les gens n'acceptent pas trop voire pas du tout ces préférences qui sont les tiennes, etc... Enfin, je veux dire, la démarche n'est pas hyper intéressante, à notre échelle, à recevoir, tu t'en rends bien compte j'espère, dis-moi ? Je veux dire, dans la vie en générale, qu'est-ce que j'en ai à carrer de ce genre d'information au sujet de mes amis, à fortiori au sujet d'un inconnu alors que ça ne me concerne pas ?
Une fois, nous conversions ensemble à ce sujet et tu m'as parlé du fait que porter des sous-vêtements (des vêtements en règle générale, par ailleurs) est un conditionnement : Qui l'ignore stp ? Alors ok c'est un conditionnement et c'est complètement intégré qu'il faut le faire. Tu essayes de susciter des raisonnements, et je peux parfaitement le comprendre parce que c'est toujours, allez, au moins un peu intéressant d'être conscient que ce ne sont pas des choses qui nous sont naturelles, avec la pudeur et tout ce qui gravite autour du sujet. Il me semble + intéressant de converser de bien d'autres choses ensuite. Sauf que toi, t'es là, t'es en boucle sur ton envie de vivre à poil alors que tout le monde s'en fiche que tu ne portes pas de sous-vêtement ainsi que de toutes tes préférences marginales. Ça ne change pour eux hein et être en boucle là-dessus, ça fait juste chi*er parce que concrètement, RIEN n'y changera, ils vont continuer de se couvrir le corps quoi qu'il en soit, t'apprends rien à personne sauf si -

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Eh bien, si on me disait qu'il me reste seulement 10 ans à vivre, je pense que cela changerait fondamentalement ma perspective sur la vie.
Premièrement, je serais probablement plus enclin à prendre des risques et à poursuivre passionnément mes rêves, car le temps serait compté.
Je ne voudrais pas avoir de regrets.
Je consacrerais également plus de temps à mes relations, en m'efforçant de créer des souvenirs significatifs avec mes proches.
La qualité des moments partagés deviendrait primordiale. D'un point de vue professionnel, je choisirais probablement des projets qui me tiennent vraiment à cœur.
Mais il y aurait sans aucun doute des défis émotionnels à surmonter, et la perspective de dire au revoir à ceux que j'aime serait difficile.
Je m'efforcerais néanmoins de vivre pleinement chaque jour, d'apprécier les petites choses et de trouver la joie même dans les moments difficiles.
Après tout, la vie serait courte, mais elle serait aussi précieuse.

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Parmi les voyants, les géomanciens, les sorciers, et tous ceux qui prétendent connaître l’inconnu et l’avenir.

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Le devin (Kâhin) est la personne qui prédit l’avenir à l’aide d’un démon qui l’informe. Les autorités musulmanes ne doivent pas laisser les devins exercer leurs activités, mais au contraire y mettre un terme et leur infliger la peine qu’ils méritent. En outre, les gens ne doivent ni les croire, ni les interroger, mais au contraire les démasquer.

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‎D’après l’une des épouses du Prophète ﷺ, celui-ci a dit : «Quiconque se rend chez un voyant (‘Arrâf), l’interroge et croit en ce qu’il dit, verra ses prières refusées pendant quarante jours.» [Rapporté par Muslim].

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‎«l’une des épouses du Prophète ﷺ». L’épouse en question, nous expliquent ceux qui rapportent ce hadith, est Hafsah.

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En réalité, les paroles «et croit en ce qu’il dit» ne se trouvent pas dans le recueil de Muslim. Le Shaykh Muhammad Ibn Abdelwahhab s’est peut-être trompé ou a simplement tiré cette version d’une édition où se trouve cet ajout. Les paroles «et croit en ce qu’il dit» se trouvent en revanche dans la version rapportée par Ahmad. La version de Muslim indique donc que le simple fait d’interroger un devin est interdit, car celui-ci est de cette manière honoré. En outre, la personne peut commencer par l’interroger et finir par croire en ce qu’il dit. Il convient donc de les éviter et de les fuir. ‎Muslim rapporte également, d’après Mu’âwiyah Ibn Al-Hakam, ces paroles que le Prophète ﷺ lui adressa au sujet des devins : «Ils n’ont aucun pouvoir, ne les consultez pas.»
‎Et ce, de manière à les rabaisser et à leur montrer tout notre mépris.

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‎De même, selon Abu Hurayrah (radhia Allahu anhu), le Prophète ﷺ a dit : «Quiconque se rend chez un devin (Kâhin), et croit en ce qu’il dit, a renié ce qui est descendu sur Muhammad.» [Rapporté par Abu Dâwûd].

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‎Abu Dâwûd, toujours, mais aussi At-Tirmidhi, An-Nasâï, Ibn Mâjah et Al-Hâkim - selon qui le hadith est conforme aux conditions d’Al-Bukhâri et Muslim -, rapportent, d’après Abu Hurayrah (radhia Allahu anhu), ces paroles du Messager d’Allah ﷺ : «Quiconque se rend chez un voyant ou un devin, et croit en ce qu’il dit, a renié ce qui est descendu sur Muhammad.»

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Ces ahadiths indiquent qu’il n’est pas permis de consulter les devins et que celui qui les croit, lorsqu’ils prétendent connaître l’inconnu et l’avenir, est tombé dans la mécréance. En effet, Allah Seul connaît l’inconnu et l’avenir. En outre, ce ne sont pas des Messagers pour avoir été informés par Allah. De même, le devin est un mécréant s’il prétend connaître les choses cachées et l’avenir. Le devin et celui qui croit en ce qu’il dit sont donc tous deux tombés dans la mécréance pour ne pas avoir cru en ces paroles du Très-Haut : {Dis : «Allah Seul connaît les mystères.»} (S12-V123). Il faut donc se méfier des devins et s’en éloigner.

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La justice civile, commerciale, administrative, prud'homale, militaire ou pénale ?
La justice c'est large quand même. Prs n'est suffisamment calée pour répondre à toutes leurs singulières problématiques.

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Je ne peux parler que de celle que je connais : la justice pénale.
Effectivement, elle est « malade ». Dans le sens où elle n'est plus adaptée, ancienne et les réformes consécutives viennent uniquement consacrées une inflation normative qui perd le justiciable et sûrement la logique des juges.

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Il y a de nombreux textes, de nombreuses sanctions (parfois dérisoires, inappropriées,..) et lorsqu'une affaire émeut l'opinion publique on se retrouve avec un Parlement qui ne trouve pas plus intéressant que de nous pondre une nouvelle loi bien inutile et souvent impossible à mettre en œuvre.
Il existe de bonnes choses mais franchement, aucun moyen n'est mise en œuvre, les textes contradictoires, l'exception de l'exception qui possède son exception ça va cinq minutes.

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Les lois de circonstances sont nombreuses dans ce domaine (on a juste à citer l'Affaire de Sarah Halimi ou l'autre t*ocard de Palmade qui donnent lieu à des lois sur la prise de st.up dans le but de commettre une infraction et tout ce débat sur l'irresponsabilité ect). Bref une bonne f*utaise.

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Le domaine pénal intéresse beaucoup la sphère publique.
C'est souvent la Justice des riches car les petits peuple n'a pas les moyens de se payer un avocat de renom, beaucoup ne savent rien sur leurs droits, leurs recours.

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La justice est lente aussi ce qui exacerbe l'incompréhension des gens qui vivent des situations difficiles et qui restent plongés dedans sur des années. Et si ça va jusqu'en cassation alors là.

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Ce qui est paradoxal c'est que les gens voient des aberrations dans ce que l'homme peut faire tout en se délectent de ces faits divers et en se plaignant. Il existe des mécanismes mais les moyens voilà voilà.

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La volonté politique n'est pas à réformer notre justice pénale qui en aurait grand besoin.

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On en parle des abrutis qui ne se sont jamais demandé si ces personnes avaient une envie pressante ou un problème de santé, pas le temps de rester car ils ont peut-être un rdv urgent et encore moins de la thune pour se payer une boisson 5 balles ? Une fois je suis arrivée en Allemagne, après un long trajet en bus avec mes camarades, ma vessie et celles de deux autres élèves étaient sur le point d'exploser. On est allées chercher un bar tout en marchant péniblement comme des pingouins et on devait faire vite pour ne pas perdre de vue notre classe. On en trouve un 15-20 min plus tard plein à craquer de monde. Bien sûr il fallait que ce soit moi la timide du groupe qui demande en allemand si on pouvait y aller et on s'est bien évidemment excusées de ne pas pouvoir rester. On nous a simplement répondu que c'était normal et qu'il n'y avait aucun problème. Donc.. Si on peut consommer on le fait mais si on ne peut pas en sachant qu'on le demande poliment si c'est possible, on est des abrutis ? J'espère que le jour où ça t'arrivera on te fermera les portes et que tu te feras dessus.

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«Nous nous sommes regardé,
Verres à la main,
Tous ensemble,
Avec la conviction,
Que toute notre vie ressemblerai à ce moment.
A un moment d’intense euphorie,
De plaisir,
De souvenirs de nouveau créé.
A cette époque,
Je nourrissais encore espoir dans l’être humain.
À vrai dire,
Ils étaient là preuve que l’être humain,
Pouvait être bon.
Après tout,
Ils m’avaient sauver de tout.
De la mort,
De moi même,
De tout ce que j’étais.
Ils m’avaient donné un sens.
Et à eux seuls,
Avaient finis par rendre ma vie supportable.
Ils étaient, ceux pour qui mourrir auraient fait sens.
Ils étaient une leçon que je croyais, infaillible,
Universel.
De toujours, malgré la souffrance,
Que peut engendrer un tel acte,
Toujours,
Essayer d’avoir confiance en l’être humain.

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Nous nous sommes regardé,
Verre à la main,
Et nous avons sourie.

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C’était il y a deux ans.

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Aujourd’hui,

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Vous êtes les fantômes de trop.
Les fantômes qu’il m’est impossible de supporter.
Vous avez brisé ce qui faisaient que ma vie,
Tenez en équilibre.
Vous m’avez montré ce que l’être humain a fait de pire.
Vous m’avez brisé.
Chacun votre tour,
Parfaitement consciemment.
À tout de rôle.
Vous vous êtes attaqués,
À tour de rôle,
A tout ce que vous saviez de moi,
Tout ce que je n’aurai jamais pu dire à qui que ce soit d’autre.
Vous m’avez de nouveau confronter à ma plus grande peur.
Le rejet.
La solitude forcé.

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Je suis désœuvré,
Dans un gouffre, qui n’aura jamais de fin.
Et c’est une souffrance qui ne s’apaise jamais.
Car elle ne vient pas de sois.

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Nous nous sommes regardé,
Verre à la main,
Et j’ai penser que vous seriez,
À tout jamais,
La plus belle chose de ma vie.

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Voici ce que vous avez détruit,
Voici ce que de vos mains,
Vous avez fait.
Vous m’avez enlever,
La plus belle chose de ma vie.»

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Le souffle court,
Je me suis retrouver devant cette écran,
Pendant des heures,
Incapable d’appuyer sur envoyé.
J’étais incapable de hurler,
Ce qui était pourtant évident.

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Qu’absolument rien n’allait,
Parce que plus rien n’était.

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J’ai besoin de le dire,
J’ai besoin que ce soit lu.
J’ai besoin d’offrir ma détresse.
De la libérer.
Alors vous ne verrez jamais ces mots,
Mais là où ils vont,
Ils seront lu.
Ils n’auront aucun impact,
Aucune force.
Mais ils seront,
Gravé,
Offert.

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Au moins ils seront,
Qu’un jour,
J’ai sourie.

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